21 Grammes

pathogène Etude bactériologique Diagnostic bactériologique Traitement Neisseria gonorrhoeae Habitat Pouvoir pathogène Etude bactériologique Diagnostic bactériologique Traitement Réferences Chapitre 6 : 6.1 6.1.1 6.1.2 6.1.3 6.1.4 Les bacilles à gram positif non sporules Corynebactérium diphteriae Historique Habitat Pouvoir pathogène Bactériologie 4/122 Bactériologie - Service de Bactériologie 2002 - 2003 Table des matières 57 57 58 58 59 59 60 60 60 61 6.1.5 6.1.6 6.2 6.2.1

préparation des milieux de culture pour le contrôle biologique des aliments ; (page 3) 2- recherche et dénombrement de micro-organismes (bactéries et champignons) ; (page 5) 3- isolement et identification des bactéries pathogènes (coloration de gram, tests d͛oxydase et de catalase, test sur galerie API) ; (page 8) 4- test de toxicité sur souris ; (page 12) 5- dosage des toxines protéiques (méthode de BRADFORD). (page 14) INTRODUCTION ORIGINE DES MICRO-ORGANISMES PRESENTS DANS UN ALIMENT

Examen à l’état frais : L’observation microscopique, grandissement 40 et luminosité moyenne, nous montre des bactéries de forme bacillaire dotée de mouvement (flagelles). Examen avec coloration de Gram: Après coloration de gramme, on observe au microscope, grandissement 100 et forte luminosité, des bacilles gram – (colorés en rose). Ce qui corrèle avec le résultat précédemment obtenu. Isolement : A partir de l’échantillon, les bactéries sont ensemencés dans un milieu de culture normal non spécifique

service de soins de suite de réadaptation 2 (SSR2). Le service compte 22 lits répartis sur 16 chambres. L'âge des patients pendant ma période de stage se situe entre 60 et 98 ans, service plutôt axé sur 3ème voir 4ème âge. Dès mon premier jour donc le 21 octobre, après m’être présentée à l’équipe soignante je découvre ma première relève, on me précise alors qu'il y a un patient en isolement contact dans le service, il a des plaies colonisées par un SARM, Monsieur C. N'ayant encore que très peu de connaissances

effectuer une coloration de Gram, cette coloration différentielle est basée sur la paroi des bactéries qui peuvent avoir une couche de pectidoglycane mince ou épaisse. Si la bactérie possède une couche de pectidoglycanne épaisse elle va fixer le violet de gentiane-lugol et donc avoir une paroi colorée en violet elle est dite de Gram +. Par contre si elle possède une couche de pectidoglycanne mince elle va fixer la fuchsine elle sera donc colorée en rose elle est dite Gram -. Les manipulations doivent

signaux sur les systèmes membranaires à deux composants régulant (i) la réponse au stress, (ii) le potentiel redox → production de superoxydes et formation de radicaux hydroxyles létaux = Stress oxydatif Ribosome bactérien 30S ARNr Protéines 16S 21(S1-21) 50S 23S+5S 31(L1-34) Blocage en phase d'initiation 50S 70S IF3 Streptomycine 30S ARNm ARNm Interaction of aminoglycosides with 16S RNA Eukaryotes: G1408 Prokaryotes: A1408 Base interacting with tRNA Base binding aminoglycosides

structure, on va regarder les structures externes. Structures associées avec les parois. Certaines bactéries sont capsulées, certaines ont la couche protéique qu’on appelle couche S. On va regarder les structures, parois flagelles et pilis. Paroi à Gram + : À l’extérieur de la membrane plasmique. C’est une membrane semiperméable qui permet certaines substances de traverser il y a de protéines associées avec la membrane plasmique, qu’on appelle protéine de transports. Il y a une petite espace et

frottis – Séchage du frottis Réalisation d’un frottis – Fixation à l’alcool Réalisation d’un frottis – Flambage à l’alcool Coloration de GRAM – Coloration au violet de gentiane Coloration de GRAM – Mordançage au lugol Coloration de GRAM – Décoloration à l’alcool Coloration de GRAM – Coloration à fuchsine Coloration de GRAM – Séchage de la coloration V Manipulations : Premier jour 1) Prélèvement de microorganismes dans l’environnement : - Réalisez un prélèvement avec

Listeria et lait cru …………………..……..………….………. 17 7. 2. Origine de la contamination du lait cru.……..………………. .. 18 Chapitre 2: Taxonomie numérique 1. Définition…………………..……..………………….………........... ; 20 2. Démarche de la taxonomie numérique……….………..…………….. 21 3. Méthode de construction des arbres…………………..…………….. 22 3.1. La méthode Unweight Pair Group Method with Arithmetic mean 22 (UPGMA) 3.1.1. Les étapes de la méthode UPGMA……………..……….. 22 3.2. La méthode Neighbor Joining (NJ)………………..…………… 23 3.2.1. Les

pneumoniae Virus Mycoplasma pneumoniae Legionella sp. Haemophilus influenzae Bacilles à Gram négatif (entérobactéries) Chlamydia psittaci Coxiella burnetii Staphylococcus aureus Moraxella catarrhalis Autres 0 5 10 15 20 Pneumologie Micro-organismes Haemophilus influenzae 30,5 (21-47) Streptococcus pneumoniae 21,5 (13-28) Moraxella catarrhalis 6,5 (3-10) Staphylococcus aureus 6 (3-10) Bacilles à Gram négatif 16,5 (0-37) Pseudomonas aeruginosa 11 (8-15) Autres 3,5 (1-8) 1 Prévalence des bactéries