Bouddhisme

emportaient des fourrures, des céramiques, de la cannelle et des armes en bronze. Au fil du temps, les marchands ont aussi transmis leur religion aux différents peuples qui habitaient sur la route de la soie ainsi l’islam, le christianisme, le bouddhisme eurent de nouveaux adeptes. Les chefs locaux se convertissaient aux religions des marchands pour pouvoir les fidéliser. Les monastères et mosquées laissées sur la route de la soie témoignent la présence de différentes religions. 3 Un cas illustratif

 Rite funéraire bouddhiste Les rites funéraires dans le bouddhisme :  Les rites funéraires bouddhistes sont parfois très différents selon les nombreux courants de cette religion : tibétain, indien, chinois, coréen ou japonais. Mais, d’une manière générale, le corps est toujours placé sur son côté droit, dans la position du « lion couché », imitant la posture de Bouddha lorsqu’il est mort. On place ensuite la main gauche sur la cuisse gauche et la main droite sous le menton (fermant

plus profond et de plus précieux, et adresse directement un message d’espoir doublé d’un appel à l’action. Cette philosophie, bien qu’entièrement séculaire présente des parallèles avec nombre de traditions spirituelles venues du monde entier : bouddhisme, soufisme, christianisme et ne s’oppose à aucune théologie. Reconnaitre sa vulnérabilité, ses peurs et ses zones d’ombres, les accueillir avec douceur, bienveillance et compassion plutôt que chercher à les nier, les cacher à soi-même ou aux autres

l'enseignement et le modèle idéal de vie ont été conservés par une tradition d'abord orale (cf le christianisme, le bouddisme). Si les religions diffèrent entre elles, c'est sur les moyens qu'elles conçoivent pour réaliser le salut: par exemple le bouddhisme préconise une ascèse visant à éteindre en nous tout désir individuel, à rompre avec le monde des «apparences». Le christianisme est une religion parfois davantage tournée vers le monde et la vie -bien que préconisant une certaine ascèse (cf monastères

abomination » Le judaïsme rejoint l’idée de la religion chrétienne Bouddhisme Le Bouddhisme ne condamne pas l’homosexualité, en tout cas il n’est pas écrit sur leur texte. Cependant le Dalaï Lama a clairement déclaré que la morale bouddhique ne pourrait la tolérer. A travers les années, le point de vue des différentes religions, par rapport à l’homosexualité, restes les mêmes, c'est-à-dire qu’il reste très négatif sauf pour le bouddhisme où il l’est moins. 2) Les religions discriminent-elles l’homosexualité

ouvrage sur ce thème, 1995). Il a plus récemment écrit Le Voyage de la 5ème Saison (2001), récit de l’observation d’une lamaserie, Nirvana (2002), son premier roman ainsi que deux essais sur les métamorphoses du bouddhisme en Occident : Gouttes de rosée aux jardins du lotus (2004), Néo bouddhisme (2007). Il vient de publier deux ouvrages d’études et de recherches interculturelles : Au Pays du Matin Calme (2008) et Anthropologie Interculturelle (2008). Sa notice biographique mise à jour : http://marc-bosche

que membre de son sanctuaire local. Malgré tout, la religion la plus populaire et avec laquelle le Japon s'est bâti (étant donné qu'elle est native du pays) reste le shintoïsme. D'autres religions se sont vues atterrir sur l'archipel, comme le bouddhisme, venu d'autres pays voisins tels que la Corée et de Chine, le christianisme, religion européenne, et plus récemment le judaïsme ou l'islam, venu respectivement de populations immigrées venant de pays du Moyen-Orient multi-culturels tels que la Syrie

et de rayonnement culturel, le Japon, encore par bien des côtés rétrogrades, en tire la leçon et décide de se mettre à l'école de la Chine. On adopte l'écriture, les institutions et organisations politiques chinoises, l'art et l'architecture, le bouddhisme et l'homosexualité. L'amour des garçons, répandu d'abord dans l'enceinte du temple, puis dans celle du palais, avant de déborder hors les murs pour envahir toute la société, est donc conçu comme un indice de civilisation. Plus encore, un témoignage

anciennes et dans les villes modernes. Chacune de ces maisons possèdent leur propre jardin (quelques plantes décorent à la fois les jardins et les intérieurs) La morale individuelles et collective des idéaux familiaux, du culte des ancêtres lié au bouddhisme, de la piété filiale inspirée de la morale philosophique restent vivaces et sont enseignée dans les écoles pendant environ une heure par semaine puis se poursuit dans la formation imposée par toute société ou administration. Cette morale fonde la

Védas (Rig-Véda, Sama-Véda, Yajur-Véda et Atharva-Véda) qui constituent ce livre. À cette époque, cette religion s’appelait sanâtana dharma (loi éternelle) ou védisme. Par la suite, l’hindouisme connaît un nouvel essor au Moyen Âge dû au déclin du bouddhisme au Ve siècle. Il continue son expansion au Sud de l’Asie et se repend en Occident au XXe siècle. En 1893, à l’expos universelle de Chicago, on entend parlé de la Ramakrishna mission, mission qui consiste à faire connaître la religion hindoue à travers