Le Déterminisme

lois ne concourrent pas à l'expension toujours plus importante d'une liberté humaine. Pour finir, la notion de déterminisme est importante à analyser ; c'est une théorie selon laquelle la succession des évènements et des phénomènes n'est due qu'au principe de causalité. On parle aussi d'une façon plus générale, de "loi" pour exprimer cette régularité dans les phénomènes. Le déterminisme s'apprente alors au nécessitarisme qui affirme la nécessité des phénomènes en vertu du principe de causalité. Il

KANT oppose limite à borne. •liberté : Ce mot, en philosophie a trois sens : 1° Libre arbitre. Pouvoir mystérieux de choisir entre les motifs qui me sollicitent sans être déterminé par aucun d'eux. 2° Liberté de spontanéité. S'oppose non plus au déterminisme mais à la contrainte : état de celui qui agit sans être contraint par une force extérieure. 3° Liberté du sage. État de celui qui est délivré des passions et agit à la lumière de la raison. Les responsabilités sont des contraintes. On n'est

instincts, etc. Toute vraie liberté est éclairée, motivée. C’est qu’il ne faut pas confondre « cause » et « raison » ou bien encore, « mobile » et « motif » : si la cause ou le mobile sont extérieurs à vous et vous déterminent donc à votre insu (déterminisme naturel, inconscient, passions, contrainte, etc.), la raison ou le motif viennent de vous (obligation, décision longuement mûrie, raison, etc.). Ici, vous n’êtes pas semblable à un animal, vous réfléchissez…cette acception est donc compatible avec

différencier de la classe sociale d’origine en fonctions d’acteurs divers et variés (loisirs, situation géographique, établissement fréquenté…). C’est ce que présente Bernard Lahire dans le document 2 en contrant la thèse de Pierre Bourdieu et de son déterminisme social, car pour lui, l’individu n’est pas uni-dimensionel mais peut appartenir à plusieurs groupes sociaux en même temps, à travers le groupe de pairs par exemple. On remarque notamment que dans les cités, la bande est un lieu de socialisation

partit. Autrement dit, notre identité est déterminée, nous ne choisissons pas ce que nous sommes, notre existence nous échappe et nous sommes comme Sartre le dit « jetés au monde ». L'auteur ensuite, fait une sorte d'énumération de différents déterminismes : « ma classe, ma nation, ma famille, d'édifier ma puissance, mes habitudes... » (l.4-5). Ainsi l'auteur met en valeur le mot « libre » car si l'homme est liberté, il y a une série de conditions dans lesquelles il est prit, il ne peut les choisir

Thèmes Christianisme Descartes Rapport déterminisme ∕ liberté Libre, mais encadrée par l’Évangile : L’être humain est libre de mené sa propre vie, car durant son cheminement, il a eu connaissance du bien et du mal qui lui ont été transmis par l’Évangile. C’est cette connaissance qui permet à l’être humain de prendre ses décisions dans tous les domaines de la vie. Liberté absolue : L’être humain est, pour Descartes, libre. Il considère que plus tu possèdes des connaissances et que plus tu mets

par l’ensemble de ses actions, mais aussi par ses projets pour le futur. « Si, en effet, l’existence précède l’essence, on ne pourra jamais expliquer [l’homme] par référence à une nature humaine donnée et figée; autrement dit, il n’y a pas de déterminisme, l’homme est libre, l’homme est liberté ». Pour Sartre, cela signifie que l'homme existe d'abord, se rencontre, surgit dans le monde, et qu'il se définit après. L’homme est donc libre car sa nature n’est pas préétablie. Ce sont les gestes qu’il

une chose » (l.1). Est libre la chose qui agit d’elle-même (« par la seule nécessité de sa nature »). Et donc, une chose qui agit par la conséquence d’une cause extérieure ne peut pas être libre, elle est « contrainte ». Il définit le principe de déterminisme, il affirme que tout ce qui se produit dans le monde a une cause et est régi par des lois rigoureuses et externes. Pour rendre plus claire le principe de liberté Spinoza utilise l’exemple de dieu, une chose libre selon lui. Pour Spinoza, Dieu

plus de légèreté et de comédie. D’autre part, cette pièce traite de thèmes marquants dans la société du XX siècle. Ceux-ci justifient encore mon choix car je pense que l’effet moral sur le public est très important dans le théâtre. Les sujets du déterminisme social, les principes religieux et la condition des femmes sont démontés dans cette histoire. Si présents et polémiques encore ces temps-ci, ils me tient à cœur de produire une pièce qui relate de ceux-ci. L’histoire de cette pièce est intime

constituent un moyen de distinction sociale. Selon Bourdieu, plusieurs types d’habitus suivant l’appartenance à telle ou telle classe. Ainsi classe populaire = notion de nécessité par le manque. On notera la possibilité d’exceptions, d’où pas de déterminisme, mais plutôt de grandes tendances que Bourdieu s’attache de mettre au jour. Contradiction à cette enquête par intermédiaire d’une autre, menée par un sociologue lyonnais, Bernard Lahire, publiée en 2004, et s’intitulant « La culture des individus