Abstraction lyrique

peintures de l'épouse de Delaunay, Sonia Terk, et à la peintre tchèque František Kupka et d'autres membres du Groupe de Puteaux (Section d'Or). Guidés par Jacques Villon, les orphistes sont enracinés dans le cubisme mais portés vers une pure abstraction lyrique en voyant la peinture comme une sensation de couleurs vives. Le mouvement a influencé des artistes tels que Patrick Henry Bruce et Andrew Dasbourg ainsi que des membres du groupe allemand Blaue Reiter et de la communauté canadienne et américaine

vengeresse et un mépris sans bornes. Enfin, la poésie à aussi pour fonction l’exploration du rêve et de l’imagination. En effet, la poésie surréaliste pratique l’écriture automatique, consistant à ouvrir les portes à l’insconscient en faisant abstraction de toute réflexion. Les Champs magnétiques de Breton et Soupault, publié en 1920, fruit des premières applications systématiques de l’écriture automatique, est considéré par Breton comme le « premier ouvrage surréaliste ». Les visions fantastiques

premier vers est le même entre les deux fables (« Le chêne un jour dit au roseau ») : reprise évidente du texte lafontainien. Le roseau a ici la plus grande part de la parole (ce n’est pas le cas chez La Fontaine), et c’est lui qui adopte un style lyrique et grandiloquent contrairement au chêne qui parle de façon nettement plus relâché (« marmots ») * Deuxième mouvement (vers 16-26) : la victoire du roseau. La prophétie se réalise. C’est là le mouvement central comportant la péripétie : le chêne

LES FIGURES DE STYLE : Une Allégorie : Figuration d’une abstraction (ex : l’Amour, la Mort) par une image, un tableau, souvent par un être vivant. Une Personnification : La personnification attribue à une chose abstraite les propriétés d’un être animé (homme, animal). Une Allitération : C’est la répétition de sons identiques. À la différence de l’assonance, le terme « allitération » est réservé aux répétitions de consonnes. Exemples : « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? »

la couleur , le paragraphe suivant valorise le toucher. 4ème paragraphe crescendo puis décrescendo dans le 5ème. · Lignes 24-27· Beaucoup de couleurs : impression d’être dans une toile abstraite (nuance, traces…) · Abstraction lyrique du tableau · l. 27 « je songeais … » : il quitte l’observation pour une illusion poétique, le rêve · élan onirique réconfortant· imparfait de durée indéterminée = il oublie le temps pendant qu’il

» n’a pas les dimensions d’un essai, et, dense, il n’en devient que plus frappant. À la concision, la poésie allie la variété : vers réguliers, vers libres, prose, calligramme. C’est un genre protéiforme qui joue de tous les registres : souvent lyrique, la poésie peut être pathétique (« La nuit du 4 », Hugo), satirique (voir les textes du corpus) ; elle peut aussi être dramatique pour dénoncer la guerre (« Depuis six mille ans la guerre… », Hugo) ou épique (« Le Mal », Rimbaud). II. Une magie

oublier un titre . pour une piece de théatre: les didascalies ... ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Figures de styles : *Allégorie (féminin) : Figuration d’une abstraction (exemples : l’Amour, la Mort) par une image, un tableau, souvent par un être vivant. Allitération (féminin) : C’est la répétition de sons identiques. À la différence de l’assonance, le terme « allitération » est réservé aux répétitions de consonnes

théâtrales et d’opéra). Mais, comment justifier les rapports entre Tristan et Iseult et Pelléas et Mélisande ? Deux intuitions nous viennent immédiatement à l'esprit : l’opéra de Wagner et celui de Debussy s’opposent comme deux géants de l’art lyrique et nous invitent à réfléchir sur les parallélismes les plus évidents tout comme les plus cachés. D’abord, il faut mettre en lumière la relecture que le compositeur français fait de l’étendard de la Gesamtkunstwerk, au niveau musical, bien sûr,

des sentiments. Dans cette perspective, chaque poète s’évade vers le rêve et exalte ses sens. D’après Arthur Rimbaud, «  le poète se fait voyant par un long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens » : le poète a le pouvoir de faire abstraction de la banalité pour ne garder que le beau, l’Idéal. L’on retrouvera chez Charles Baudelaire deux possibilités, le Spleen, mélancolie ravageante ; et l’idéal, élévation vers l’irréel et la beauté. Effectivement, Les Fleurs du mal traduisent cette

Allégorie | Figure d’une abstraction (comme l’Amour, la Mort) par une image, un tableau, souvent par un être-vivant. Fontanier, dans » les figures du discours », nous donne aussi la définition suivante : « Proposition à double sens par laquelle on présente une pensée sous l’image d’une autre pensée, propre à la rendre plus sensible et plus frappante que si elle était présentée directement ». | Ex : Victor Hugo dans les « Contemplations », livre Iv, « Mors », nous donne l’image d’une faucheuse