90 Poeme Classique Et Contemporains

forme où le didactisme politique retrouve violence et passion. Parallèlement naissent des journaux plus passionnés encore, et plus populaires comme L'Ami du Peuple de Marat ou Le Père Duchesne de Hébert. L'Empire (1804-1815) hérite du mouvement néo-classique où il trouve un appui et les guerres napoléoniennes le répandent en Europe avec les idées libérales du XVIIIe. Le néo-classicisme s'est allié temporairement à ce qui était, en fait, la nouveauté radicale de la fin du XVIIIe : l'esthétique du sublime

Ainsi, en Suède, Gunnar Hanson établit dès 1959, dans Dikten och läsaren, une distinction entre deux façons d'être d'un poème: le poème de l'auteur et le poème du lecteur. Le poème de l'auteur est, du point de vue de la forme du contenu, la reconstruction du processus dit de «création», c'est-à-dire de reconstruction de l'origine du poème, des intentions et des idées du poète. Le poème du lecteur est la reconstruction d'une (nouvelle) forme de contenu, telle qu'elle est fixée par un lecteur donné: les

Tel n'est pas le cas des Rougon-Macquart, que la critique actuelle ne réduit nullement à un témoignage laborieux. Les écrits de Z font d'ailleurs une large place à la personnalité et au projet esthétique de l'artiste. "Toute idée de roman ou de poème qui n'est pas réalisée en sa forme parfaite n'est qu'un projet ou une ébauche d'idée, enfin une intention sans valeur. Rien n'est plus funeste à la littérature que cette sorte de matérialisme qui fait subsister l'idée indépendamment de la forme, et

l'école ou l'Europe, des récits de voyages (Le Rhin, 1842, ou Choses vues, posthumes, 1887 et 1890), et une correspondance abondante. Victor Hugo a fortement contribué au renouvellement de la poésie et du théâtre ; il a été admiré par ses contemporains et l'est encore, mais il a été aussi contesté par certains auteurs modernes[4]. Il a aussi permis à de nombreuses générations de développer une réflexion sur l'engagement de l'écrivain dans la vie politique et sociale grâce à ses multiples prises

contradictoires : s’il peut désigner les aspects les plus conservateurs des pratiques sociales et artistiques, il fait aussi signe, de manière parfois laudative, vers les notions de folklore, de coutume ou de transmission, d’héritage. Quant au terme « classique », il est lui aussi éminemment polysémique, et porte l’idée d’exemplarité, de la dignité à être enseigné, mais renvoie également à l’étude des langues mortes et du XVIIe siècle français3. Classicisme et modernité semblent les deux versants d’une

XIXe siècle Séquence 2 La critique sociale du XVIIe siècle au XVIIIe siècle Séquence 3 Le Colonel Chabert : les hommes et l’argent Séquence 4 Tragédie et comédie au XVIIe siècle Séquence 5 L’école des femmes : une comédie classique Séquence 6 La poésie, du romantisme au surréalisme p. 4 ............ p. 15 ....... p. 53 ......................... p. 79 ................................................... p. 115 ......................... p

3.2 Les expériences de Guillaume IX 7 3.3 La connaissence d`humain 9 4 L`amant parfait 10 4.1 Le jeu commence 10 4.2 Joc doussa 12 4.3 Un Maître Infaillible 13 5 Folhor 14 5.1 Joc grossier 14 5.2 Une dame contemporaine? 16 5.3 Le triomphe 17 6 Conclusion 22 7 Bibliographie 23 1. Introduction Le premier troubadour connu, Guilhem de Peitieus[1] (1071-1126), a laissé onze poèmes présentant beaucoup d’analogies mais également de nombreuses divergences

relève essentiellement de l'imitation. Il est donc indispensable, avant de proposer ce type d'exercice, d’intégrer dans le projet de lecture, une analyse permettant de dégager avec précision une ou plusieurs caractéristiques d'écriture propres au poème étudié. Il va de soi, enfin, qu'on attend d'un professeur de Lettres, des compétences d'expression écrite, la capacité de rédiger un devoir dans un style correct et d'employer une langue dépourvue de familiarités et de clichés, et présentant une

Baudelaire, p. 74 et suiv.; le ch. VI du Baudelaire de J. Prévost. (Pour les ouvrages fréquemment cités, les références bibliographiques complètes sont après les notes) 9. A. Guyaux, préface à Volupté, "Folio", Gallimard, 1986, p. 15. 10. Lettre-poème à Sainte-Beuve, "Tous imberbes alors...", Pl. I, p. 206 à 208. 11. Le Crépuscule des idoles, Gallimard, 1974, p. 110. 12. Voir G. Sagnes, L'Ennui dans la littérature française, de Flaubert à Laforgue (1848-1884), Armand Colin, 1969, p. 124 et suiv

1807. Un genre de spectacle est attribué par salle, sous l'empire (Napoléon), on a donc → 4 salles subventionnées/publiques : la Comédie Française spécialisée dans le répertoire tragique et dans les pièces en 5 actes en vers l'Odéon : comédie et contemporain : nouveautés d'un théâtre littéraire l'Opéra : ou l'on donne le Grand Opéra : forme la plus noble, la mieux reconnue l'Opéra Comique : théâtre musical et formes hybrides : associent parole et musique et formes opératiques de petite envergure.