Abel Et Caïn

| La Conscience de Victor Hugo: l'oeil du surmoi de Caïn ne peut être fui:il est Caïn lui-même. Poème "La Conscience" de Victor Hugo: l'oeil, métaphore du surmoi de Caïn le fratricide est aussi celui qui hante l'homme "fréroce", celui  qui jouit de sa cruauté. Parfois envers des hommes, mais en permanence, partout, envers les animaux.  Il est question ici du conflit psychique entre le moi, le surmoi et le ça. Lorsqu'un meurtre est commis, la culpabilité mine le coupable, qu'il le sache ou

« vierge » est « inféconde ». La révolte : ''Abel et Caïn'' Les figures d'Abel et de Caïn avaient subi à l'époque romantique une ré interprétation dont on trouve les témoignages chez un Balzac ainsi que chez Nerval. L' »injustice » de Dieu à l'endroit de Caïn permet aux romantiques de croire se retrouver en lui et cela d'autant plus qu'à l'image du persécuté vient se superposer une dimension politique qui fait d'Abel la figure du bourgeois nanti et de Caïn celle du déshérité . La mort : ''La Mort

prêtre cherche peut-être bien à aider le jeune Lucien, mais une chose est sûre, il n’est pas tout à fait honnête. Pour un prêtre, faire référence à la Bible de façon péjorative, c’est-à-dire en se comparant à Caïn et Abel en disant qu’il est un mélange des deux, Caïn pour ses ennemis et Abel pour ses amis est en soit une sorte de blasphème. Un vrai prêtre ne juge pas les pèlerins et est plutôt compréhensifs vis-à-vis d’eux. De plus le commentaire « L’Abbé Carlos Herrera n’offrait rien en lui-même

renvoient là encore à l’être humain : « Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets ». - Comme l’homme et la mer sont deux frères ennemis, on peut songer que Baudelaire fait une référence implicite au mythe biblique de Cain et Abel, les deux fils d’Adam et Eve : Cain tue Abel parce que Dieu a préféré son offrande. 2) Une ressemblance parfaite - la ressemblance entre l’homme et la mer est d’abord établie par le champ lexical du reflet : « miroir », « contemple », « image ». La mer elle-même

----- “La conscience” Lorsque avec ses enfants vêtus de peaux de bêtes, Échevelé, livide au milieu des tempêtes, Caïn se fut enfui de devant Jéhova, Comme le soir tombait, l'homme sombre arriva 5 Au bas d'une montagne en une grande plaine ; Sa femme fatiguée et ses fils hors d'haleine Lui dirent : "Couchons-nous sur la terre et dormons." Caïn, ne dormant pas, songeait au pied des monts. Ayant levé la tête, au fond des cieux funèbres, 10 Il vit un œil, tout grand ouvert

------------ “La conscience” Lorsque avec ses enfants vêtus de peaux de bêtes, Échevelé, livide au milieu des tempêtes, Caïn se fut enfui de devant Jéhova, Comme le soir tombait, l'homme sombre arriva 5 Au bas d'une montagne en une grande plaine ; Sa femme fatiguée et ses fils hors d'haleine Lui dirent : "Couchons-nous sur la terre et dormons." Caïn, ne dormant pas, songeait au pied des monts. Ayant levé la tête, au fond des cieux funèbres, 10 Il vit un œil, tout grand ouvert

l’eau, symbole du baptême chrétien. Salle baptismale, baptistère, Doura-Europos, II° s. Lecture typologique de deux épisodes bibliques. Adam et Eve, à gauche, sont revêtus de peaux de bêtes. A droite, Abel et Caïn présentent chacun leur offrande : le midrash explique le rejet de celle de Caïn par le fait qu’elle est issue de la terre maudite par Dieu. Fresque chrétienne, catacombe de la Via latina, Rome, V° s. Tympan surplombant la cuve baptismale : au centre, un pâtre porte sur ses épaules

Caïn ou Hitler en enfer De George Grosz I-Introduction et présentation de l'oeuvre Le 6 juin 1944, les Alliés débarquent en Normandie, tandis que les Soviétiques progressent vers l'ouest. Enfermé dans son bunker à Berlin à partir de janvier 1945, Hitler refuse de capituler et croit encore pouvoir renverser la situation grâce à de nouvelles armes secrètes, mais la défaite devient vite inéluctable

le temps. On finirait bien par tomber sur le bon. Vladimir : Je te dis qu’il s’appelle Pozzo. Estragon : C’est ce que nous allons voir. Voyons (il réfléchit) Abel ! Abel ! Pozzo : A moi ! Estragon : Tu vois ! Vladimir : Je commence à en avoir assez de ce motif. Estragon : Peut-être que l’autre s’appelle Caïn. (il appelle) Caïn ! Caïn ! » Pour conclure sur l’absurdité, le passage finit sur une note totalement insensée : « Vladimir : Qu’est-ce qu’il y a dans la valise ? Pozzo : du sable

s’agirait du meurtre d’Abel, le deuxième fils d'Adam et Ève d'après la Genèse, par son frère aîné, Caïn. Ce dernier cultive la terre et Abel (de l'hébreu souffle, vapeur, existence précaire) garde le troupeau. Le premier offre à Dieu des fruits de la terre, le second des premières-nées de son troupeau de moutons et de leur graisse. Dieu regarde avec faveur Abel et son offrande, mais pas celle de Caïn. Jaloux, Caïn tue son frère en se jetant sur lui alors qu'ils se trouvent aux champs; c'est le premier meurtre