A Quoi L Oeuvre D Art Sert Elle

Un début de problématisation ...     Telle est en effet la thèse que développe Diotime I dans le Banquet de Platon. Les dieux, qui ont le savoir à leur disposition, ne cherchent pas à philosopher puisqu'ils sont dans la connaissance. À l'opposé, les ignorants non plus ne philo¬sophent pas parce qu'ils n'ont pas la conscience de ce qui leur manque, ce savoir dont les dieux disposent et dont ils sont privés. Le philosophe, par son désir et la tension qu'il manifeste en direction de la sagesse, montre

rationnel, trop sec, on veut créer un art nouveau. L’art nouveau, c’est la liberté des formes, basé sur un style organique. L’art nouveau c’est une ligne qui se courbe et quatre éléments fondamentaux, la couleur le fer et l’air. Les progrès techniques marquent le début et caractérise la modernité, et marquent également la transformation de la vie sociale, politique et économique (industrielle). On cherche une architecture qui nous ressemble et qui correspond à notre époque, c’est ainsi l’arrivée du

catalogue de l'exposition MenschenDinge, d'Esther Shalev-Gerz qui s'est tenue à Berlin en 2006. Présentation de l’auteur, Jacques Rancière Philosophe, professeur à Paris 8, travaille sur des champs d’études très larges de la politique à l’esthétique en passant par l’éducation. Elève de Louis Althusser (marxiste, courant dont Rancière va s’émanciper) Exposition de E.S.G MenschenDinge (=l’aspect humain des choses) = Moyen/support à partir duquel J.R. Développe une réflexion philosophique sur l'image

Jeudi 5 janvier Expo de Noël : Stéphane Déplan : Ville de Grenoble 2010 Fesses+logo Ville de Grenoble Stéphane Déplan gagne le prix de la Ville de Grenoble : il est astreint à une tâche de communication. Il joue le jeu, mais jusqu’à l’absurde, il utilise son corps comme support de communication. Si c’est un tatouage définitif, le geste est radical : il accepte d’être « la pute » de la ville de Grenoble (sous l’Ancien régime, on tatouait les bagnards et les prostituées ; fleurs

Texte :  «Celle de Bergotte survint la veille de ce jour-là où il s’était ainsi confié à un de ces amis (ami ? ennemi ?) trop puissant. Il mourut dans les circonstances suivantes : Une crise d’urémie assez légère était cause qu’on lui avait prescrit le repos. Mais un critique ayant écrit que dans la Vue de Delft de Ver Meer (prêté par le musée de La Haye pour une exposition hollandaise), tableau qu’il adorait et croyait connaître très bien, un petit pan de mur jaune (qu’il ne se rappelait pas) était

la littérature qu’opère Sartre dans sa production littéraire. En effet, il lui a été reproché de prendre en otage la littérature sous une conception engagée, politique, utilitaire, reniant ainsi la littérarité de cet art. Au contraire, Sartre va tenter de démontrer en quoi la littérature doit aussi se comprendre comme médium entre des pans de la société, comme opération révélatrice de ce qu’est celle-ci. La montrer à elle-même, la faire (se) réfléchir. *** I Qu’est-ce qu’écrire Sartre différencie

spectacles comiques dans la société. Nous allons tout d’abord démontrer qu’un spectacle comique sert uniquement à divertir, pour ensuite argumenter qu’au contraire il peut amener les spectateurs à s’interroger. Les spectacles comiques sont des œuvres basiques, peu subtiles, pour qu’elles soient comprises par le plus grand nombre. En effet, durant l’Antiquité, déjà, les spectateurs allaient assister à ce genre de divertissement uniquement pour le plaisir de rire, et non pas pour se poser des

nomme de réécriture, mais de quoi s'agit-il lorsque le mythe est latent ? Nous ne pouvons nous empêcher de remarquer de claires similitudes entre la relation de Monsieur de Sainte et Colombe et sa défunte femme et le mythe d'Orphée et Eurydice, pourtant le poète musicien n'est jamais nommé dans cette œuvre, alors peut-on la considérer comme une réécriture ? Nous nous intéresserons donc aux visitations de Madame de Sainte Colombe et il s'agira ensuite de savoir en quoi elles renvoient au mythe tristement

» d’Hésiode à la période de la Renaissance où on a pu lire des auteurs humanistes qui reviennent sur l’œuvre d’Esope, comme Erasme, Montaigne, etc. La Fontaine exprime cette ascendance dans sa préface de 1668 où il cite de très nombreux auteurs du genre tels que Socrate, Esope, Phèdre ou Aviénus. L’engouement de l’époque pour les fables a contribué à leur prolifération. La Fontaine, qui a sacrifié sa vie pour son œuvre, l’assimila dans la fable 1 du Livre V à : « une ample comédie à cent actes divers

discipline relativement récente comme si l’homme n’avait pas toujours eu un rapport à la production d’images, une production en laquelle il manifestait son effort d’une compréhension de phénomènes ou mettait en œuvre une stratégie de gestion de certains faits. L’image mortuaire, connue depuis les Romains, fut un moyen de conservation de l’image de la personne qui a définitivement quitté le monde sensible. Cherchant à définir les limites de cette discipline, les anthropologues sont partis de l’hypothèse