A T On Le Droit De Mentir

n'est pas bonne à dire et il existe des circonstances où je sais pertinemment que dire la vérité nuira à autrui. Que faut-il alors en penser : Y a-t-il un devoir absolu de vérité ou est-il parfois moral de taire ce qu'on sait ? L'enjeu de cette question est celui de nos devoirs envers autrui, s'il est vrai que la parole est un acte social. Il est clair qu'il existe des circonstances où ne pas dire la vérité est une lâcheté mais faut-il en conclure que la véracité est un devoir c'est à dire un impératif

extrait de http://pagesperso-orange.fr/fillosophe/pensees/mentir.htm) Désolée, mais là, vous n'allez pas couper à une vraie leçon de morale... Eh oui, ça fait partie de mon boulot de philosophe aussi. Pourquoi est-ce que "mentir, c'est pas bien" ? Et pourquoi n'est-ce jamais bien, même si souvent on ment en se croyant plein de bonnes intentions, pour faire plaisir à l'autre, pour le protéger, parce qu'on l'aime... ? Et pour tenter de résoudre cette fort rébarbative question, le pire de

Être soi même c'est l'aboutissement d'une recherche perpétuel de l'homme. C'est ce qui permet à l'homme d'être un être original et unique. Les hommes sont tous doté d'un personnalité et d'un être différent. Ce qui veux dire que notre identité nous ai propre et donc qu'elle est forcément différentes de celle des autres. Car si je suis moi je ne suis pas un autres. On peut donc supposer que pour être soit même il faut se différencier des autres.Il faut donc toujours rechercher la différence si

télé-réalités et l’internet. a. Emmanuel Kant est un philosophe allemand du XVIIIe siècle (1724-1804). i. Il fonde l’Éthique déontologique, c’est-à-dire une réflexion sur l’éthique basée sur la notion de Devoir1. Ce devoir, c’est l’obligation que s’impose un individu à lui-même de toujours agir en fonction de principes moraux, peu importe les conditions. ii. L’éthique du devoir s’éloigne de l’éthique des vertus. Les vertus s’appuient sur ce que l’on est. Le devoir renvoie à ce que l’on devrait être

contraire, que « toute vérité n’est pas bonne à dire » ? La vérité est, par excellence, ce que nous désirons savoir. Elle possède un sens formel (la cohérence du discours) et un sens matériel (la conformité avec le réel). Mais les deux sont liés, spécialement quand il s’agit d’être sincère, honnête, bref de ne pas mentir : je dis la vérité quand mon discours est cohérent parce que conforme à la réalité ! C’est du moins ce qu’autrui attend de moi quand je m’adresse à lui. Il est clair que l’expression «

de .. à t’ont la capacité de … à t’ont la faculté de … à t'ont les moyens physiques , intellectuelles , psychologiques de … à partir de notre question qui est : Pouvons nous exprimer toutes nos pensées , somme nous alors dans la possibilité de toutes les exprimer ? A t'ont la capacité et la faculté d'exprimer toutes nos pensées ? Avons nous les moyens physiques , intellectuelles et psychologiques pour exprimer toutes nos pensées ? Est-il légitime d'exprimer toutes nos pensées ? Doit on mentir afin

Y a-t-il une vérité du mensonge ? Dans toute société, le mensonge est considéré comme "l’ennemi» de la vérité. Ce qui nous amène à penser que le mensonge ne peut en aucune manière contenir des éléments vrais, irréfutables mais uniquement des éléments faux, sans fondements. Pour l’opinion commune, le mensonge ne peut dévoiler une vérité. Cependant Il ne peut y avoir de fausse note que dans un cadre harmonique. De la même manière, le mensonge n'a de signification que sur un fond de vérité, dont

Le Parti a un programme: la realisation d'une economie socialiste, et un moyen: l'utilisation de la lutte de classes. Vous allez vous servir de lui pour faire une politique de collaboration de classes dans le cadre d'une economie capitaliste. Pendant des annees vous allez mentir, ruser, louvoyer, vous irez de compromis en compromis; vous defendrez devant nos camarades des mesures reactionnaires prises par un gouvernement dont vous ferez partie. Personne ne comprendra: les durs nous quitteront, les

Voltaire écrit: " Le mensonge n'est un vice que quand il fait mal; c'est une grande vertu quand il fait du bien". À première vue on pourrait croire à une nouvelleprovocation de l’écrivain. L’idée que le mensonge puisse être une vertu interpelle notre sens moral et la pensée commune. Le mensonge qui consiste à dire le contraire de se que l’on pense dans l'intentionde tromper est en effet assez peu souvent envisagé comme une vertu. Il est considéré comme un vice ou un péché par la tradition morale

semblable du bien et du mal, et dans ce cas, on nous a tous appris que mentir n’était pas forcément la meilleure chose à faire ! On a tous aussi une fois ou l’autre employé le mensonge en pensant que c’était une voie plus facile mais au final, soit la culpabilitée nous a fait regretter le mensonge en question, ou soit les conséquences ont été encore plus désastreuse que si l’on avait simplement dit la vérité. Même si on nous a toujours dit ; il n’y a que la vérité qui blesse, le mensonge, lui, fait encore