Bouddhisme

(dharma) peut signifier « foi », « religion » ou « loi » ; tandis que le sinogramme 宗教 « zōng jiào », de création plus récente, est connoté de l'idée d'un enseignement. En Chine, c'est en employant ce terme que la loi reconnaît cinq religions : le bouddhisme, le taoïsme, l'islam, le protestantisme et le catholicisme. Ainsi la religion, quelle qu'en soit l'origine, n'est pas une question uniquement occidentale. En ce sens, de nombreuses études proposent aujourd'hui d'étudier non plus seulement la religion

rituelles, habitat, mythes... Une méthode où l’ethnographe se met toujours à distance, relativise notre regard et la vision portée par la civilisation occidentale. La dernière partie, « le retour », est une méditation comparative entre, notamment, le bouddhisme indien et les religions du salut, christianisme et islam - sévère pour ces dernières. Lévi-Strauss incite notre espèce à se libérer de « l’orgueil intellectuel » , à se « déprendre » et à « saisir l’essence de ce qu’elle fut et continue d’être,

d’arts du XXe siècle. (Quelques artistes : Marcel Duschamp, Anette Messager, Arman, etc…). En Islam, des reliques sont associées au prophète Mahomet comme des dents. Par contre, la Mecque n’est pas lié à des objets rituels. Cela concerne aussi le Bouddhisme, puisque l’on retrouve des reliques de Bouddha un peu partout dans le monde. Au départ, les lieux comme le sanctuaire, la chapelle étaient fait pour protéger les reliques. Sans les cultes des reliques au Moyen-Age on ne peut comprendre la disposition

être cher (mort, séparation, encore faut-il être en vaille de peine) * Lorsque la souffrance vient de Dieu (dans certaine religion, la souffrance a un rôle de rédemption) * Catholicisme : la souffrance fait partie de l’être humain * Bouddhisme : l’être est un être de souffrance puisqu’il désire. Il faut arriver à supprimer le désir pour supprimer toute souffrance. On atteint alors la pureté qui permet la compréhension grâle du monde * Protestants : la souffrance vient de l’absence

Les rites et les fêtes du Bouddhisme Le calendrier bouddhiste démarre (an 1) au Parinirvâna du Bouddha (mort et libération finale) qui eut lieu lors de sa 80ème année. -A la pleine lune du mois de Février - MAKHA PUJA Commémoration du Grand Rassemblement. Les fidèles se réunissent pour commémorer les 4 grands événements survenus à l'époque du Bouddha. Il s'agit de la commémoration de la prédiction de bouddha faite à 1250 disciples, lors de laquelle le maître spirituel a donné un aperçu de son

provenance d’Indonésie des premiers Austronésiens dans la région, notamment à Madagascar. Contacts avec l’Afrique orientale où des plantes cultigènes asiatiques (banane, taro, igname, etc.) sont introduites. * VIIe siècle : épanouissement du bouddhisme à Sumatra et Java. Voyages de plusieurs moines bouddhistes chinois, dont Yi Jing, en Inde en passant par la voie maritime. * 860 : une inscription de Java mentionne, dans une liste de domestiques, le nom de Jenggi, c’est-à-dire « Zeng », nom

meurtre. Et plus la personne assassinée est faible, plus le meurtre est grave. Or, personne n'est plus faible qu'un embryon. Pour l'Eglise, même si l'embryon a été conçu lors d'un viol, on ne répare pas les souffrances en tuant un innocent. Le bouddhisme est aussi contre l'avortement. L'une des principales règles des bouddhistes est « de ne pas détruire de créatures vivantes ».  Ainsi, tuer un fœtus revient à tuer un être humain, ce qui rend évidemment l’avortement incompatible avec le premier précepte

en chinois et connaît une renommée qui égale celle de sa sœur, Ho Ran-sol-hyon (1563-1589), considérée, comme la meilleure poétesse de la Corée. Au cours de sa carrière, il connaît à plusieurs reprises la disgrâce. Il est accusé de professer le bouddhisme pour lequel la cour confucéenne n'a que mépris. Compromis dans un complot, il est arrêté et exécuté en 1618. Ce roman a été traduit et présenté par Patrick Maurus. Il se consacre à la connaissance de la littérature coréenne et enseigne à l'Institut

Africain et Malgache, Hatier) | MOTS CLÉS | | * Pakistan * Bangladesh * Indus (cours d’eau) * Gange (cours d’eau) * Deccan (ou Dekkan) | * Harsha * Kanauj * Dehli * Incursion * Belliqueux | * Tamerlan * Hindouisme * Bouddhisme * Vijayanagar * sanscrit | Contenus spécifiques | Objectifs intermédiairesà la fin de cette leçon, l’apprenant sera capable de : | Matériel didactique | Activités d’Apprentissage / Évaluation | Évaluation sommative | Durée | Introduction

Trisong Detsen, descendant de Songtsen Gampo, monta sur le trône. Son règne marqua à la fois l’apogée de la puissance militaire tibétaine, les cavaliers des hauts plateaux envahissant la capitale chinoise Chang An en 763 ; et à la fois l’essor du bouddhisme au Tibet, Trisong Detsen déclarant en 783 cette religion religion d’état au Tibet. Le successeur de Trisong Detsen, Tridé Songtsen , entreprit de signer les premiers accords de paix entre entre la Chine et le Tibet entre 821 et 823. Ce traité