Abstraction lyrique

peintures de l'épouse de Delaunay, Sonia Terk, et à la peintre tchèque František Kupka et d'autres membres du Groupe de Puteaux (Section d'Or). Guidés par Jacques Villon, les orphistes sont enracinés dans le cubisme mais portés vers une pure abstraction lyrique en voyant la peinture comme une sensation de couleurs vives. Le mouvement a influencé des artistes tels que Patrick Henry Bruce et Andrew Dasbourg ainsi que des membres du groupe allemand Blaue Reiter et de la communauté canadienne et américaine

la chanson et au symbole de la lyre. Ce terme est aussi utilisé en référence a l'épouse de Delaunay et a la peintre tchèque Frantisek KUPKA. Guidés par Jacques Villon, les orphistes sont enracinés dans le cubisme mais portés vers une pure abstraction lyrique. De ce fait on utilise des couleurs vives. Beaucoup de population comme les allemands, les canadiens et les américains sont influencés par ce mouvement et le considére alors comme indispensable au développement du cubisme vers l'abstraction

face, si longuement, l’agonie d’un innocent. » (p.1394) Ici, c’est l’acte de regarder l’enfant souffrir énormément qui rend la colère abstraite nulle et leur donne une vraie image de la mort. Cette conception religieuse reste opposée au terme abstraction comme un des plus importants dans La Peste. Si l’on se réfère à la Concordance qui couvre tous les romans sauf La Mort heureuse et Le Premier Homme, oeuvres inachevées et posthumes, le mot d’abstraction ne se trouve en effet que dans La Peste, dont

Ainsi selon l'artiste : « La couleur seule est forme et sujet » . La couleur exprime des jeux, des modulations des rythmes, vibrations des accords. C) L'orphisme Delaunay avec ses fenêtres notamment se sépare du cubisme et va vers une abstraction lyrique joyeusement colorée. Apollinaire parle pour la première fois d'Orphisme en 1912 à la section d'or pour d écrire la peinture de Delaunay . L'Orphisme est un terme inventé par Apollinaire pour décrire ce nouveau mouvement artistique dont Delaunay

Etude linéaire : Hugo, « Crépuscule » Introduction : Victor Hugo (1802-1885), auteur du dix-neuvième siècle, s’illustre ici dans un poème lyrique intitulé «  Crépuscule », appartenant au mouvement romantique, tiré de son recueil de poésies, Les Contemplations , composé de 158 poèmes et publié en 1856. Ce poème, constitué de sept quatrains d’alexandrins en rimes croisées, évoque un paysage crépusculaire et ambivalent. Le crépuscule

combinent dès l’origine, elles demeurent étroitement liéess même si elle i sontêtre devenues des arts indépendants. D’une part, les formes dont qu’elles se lient s’abondent sans cesse, d’autre part, elles s’intègrent dans les domaines de la pensées abstractions artistiques, des courants et des manières de création. Le critique anglais W·Pater a dit que, tous les arts se rassembleront à la musique quand ils atteignent le plafond, puisque l’art est exigé de faire disparaître les différences entre l’essence

l’art, la peinture n’est plus là pour représenter le monde. Certains peintres ont toujours refusé d’être abstrait. Cela sert de grande influence dans l’art du graphisme. • Deux voies vers l’abstraction a/ de l’expressionnisme à l’abstraction lyrique. Le premier tend à dissoudre les formes par la couleur, qui à un moment donné, devient abstrait tellement les formes se dissolves C’est le chemin emprunté par Wassily KANDINSKY, dont les toiles suggèrent les sensations. Cela va passer par des compositions

poète s’en va dans les champs) ou le spectacle en plein air. L’auteur la d’écrit comme une femme parfaite comme par exemple par les thermes ‘’ Ce regard suprême ‘’ ; ‘’ Je crus voir une fée ‘’ qui signifie le coup de foutre. Il emploit le registre lyrique qui évoque le goût de la nature et le sentiment amoureux. Nous pouvons donc trouver une Hyperbole dans le vers 5 qui est ‘’ Elle me regarda avec ce regard suprême ‘’ qui est une exagération dans le choix des mots pour signifier le regard de la femme

registres, suite. | Fantastique | • C'est un texte qui évoque des situations ou des personnages ambigus entre le réel & le surnaturel. • Il s'agit d'étonner, de troubler, d'inquiéter le lecteur. • | Lyrique (& élégiaque) | • Dans un texte lyrique, le locuteur évoque ses sentiments personnels (tristesse). Il se caractérise par le vocabulaire des sentiments & une manière expressive de les dire. Le registre élégiaque c'est quand on parle de plainte ou de lamentation

langage (signification(s), structure(s), musicalité, écriture etc.) à des fins esthétiques. C’est assez minimaliste et, même ainsi, cela requiert une certaine prudence : 1) Peu de paroles (même malhabiles ou purement utilitaires) font entièrement abstraction de valeurs de justesse, de précision, de pittoresque, de rythme, d’éloquence etc. qu’on ne saurait détacher entièrement du registre esthétique (les premiers emplois du langage, dans l’enfance, cultivent tout spécialement des valeurs de musicalité