A T On Le Droit De Mentir

dire à l’un de ses personnages : « La parole a été donnée à l’homme pour cacher sa pensée ». On peut alors se demander comment la parole doit elle être utilisée. Le mensonge se définit couramment comme une parole différente de la pensée de celui qui l’énonce. Cette définition permet d’abord de distinguer, dans les formes que prend le faux, le mensonge de l’erreur, qui est de bonne foi, car conforme à la pensée de celui qui la commet. Elle permet aussi de remarquer qu’on peut parfois mentir tout

Cette question peut avoir deux sens, conformément à la double signification du verbe « pouvoir », qui signifie à la fois : – la capacité ou la possibilité ; la question a alors pour sens : « le langage est-il capable de tout dire ? » ; – la permission ou le droit ; la question est alors : « le langage a-t-il le droit de tout dire ? ». 1. Le langage semble capable de tout dire a. La puissance du langage n'est pas limitée par la réalité Le langage est capable de dire aussi bien ce qui existe

NE : 1895, Aubagne (Bouches du Rhône, en Provence, à côté de Marseille) MORT : 1974, Paris Père = Joseph Lansot : Instituteur, Mère = Augustine Lansot : Couturière. Petit frère = Paul (1898) Petite Sœur = Germaine (1902) Lycée à Marseille, puis Licence de lettres (anglais) à Aix-en-Provence (au dessus de Marseille). Enseigna quelques années puis nommé au lycée Condorcet à Paris (17e arrondissement, près de l’église de la Trinité). Commence à écrire des pièces de théâtre : Topaze 1928, ou encore

Français étaient sérieusement avertis. Nicolas Sarkozy leur avait tout dit. En détail. Jacques Ségala ne leur avait pas encore claironné que le sens de leur vie serait d’acheter une Rolex mais ils savaient parfaitement que leur travail - ils en auraient à revendre - n’aurait d’autre sens que de gagner plus, d’amasser davantage de richesse, qu’ils seraient jugés selon leur mérite, qu’il n’y aurait d’autre but que l’excellence et que l’excellence des excellences serait la réussite, la fortune et la gloire

et sa différence avec la philosophie morale des Anciens (ou : les rapports entre bonheur et moralité)A- Identité Bien/ bonheurB- Est-ce une morale du "sentiment ", comme le voudrait l’interprétation kantienne ?III- Eléments pour critiquer la conception kantienne de la moralitéA- L’évacuation du bonheur de la vie morale est-elle vraiment pertinente ?B- L’action bonne kantienne est-elle possible à l’homme ?C- L'action bonne kantienne est-elle vraiment louable ?En guise de conclusion, un exercice :

possible, réalisable ? -légitimité : en a-t-on le droit ? est-ce souhaitable, légitime (sur le plan moral/politique/scientifique) ? Dans « Peut-on tout dire ? » : est-on capable de tout dire, le langage peut-il tout exprimer, ou bien y a-t-il de l’indicible ? Mais aussi : a-t-on le droit de tout dire, ou bien faut-il limiter la liberté d’expression (cf. diffamation, propos racistes….) ? -moins central mais souvent utile : est-ce souhaitable (= doit-on chercher à le faire ?) Dans « L’art peut-il imiter

THEME 2 : Les contrats de travail A. Définition Le contrat de travail, pas de définition, il a été fait par la jurisprudence en fonction de différents critères. C’est l’exercice d’une prestation de travail moyennant l’offre d’une rémunération sous la subordination d’un employeur. Dans les cas pratique on ressort la définition. Le lien de subordination c’est des critères déterminants : -La prestation de travail -la rémunération -le lien de subordination (critère déterminant). Il faut donc

nous admettons, comme l'indique l'étymologie, que la philosophie est l'amour (et donc la recherche) de la sagesse et du savoir, il semble que par essence sa méthode soit le questionnement fruit de l'étonnement et que son but soit la vérité, c'est-à-dire une connaissance reconnue indiscutablement comme juste. Aristote (384-322 av. JC) le dit d'ailleurs très clairement dans La Métaphysique, livre α, 920 b 20 (trad. J. Tricot) : "la philosophie est appelée la science de la vérité". Il n'est donc

accéder ainsi à une maîtrise suprême de la parole ? Mais qu’est-ce que « peut-on tout dire ? » ? Peut-on tout dire signifie : en a-t-on la capacité et en a-t-on le droit ? Il semble tout d’abord que rien n’empêche les êtres humains de tout dire puisqu’ils en ont les capacités physiques. Cependant le « tout » est à définir et nous verrons que l’homme est confronté à des limites du langage qui ne lui permettent pas de tout dire dans tous les sens du « tout ». Enfin l’homme se heurte à la morale, instance

de soi et qu’il ne peut être forcer par autrui, c’est-à-dire qu’il en est incapable, étant donné que le bonheur s’obtient à travers la réussite des différents accomplissement de notre vie et l’atteinte du maximum de nos capacités, ce qui ne dépend que de soi et du libre arbitre ,au risque de ,sous la contrainte, plonger dans un bonheur de façade auquel notre condition d’homme ne peut se soumettre, ou faut-il considérer qu’on ait enfaite le droit d’influencer autrui afin qu’il soit heureux, car nos