Abri

demande si j'avais une cigarette, après avoir encore une fois insister pour aller soigner sa main, je suis partie car je ne pouvais rien y faire. Deux jours plu-tard alors que je sortais avec mes petits cousins pour les emmener au parc, je vis le sans-abri devant la boulangerie qui me disais "bonjour "tous les matins. Donc je suis allée lui présenter le projet quand il me dit qu'il parle "Bulgarie" ce qui était dommage car il est très gentil et poli. Le jour d'après je me suis rendue encore une

d’appartenance à leur milieu. 2. Dans un article sur les stratégies de survie déployées par les jeunes de la rue, Jeff Karabanow, Jean Hughes et Sean Kidd (2010) explorent, à travers des entrevues en profondeur avec des jeunes de la rue ou sans-abri, les diverses formes que prennent l’emploi et les « petits boulots » dans la vie des jeunes de la rue. L’enquête révèle que pour survivre à la précarité inhérente à la vie de la rue, ces jeunes entreprennent des activités informelles rémunératrices

Ce processus de mise à l’écart de certains individus de la société qui ne partagent pas les mêmes valeurs, est perçu comme un refus personnel, un choix libre et conscient. Il s’agit bien là de marginalité. On peut prendre l’exemple de certains sans abri, en plein hiver, qui refusent l’accueil dans les centres d’hébergement : ils ne veulent pas se contraindre à des normes imposées, à des règlements intérieurs (pas d’alcool, pas d’animaux de compagnie) ou à des horaires (fermeture à 22 heures)

Situation n° 3 : Mars 2009 Tableau de bord des 100 mesures prioritaires Pour une nouvelle politique publique pour le logement des personnes sans-abri et mal logées Note méthodologique : Le tableau comparatif constitue l’outil de suivi du collectif des associations unies pour évaluer la mise en œuvre du Chantier national prioritaire pour le logement sur la période 2008-2012. Ce tableau prend pour base les 13 axes d’engagements et les 100 mesures proposées le 11 janvier 2008 par les 30 associations

Ces personnes font très peu ou pas appel aux dispositifs d’aide et d’hébergement classiques. Ici il faut entendre le terme de sédentarisation par une installation dans l’espace public et un retrait des guichets de l’aide sociale. Sdf, Sans-abri, clochards, sont autant de mots qui viennent rappeler que l’exclusion n’est pas qu’une notion mais bel et bien une réalité sociale où des individus en perte de liens et de sens, vivent ou viennent s’échouer chaque jour. Ils sont par excellence les

tribunal administratif est possible. Les différents acteurs associatifs ont cependant souligné ces dernières années à quel point la population ciblée était mal identifiée : à travers le droit au logement, les bénéficiaires pouvaient être des sans abri, mais qui passent d’abord par des étapes complexes entre l’hébergement vers le logement, avec des périodes longues entre les deux. Entre, se situe une population dite de « mal logés » qui peut à la fois correspondre au public visé, mais également à

work, sleep urbain urban rural rural agricole agricultural le piéton pedestrian défavorisé neglected, run-down immobilier property (noun or adjective) l’aménagement (m) du territoire regional development les sans-abri homeless l’exode rural rural exodus demeurer to live LISTES DE VOCABULAIRE DE A-LEVEL (2) La sécurité sociale – ( la “sécu”) l’aide sociale social security le besoin need la santé health l’Etat providence welfare

déplace : la ligne de rupture n’est plus entre ceux qui ont un logement et ceux qui n’en ont pas mais entre ceux qui ont un logement neuf, confortable et ceux qui ont un logement vétuste. 2 La figure du Mal Logé apparaît et se substitue à celle du sans abri : apparaît une population écartée du progrès économique et social et qui ne peut pas accéder à un logement de meilleure qualité du fait de la faiblesse de leurs revenus. A cette figure du Mal Logé s’ajoute la figure du migrant qui naît avec le développement

valeurs de la structure pour laquelle je travaille. J’adhère entièrement à celles qui fédèrent et identifient le mouvement Émmaüs : 
 • 
« S’ouvrir sans réserve à l’autre » 
Accueillir sans restriction ceux qui sont laissés pour compte, les sans-abri, les sans droits et leur donner un toit, de quoi manger, de nouvelles raisons de vivre.

 • « Faire reconnaître sa dignité d’homme libre » 
Accorder à tout être humain la confiance et le respect qui lui sont dus.
Permettre à chacun de retrouver

réduite que celle des nomades. La plupart cherchent à s’enraciner sur un site précis et leur déambulation se fait suivant les obligations du moment : « Un rendez-vous dans un service social pour obtenir un secours, ou encore pour trouver un abri pour une nuit ou un point de chute où l'on pourra se poser quelques jours »[10]. Contrairement aux routards, ils ne revendiquent aucune appartenance. Leur regroupement existe et se fait au hasard des rencontres, en fonction de la nécessité de survie