A Quoi Sert Un Mythe

Philosophie explication de texte Mythe, art, science, philosophie et religion sont autant de manifestations de la fonction symbolique par laquelle les hommes reconnaissent, expriment ou donnent sens à leur situation dans le monde. Toute communauté, toute histoire s’enracine dans un fond commun de croyances et de valeurs. La religion est l’un de ces produits d’une dimension fabulatrice sans laquelle l’homme ne peut se concevoir. Le texte que nous abordons repose sur le thème de la religion et le

propose-t-il une présentation complète des éléments importants du roman ? Comment cet extrait remplit il son rôle d’incipit ? Quelles sont les fonctions de ce début de roman ? En quoi ce prologue prépare-t-il le lecteur au récit qui va suivre ? Quelle est l’originalité de ce début de roman ? Le prologue I La question du genre : à quel genre appartient La peste ? Questions possibles : quelles libertés l’auteur prend-il avec les règles du genre ? Alors que La peste est considéré comme un roman par la

Par Fethi Gharbi L’homme moderne est l’esclave de la modernité : il n’est point de progrès qui ne tourne pas à sa plus complète servitude. (Paul Valéry) La crise à laquelle nous faisons face aujourd’hui est au-delà de sa composante économique une crise de civilisation. En effet, depuis quelques années le capitalisme semble engager un combat insensé. La crise financière de 2008 a constitué la preuve irréfutable que cette divinité factice appelée capital était dans l’incapacité de se reproduire

Les relations Don Juan/Sganarelle Le Dom Juan de Molière, écrit en 1665, est la version la plus connue du mythe de Don Juan, ce séducteur libertin qui aime séduire, tromper et se moquer des femmes qu'il considère comme des objets. Molière a crée un personnage secondaire dans sa pièce mais d'autant plus important : Sganarelle, seul personnage de la pièce qui semble avoir une véritable dimension psychologique après son maître. Nous pourrons nous demander quelles relations entretiennent

Les relations Maître/Valet Le Dom Juan  de Molière, de 1665, est un grand mythe. Ce libertin qui aime séduire, tromper et se moquer des femmes considère ces dernières comme des objets. Sganarelle, personnage secondaire de la pièce mais aussi important est le seul ayant une véritable dimension psychologique après son maître. Quelles relations Don Juan et Sganarelle entretiennent-ils ? Dans un premier temps, nous verrons qu'il s'agit d'une simple relation maître-valet. Puis, nous observerons que

I. Cyrano et Rostand…………………………………........4 a. Le destin d’un héros…………………..………………….4 b. Un héros ordinaire ……………………………………….5 c. Un personnage haut en couleurs………………………….6 II. Un mythe français……………………………………….7 a. Un agencement des symboles identitaires de la France…..7 b. Le nez de Cyrano………...……………………………….8 III. Analyse des thèmes………………………………....10 a. Le thème du masque………………………..……...……10 b. Le thème de l’ascension et de la chute…………….

Sujet: Le Japon a-t-il adopté une position cohérente vis-à-vis de l’intégration ou de la non intégration des étrangers ? Le terme d’”étranger” au Japon est souvent employé comme opposition au citoyen japonais. Or, il existe une multitude de facteurs pouvant définir l’appartenance d’un individu à un Etat: le sang (a-t- il un ou deux parents japonais ?), la culture (peut-il parler la langue et a-t-il intégré les codes de la société japonaise ?), ainsi que la nationalité (statut juridique accordé

LE DESIR SUPPOSE T-IL AUTRUI Introduction Se demander si le désir suppose autrui, c’est se demander si autrui est la condition de possibilité de mon désir. A priori, il semble qu’il n’y ait pas de désir sans objet. Autrement dit, il semble qu’aucun désir ne puisse exister sans autrui, sauf à penser un désir vide, qui tourne indéfiniment sur lui-même, un désir sans but. Mais que le désir n’ait pas de fin, n’est-ce pas là en réalité ce qui le définit ? Car si le désir est la quête d’un objet

(CONSCIENCE, INCONSCIENCE, LIBERTÉ) I- VARIÉTÉ DE LA CONSCIENCE a. conscience immédiate et conscience réfléchie la conscience renvoie à différents phénomènes de nos vies : - conscience immédiate (animal) : être capable de s’orienter, de se nourrir, posséder une âme sensitive, être en contact direct avec le monde (voir le monde tel qu’il nous est utile, pas tel qu’il est) - conscience réfléchie, introspective (humain) : contrairement à l’animal, l’humain réfléchit, prend de la distance par rapport

Descartes, Lettre à Mersenne du 18 mars 1630 A quelle conception du beau la seconde phrase du texte vous paraît-elle marquer une opposition ? Dans cet extrait de la Lettre à Mersenne du 18 mars 1630, Descartes s'oppose à une conception universelle du beau, puisque le beau n'existe que par notre subjectivité, et n'est donc par conséquent "qu'un jugement de valeur", qui relève d'une satisfaction. Ainsi, le beau ou l'agréable ne sont pas des concepts vagues, mais correspondent à un jugement concret