A Quoi Sert Un Mythe

TRAVAUX PERSONNELS ENCADRES SOMMAIRE : Introduction Page … 2 I/ Le vampire, représentation de la bestialité. A/ Il est inquiétant. Page … 4 B/ Est-il mort ou vivant ? Page … 9 C/ Il se nourrit de sang humain. Page … 13 D/ Les pouvoirs. Page … 16 E/ Son insensibilité. Page … 20 II/ La séduction et le raffinement chez le vampire. A/ Le dandysme Page … 24 B/ La sensualité Page … 25 C/ La finesse le sa culture Page … 28 D/ Est-il humain 

Molière Intro : 1665 est un moment particulier pour Molière, il vient d’essuyer l’échec de Tartuffe ce qui le contraint à écrire une nouvelles pièce rapidement pour sa troupe. Il reprends donc le mythe de Dom Juan à son propre compte et imagine le personnage de Sganarelle qui n’était pas dans la version de Tirso de Molina où il y avait un simple valet. Il a renoncé à Tartuffe mais reprends quand même le thème principal qui était l’hypocrisie sociale et religieuse pour sa pièce Dom Juan. Nous

anthropologique) Les techniques sportives et les sports sont des manifestations de la culture de l’homme (ce ne sont pas des gestes) Réfléchir à la question de la règle sportive, comme un système de contraintes qui a été inventé par l’homme pour transformer la motricité (deux perceptions de la règle, règle comme sanction et règle positive comme aide à transformer l’homme, la règle permet l’affinement continu de l’activité humaine) Comment on peut voir toutes ces perceptions en pratique

De pandore à méduse, le pouvoir des images Le mythe de Pandore est un mythe d’origine mais si l’histoire qu’il raconte nous ramène au temps fort de la création, sa fonction, comme celle de tout mythe dans nos sociétés modernes, reste historiquement instable. On sait qu’il y a des mythes forts et des mythes faibles. Celui-ci faisait encore partie des mythes forts : le quantum politique y était immédiat. Rien d’autre dans le mythe de Pandore que la sollicitation incessante adressée à la femme -

soulève l’idée d’une possibilité d’une légitimité, voire d’un devoir de l’individu à le faire. Le sujet « on » sous-entend à la fois l’individu lui-même et l’ensemble des humains. Parallèlement à la question de la possibilité, l’idée de souhait, de désir est évoqué. La notion de travail signifie l’activité par laquelle l’homme produit ses moyens d’existence, soit de manière directe : en tirant de la nature ce dont il a besoin, en transformant la matière première en objet qui lui sont nécessaires. Soit

la littérature qu’opère Sartre dans sa production littéraire. En effet, il lui a été reproché de prendre en otage la littérature sous une conception engagée, politique, utilitaire, reniant ainsi la littérarité de cet art. Au contraire, Sartre va tenter de démontrer en quoi la littérature doit aussi se comprendre comme médium entre des pans de la société, comme opération révélatrice de ce qu’est celle-ci. La montrer à elle-même, la faire (se) réfléchir. *** I Qu’est-ce qu’écrire Sartre différencie

En effet, le mythe est une quête initiatique composée de 8 étapes. La partie du mythe qui compose la tragédie est celle du châtiment .Le châtiment est lui-même divisé en trois parties : enquête, révélation, châtiment. Cette scène que nous allons étudier est une étape de l’enquête de la recherche identitaire d’Œdipe. Il faut rappeler que la règle des trois unités est purement du 17e siècle français, néanmoins Aristote insiste sur le principe de condensation comme étape essentielle à la tragédie.

  La jeunesse : un mythe dépassé      L’illusion de la catégorie   La jeunesse, en tant que classe d’âge, est un mythe dangereux. Dangereux pour les individus  traversant  cette  période  de  la  vie,  car,  ainsi  catégorisés,  ils  perdent  leur  identité  de  personnes uniques pour n’être plus définis que par leur âge : on dit un « jeune », comme on  dirait un cheval. Dangereux pour ceux qui ont affaire à la jeunesse, car, le regard faussé par  l’abstraction, ils perdent de vue la complexité hétérogène d’une somme d’individualités

intense (il décède à l’âge de 37 ans). Elle a été marquée par la multiplicité d’expériences : révoltes, fugues, désertion, alcool, homosexualité, trafic d’armes…. Arthur Rimbaud se moque des interdits, des convenances et des conventions. Rien n’est sacré…que sa liberté. De même, il va créer un nouvel univers poétique « Je dis qu’il faut être voyant, se faire voyant par un long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens. » Il mettra pourtant un terme brutal à sa vie poétique à l’âge de 20 ans

Cours 1 : Introduction à Phèdre I. La tragédie au XVIIe siècle1. La représentation d'une action violente par la parole1.1. La représentation d'une action · La tragédie est un genre « noble » aux côtés de l'épopée, dont les grands principes et fonctions ont été définis par Aristote dans sa Poétique au IV siècle avant JC : « La tragédie est la représentation d'une action noble menée jusqu'à son