3eme Méditations Métaphysique

déjà pour la particule élémentaire même si celle-ci n’est corroborée par aucune donnée de l’expérience scientifique. Dans ce domaine Bergson affirme qu’il ne faut pas viser l’évidence complète, rigoureuse, mathématique. Descartes dans ses Méditations Métaphysiques en procédant ainsi en est arrivé à sa conclusion que seul l’homme est doté de conscience. Et même cette généralisation à l’humanité de la certitude de la conscience de soi comme nombreux de ses lecteurs l’ont vu est problématique. En effet

limite a une question de savoir si on est conscient de sois. Alors, Descartes a travers Méditations Métaphysiques fait un démarche, un raisonnement’ une méditation pour distinguer une chose certaine et indubitable. Ce démarche consister a rejeter comme étions Faux tous ce qui est douteux dans toutes idées, pensées, choses afin de trouver une seule vérité certaine. Descartes précise dans Méditation métaphysique que nous somme tromper par notre conscience, rien est certaine ‘’Mais je me suis persuade

pas or on ne fait pas croire au rien qu’il existe dc si on veut lui faire croire qu’il existe alors il existe (car on ne peut pas tromper le rien). ϕ fonctionne par proposiθ (on suppose que, or, alors, donc) → raisonnemt scientifique Méditations Métaphysiques, R. DESCARTES → la seule vérité immuable est l’existence des ê mathématiques (formes géométriques, etc.) Arrive à démontrer l’existence de sa substance pensante mais n’arrive pas à prouver l’existence de sa corporalité et l’existence des

en 1637. Descartes n’y abordait que de façon brève ses considérations métaphysiques et il jugea par la suite son texte incomplet1. S’imposait donc la nécessité d’une autre œuvre. Les Méditations métaphysiques rédigées en latin, langue savante, à l’intention des « plus forts esprits »2 furent terminées en 1640. L’automne suivant, Descartes perdait son père et sa fille. L’ouvrage de Descartes abordant des questions métaphysiques paraît finalement en 1641 dans une première édition latine, puis en français

commence qu'une fois que l'on a remis en question ce que l'on croyait savoir et qui n'était qu'opinion fausse, illusion. Les mythes religieux, et la religion par extension, sont perçus comme une illusion : Descartes met ainsi en œuvre, dans ses Méditations métaphysiques, le doute méthodique afin de ne pas se prononcer trop rapidement sur les choses qu'il n'a pas auparavant examinées avec rigueur. Le rejet des préjugés constitue le premier moment de la recherche de la vérité. Cette quête de ce qui nous manque

décomposition et recomposition. BIBLIOGRAPHIE / SITOGRAPHIE DAUVOIS, Daniel, 2006, La démonstration, ordre cartésien et ratio demonstrandi duplex, revue Philopsis, 16 pages. DESCARTES, René, 1657, Réponses aux Secondes Objections contre les Méditations métaphysiques, traduit par Claude Clerselier. IRIGARAY, Luce. 1969. L'énoncé en analyse. Langages, Volume 4, n° 13, L'analyse du discours, pages 111-122. LAROUSSE, Dictionnaire français : http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/analyse/3235 TÉTREAU

théisme » désigne (en anglais) le non athéisme philosophique, armé d’un arsenal de preuves rationnelles de l’existence de Dieu.           2) Synonymes a)  la « religion des philosophes » Cf. le « Dieu des philosophes » (in cours sur les Méditations métaphysiques de Descartes) b) la « religion naturelle » : « Naturelle » s’oppose d’abord à « révélée » ; la religion naturelle est la connaissance de l’existence de Dieu par la raison, donc, en droit, par tout homme. Mais nous verrons plus loin que

contraire s'oppose au fait de remettre en question les croyances normatives. Descartes nous avons pas montrer les limites de ce doute radical mais n'y a-t-il pas des limites au doute ? Tout comme Socrate, Descartes admet au début de ses Méditations métaphysiques , la méthode du doute en cherchant la vérité. Mais on dit que pour douter il faut abandonner toutes les croyances que nous avons eues jusqu'à ce moment là : celles-ci ne sont autres que ce que Spinoza appelle les connaissances par «oui-dire»

des mathématiques – la célèbre phrase « je pense donc je suis » (cogito, ergo sum), qui permet à Descartes de sortir du doute, lui servira à ce titre de premier principe. Par ailleurs, il y résume ses méditations sur l'âme et sur Dieu, dont il donnera une version beaucoup plus étendue dans les Méditations métaphysiques, quatre ans plus tard. Le Discours de la méthode est aussi l'occasion pour Descartes de présenter une morale provisoire, tenant en quelquesmaximes de conduite, et de développer des considérations

d’un événement ne le rendrait pas plus sûr. Car le témoignage des sens ne serait pas plus fiable que celui d’autrui qui repose en dernière instance également sur une perception sensible. C’est ce que souligne clairement Descartes dans les Méditations métaphysiques : les sens peuvent tromper au point de rendre l’expérience sensible dans sa totalité indigne de confiance. Pour justifier cette affirmation, Descartes recourt au double argument de la folie et du rêve : rien ne prouve que je ne suis pas