60 mètres haies

par le CCAP (**) De manière générale, la longueur maximale du chantier, fixe ou mobile, ne doit pas excéder 300 mètres en agglomération et 1200 mètres hors agglomération. Un chantier est dit fixe s´il ne subit aucun déplacement pendant au moins une demijournée. Un chantier mobile est caractérisé par une progression continue à une vitesse pouvant varier de quelques centaines de mètres à plusieurs kilomètres à l´heure. Les chantiers progressant par bonds successifs, avec au moins un bond par demi-journée

vents, gestion des eaux de pluies, etc.). Relief A l’intérieur du périmètre du RUE, les pentes sont peu intenses et orientées vers la vallée de la Meuse. Le plateau de Belle-vue domine la vallée de la Meuse, à Jambes, à une altitude de 115 à 150 mètres. Le site du RUE est donc plutôt épargné par les contraintes du relief et bénéficie d’une situation topographie de type « corniche » offrant des points de vues paysagers intéressants mais également une exposition aux vents plus importante que la

Central Park, circonscrit à son tour par le Crystal Palace, composé de galeries avec jardin d'hiver. A partir de cet anneau commercial, se déploie la zone habitation de la cité-jardin. Par la suite, un élément cher à Howard, la grande avenue de 70 mètres accueille les édifices publics liés au quotidien telles que les écoles et les églises. Enfin, une frontière scientifique s'identifie avec les industries et la voie ferroviaire périphérique : la Circle Railway. Ainsi, la confusion est évitée et il

et lutte anti-érosive ................................................................................. 59 5.2 Les coûts et bénéfices des programmes d’aménagement des bassins versants ......... 60 5.2.1 Coûts et stratégies d’aménagement ..................................................................... 60 5.2.2 La réhabilitation du milieu : nécessité et opportunité économique ....................... 61 5.3 Les conditions nécessaires ..............................................................

rentabiliser correctement les surfaces boisées aux vues des coûts de gestion et des contraintes environnementales plus grandes pour certains types de forêt, notamment en forêt de montagne. Malgré ces augmentations, la ressource bois reste sous-exploitée : Seul 60 % de l'accroissement naturel annuel est récolté. Cette sous-exploitation est principalement liée à des problèmes techniques tels que l'accessibilité et au fait que la forêt française est très morcelée entre un grand nombre de propriétaires. Afin d'y

(carte annexe 1). Les évolutions géologiques ont formé 3 grands types de sols : les sols bruns alluviaux* dans les vallées, les terreforts des coteaux argilo-calcaires et les boulbènes (sols dominants) sont caractérisées par une couche limoneuse de 30 à 60 cm recouvrant des argiles. Il y a peu de sols caillouteux. Influencé par le vent d’Autan et les vents d’ouest-nord-ouest, le climat est très fluctuant : l’automne est bien ensoleillé, l’hiver est froid et peu pluvieux, suivi d’un printemps généralement

pattes blanches propres aux rivières du secteur locales. Enfin la vallée de la Mouge aval possède un réseau bocager intéressant pour favoriser les corridors entre les secteurs boisés. Les massifs boisés, haies, étangs et lacs forment des lieux vivants accueillant une biodiversité importante ; les haies bocagères connectent ces différents espaces et permettent le déplacement de la faune d’un site à l’autre. Les prairies agricoles enherbées constituent, elles aussi, des milieux favorables à la biodiversité

environnementaux. Alors que l’existence des friches interpelle les gestionnaires et les acteurs du territoire, un domaine présentement en émergence, l’agroforesterie, suscite un intérêt grandissant par le potentiel qu’offrent ses multiples systèmes : haies brise-vent, systèmes riverains agroforestiers, cultures intercalaires, sylvopâturages et cultures sous couvert arboré. Il devient dès lors plausible de pouvoir valoriser des friches agricoles par divers aménagements agroforestiers. Cette étude exploratoire

urbanisées de la commune (principalement délimitées par les panneaux d'entrée et de sortie de la commune). En outre, l'article R. 122-8 du code de l'environnement soumet à étude d'impact les lotissements permettant la construction de plus de 5 000 mètres carrés de surface hors œuvre brute sur le territoire d'une commune non dotée, à la date du dépôt de la demande, d'un plan local d'urbanisme (PLU) ou d'un plan d'occupation des sols (POS) ou d'un document en tenant lieu, ayant fait l'objet d'une enquête

modification des paysages. La constitution de mégalopoles a des conséquences sur les aspects de gestion des territoires, y compris agricoles. Dans les pays industrialisés, 80 % des habitants vivent en ville. D’ici à 2030, tel sera le cas de plus de 60 % de la population mondiale. Cette poussée urbaine induit nécessairement des modifications de la faune et de la flore. Même dans une région agricole comme la HauteBretagne, nous constatons une augmentation significative de l’ampleur des tâches urbaines