À l'est d'Éden

LA CONDITION HUMAINE La condition de l’H est inconfortable car instable, fragile, difficile à trouver et à appréhender. Elle est le résultat de choses : _ la complexité de l’Univers qui fait que l’H trouve difficilement sa place. _ le péché originel comme fondement de toutes les contradictions à l’H et qui fait de lui un paradoxe, un « monstre incompréhensible ». Cet inconfort mène à l’ennui cad le dégoût de l’H pour lui-même. I- La place de l’H dans l’Univers (lire fragment

hommes John Steinbeck a écrit le livre Des souris et des hommes ( collection folio ) en 1936 . I. Biographie de l’auteur John Steinbeck est né en 1902 à Salinas dans l’état californien , son père est trésorier et sa mère institutrice . C’est sa mère qui lui donnera le gout de la lecture . Il étudiera au lycée de Salinas , et , il finira ses études à l’université de Stanford néanmoins sans jamais avoir eu de diplômes . Il occupera un emploi de journaliste à New York dans qu’il abandonnera

particulier grâce à John Milton (poète anglais) et Mikhaïlovitch Dostoïevski (écrivain russe). Pendant les vacances scolaires, il travaille dans les ranchs environnants pour gagner un peu d’argent et payer ses études de biologie marine à Stanford mais il n'obtient jamais de diplôme. Il rêve de devenir écrivain et publie plusieurs textes dans le journal de l'université. Il part pour New York en 1926, où il travaille pour le journal American, avant de revenir en Californie. Il continue à écrire et

John Steinbeck  Romancier américain, John Steinbeck est né le 27 février 1902 à Salinas (Californie, Etats-Unis), dans une famille d'origine allemande. Son père s'occupe de politique au niveau local, sa mère a enseigné sur la côte, à Big Sur. Encore écolier, John Steinbeck, comme beaucoup de ses condisciples, aide aux soins du bétail et conduit les machines agricoles du voisinage. En 1919, il s'inscrit à l'université de Stanford, en précisant qu'il n'étudiera que ce qui l'intéresse et ne passera

1 Rousseau, Lettre à d’Alembert sur les spectacles (1758) Séance 3. Le théâtre, ou l’autre fin de l’état de nature Étude proposée par David Chaumat. Objectifs Approche de l’état de nature, du thème des cabanes rustiques à travers la Lettre et de l’origine des inégalités à travers l’étude des Montagnons. Découverte des symboliques du labeur. Méthode Étude et comparaison de deux textes. Une lecture méthodique. Un devoir surveillé comme bilan des acquis. Support : trois textes Texte n° 1 : Rousseau

Dostoïevski. Pendant les vacances scolaires, il travaille dans les ranchs environnants. Il étudie la biologie marine à Stanford, mais n'obtient jamais de diplôme. Il rêve de devenir écrivain et publie plusieurs textes dans le journal de l'université. Il part pour New York en 1926, où il travaille pour le journal American, avant de revenir en Californie. Il continue à écrire et se nourrit grâce à des petits boulots variés. Son premier roman, La Coupe d'or, en 1929, de même que le recueil Les Pâturages du

le mieux dans le meilleur des mondes possibles, mais sans la détruire tout à fait puisque la plupart des personnages finissent par cultiver leur jardin tranquillement en y renonçant. Le conte est publié en 1759, anonymement, puis sous un pseudonyme en 1761. Un conte philosophique est un écrit qui prend la forme du conte traditionnel en y ajoutant une dimension supplémentaire, la satire. Ainsi on remarque l’ironie des propos à travers le ton de l’auteur. Voltaire commence son conte dans un paradis pauvre

le mieux dans le meilleur des mondes possibles, mais sans la détruire tout à fait puisque la plupart des personnages finissent par cultiver leur jardin tranquillement en y renonçant. Le conte est publié en 1759, anonymement, puis sous un pseudonyme en 1761. Un conte philosophique est un écrit qui prend la forme du conte traditionnel en y ajoutant une dimension supplémentaire, la satire. Ainsi on remarque l’ironie des propos à travers le ton de l’auteur. Voltaire commence son conte dans un paradis pauvre

meilleur possible. Le mal existe ponctuellement, mais il est compensé ailleurs par un bien infiniment grand[3]. De plus, selon Leibniz, rien n'arrive sans qu'il n'y ait à cela une cause nécessaire[4]. Cette croyance est ce que l'on appelle l'optimisme leibnizien. Voltaire voit dans cette philosophie un encouragement au fatalisme. Il oppose à cet optimisme qu'il juge béat, une vision lucide sur le monde et ses imperfections et il affiche, notamment dans ses lettres philosophiques[5] une confiance envers

supérieure à l’homme, comme une nécessité incontestable pour l’humanité. En effet, il décrit dans un premier temps la nature comme un moyen de fournir l’heure et le temps : « Dès que le chant du coq annonçait le retour de l’aurore, Virginie se levait », « Bientôt après, quand le soleil dorait les pitons de cette enceinte, Marguerite et son fils se rendaient chez Madame de la Tour ». La nature a donc un rôle indéniable de repère. Elle est essentielle à leur vie. Par ailleurs, la nature a également