Accord de libre-échange nord-américain

Cordillère des Andes, puis une grande plaine, occupée en majeure partie par la Pampa, rappelant la Grande Prairie nord-américaine, et la forêt équatoriale de part et d'autre de l'Amazone. Ces éléments définissent quatre zones géopolitiques: l'Amérique centrale, d'une importance certaine avec le canal de Panama; les Caraïbes où se situe Cuba, seul régime marxiste du continent américain; I'Amérique andine, zone de guérillas et de production de drogue; le"Cône sud" où le Chili est toujours singularisé

‘centre’ économique du monde pour trois raisons principales : a) Ils sont à l’origine de l’établissement de deux organisations de libre échange à une échelle continentale : -l’une en activité l’ALENA ou Accord de Libre Echange Nord-Américain regroupant les Etats-Unis, le Canada et le Mexique. -l’autre en projet depuis 1994 rassemblant tous les Etats du continent américain à l’exception de Cuba qui est l’objet d’un embargo des Etats-Unis depuis la crise des missiles d’octobre 1962. b) Ils sont

de vue du commerce, les accords du GATT (General Agreement on Tariffs and Trade) prévoient régulièrement des conférences internationales (« rounds ») pour garantir les principes du libre-échange. Le poids des États-Unis dans la gouvernance économique mondiale • Dans ce système, les États-Unis ont un poids prépondérant. Ce sont eux qui financent principalement les différentes institutions. • Le dollar est la principale monnaie d'échange et de garde. Il permet aux Américains de peser sur le prix des

UN MONDE DE FLUX POLARISE 1.1 L’accroissement des échanges Problématique : Quels sont les éléments qui nous révèlent la mondialisation ? Echanges : ce qui est acheté ou vendu par un Etat à d’autres états Importations : l’ensemble des biens achetés à l’étranger par un Etat Exportations : l’ensemble des biens vendus à l’étranger par un Etat Quand un pays fait des importations, il dépense de l’argent et quand il fait des exportations, il en gagne. Le mieux pour un pays est d’avoir une balance

loin dans la libéralisation des échanges dans certains domaines, notamment l'agriculture dans les pays développés et l'industrie et les services dans les pays en développement.   Conséquences : améliorer les échanges et développer l’activité des pays développés qui se ralentissent. Pourquoi le cycle de Doha n'aboutit pas? Ce cycle qui devrait ouvrir les barrières douanières pour des milliers de produits et réduire les subventions agricoles européennes et américaines est devenu le cheval de bataille

contraintes de l’activité agroalimentaire… … … … • 4-Exportations……..… … … … … … … … … … …… … • 5-Branches d’activités du secteur… … … … … … … … … • 6-Plan émergences… … … … … … … …………………… • 7-Accords de libre échange… … … … … … … … … … Chapitre III: Agroalimentaire au niveau régional • 1-Aperçu régional… … … … … … … … ………..… … • 2-Une forte valeur ajoutée… … … … … … ……….… • 3-Un grand intérêt… … … … … … ………………… …

MONDIALISATION ET INTERNATIONALISATION Remarque : Le libre échange est apparu après la deuxième guerre mondiale comme un nouveau dogme. Aujourd’hui, tous les Etats ou presque sont devenus favorable au libre échange. Tous condamnent officiellement le protectionnisme. Cependant, ce n’est qu’une humanité de passage. Chacun d’entre eux essayant de freiner les importations quand des secteurs nationaux sont fragilisés par la concurrence internationale. La notion, absolument centrale, pour

croissance. Libéralisme : Idéologie née en Angleterre a la fin du 18ème siècle qui a été énoncé par Adam Smith. ( De la richesse des nations, 1776) Selon Adam Smith, la prospérité des nations est liée à : _ liberté d’entreprendre _ Libre concurrence _ Libre circulation des hommes et des biens _ Non-intervention de l’Etat dans l’économie De 1850 à nos jours : libéralisme peu dominant (il alterne avec l’interventionnisme) Interventionnisme : Action de l’état dans les domaines économiques

développement avec de très fortes inégalités (entre zones urbaines et zones rurales, entre Nord et Sud notamment). La croissance de 5,5 % du PIB qu’a connu en 2010 l’économie mexicaine, a permis de rattraper les effets de la crise financière internationale de 2009 qui a été plus grave que l’estimation initiale des autorités, en raison de la forte dépendance du Mexique vis-à-vis de la conjoncture américaine et ce malgré ses efforts de diversification. En outre, la stabilité financière du Mexique est

(environ 2% de chômage), une croissance forte de la production industrielle (un accroissement annuel moyen de la production d'environ 5 %) et une expansion démographique importante (le baby-boom) dans certains pays européens non communistes et Nord-Américains. Cette forte croissance économique s’est accompagnée par une hausse très imposante de biens et services sur le marché, d’où le terme « d’abondance ». Les ménages, ayant une rentrée d’argent plus importante (augmentation des salaires par exemple)