Abri

contrainte à se prostituer pour sa survie et pour celle de sa fille. Hector Malot, dans Sans Famille, raconte l’histoire d’un orphelin, Rémi, qui mendie pour sa survie et qui est sans abri et rejeté partout par la société. Comment lire ces récits sans commencer à réfléchir avant de juger une prostituée, un sans-abri, un sans papiers, ou toute autre personne dans une situation délicate ? La littérature engagée prend donc le pouvoir de faire tomber les préjugés. Elle peut d’ailleurs transformer une

invente des tas de théories pour apprivoiser le monde mais ne s’est jamais véritablement confrontée à celui-ci. Elle parcourt alors les rue de la capitale pour interviewer des SDF et va faire connaissance à la gare d’Austerlitz d’une jeune sans abri du nom de No. Cette jeune femme au visage marqué par les stigmates de la vie dans la rue a les vêtements sales et des difficultés à s’exprimer. Lou va utiliser la jeune exclue pour travailler son exposé et va finir par s’attacher à son histoire. Car

mais nous ne sommes pas capables d’accueillir ces gens, dont le destin, les a contraints à dormir dehors. Le texte dit : 1) « Les chiens on peut les prendre chez soi, mais pas les SDF. Moi je me suis dit qui si chacun de nous, accueillait un sans-abri, si chacun décidait de s’occuper d’une personne, une seule, de l’aider, de l’accompagner, peut-être qu’il y en aurait moins dans la rue. » p.81 2) « On est capable d’envoyer des avions supersoniques et des fusées dans l’espace, d’identifier un criminel

INTRODUCTION En ce début du XXIe siècle, la société française connaît une grave crise du loge-ment. Les événements de l'hiver 2006-2007 avec l'installation des tentes par les Enfants de Don Quichotte destinées à loger des sans-abri le long du canal Saint-Martin, la publication de la loi du 5 mars 2007 instituant le droit au logement opposable, l'organisation par le collectif de 31 associations d'une "Nuit solidaire pour le logement" en 2008 et 2009 sont des éléments significatifs de l'ampleur

Il devrait être saisi des projets de décrets d'application, notamment de ceux relatifs à la mise en place du recours administratif préalable à la saisine du tribunal. Suite à une mobilisation particulièrement importante des mal-logés et des sans-abri au cours de l’hiver 2006, le droit au logement opposable a trouvé un certain écho dans la société française. Reprise par différents partis politiques lors de la campagne pour les élections présidentielles de 2007, la mise en place d’un droit au

groupes d'individus.  L'exclusion se construit par des ruptures successives. Les personnes SDF, comme dit précédemment, subissent ce sentiment d’exclusion et très souvent eux-mêmes s’excluent. En effet, nous savons que la plupart se sont retrouvés sans abri à la suite d’un cumul de difficultés (perte d’emploi, divorce, perte de logement,…) ce qui à entraîné un sentiment d’exclusion qui entraîne une honte de soi. Cette honte favorise «l’auto-exclusion » de la personne c’est à dire qu’elle va se renfermer

effet, ces pays connaissent des problèmes de logement , la pauvreté se développe et le nombre de sans abri augmente. Ainsi, 55 millions de citoyens européens vivent sous le seuil de pauvreté. Le mois de novembre 1998 a été fatal pour une dizaine de personnes en France. La précarité et la dureté du froid qui a causé la mort de sans domicile fixe a relancé le débat sur la prise en charge des sans abri. La pénurie de logement a longtemps été une donnée dominante de la plus part des pays. Sous des

UE 6.1 Semestre 1 Méthode de travail Article étudié : « Le manque d’hygiène, source de souffrance pour les sans-abri paru dans le Monde.fr le 2 janvier 2010, Auteur : Dorian CHOTARD Le fond Références bibliographiques complètes Auteur : Dorian CHOTARD Article ( le monde.fr) 2 janvier 2010 Objet de l’article (thème principal) Le thème principal parle des sans-abris face au manque d’hygiène Réflexions principales développées au cour de l’article sans paragraphes La question de l’apparence

Il était 8 heures, un mardi, c’était l’heure d’aller au travail pour Lucas Max, Un riche bourgeois. Ce banquier mal aimer de tous alla comme d’habitude au travail, qui se trouvait à 500 mètres de chez lui. Sur le chemin, Lucas croisa un sans abri qui somnolait sous un pont. Celui-ci était la depuis déjà 2 semaines. Il dormait sur un carton a même le sol et portait sur ces genoux un gros sac à dos. Il portait une fine couverture jusqu’au nombril. Devant lui était posée une casquette trouée avec quelques

sortent de leur précarités mais veulent juste de quoi « survivre ». Cette institution est financée par la ville de Marseille, environ 2millions d'euros. Le SAMU Social travaille en collaboration avec la Brigade d'Aide aux Défavorisés et aux Sans Abri (BADSA). Elle associe le SAMU Social et la Police Nationale.