Acte 5 Scène 6 Bourgeois Gentilhomme

écrits poétiques ou non, la beauté d'une personne, d'un paysage, d'une cause (Lamartine, le chantre de la nature, le peintre Millet, le chantre des scènes champêtres). Mais passons le cap de l'épitaphe in memoriam... B. Un vers qui entre seul sur scène... [phrase de transition vers la seconde sous-partie, Suit un vers qui, ironie du sort, est loin d'être gras comme un chantre ! On penserait plutôt à quelques reliefs d'un festin poétique qui tourne court et qui révèle, somme toute

écrits poétiques ou non, la beauté d'une personne, d'un paysage, d'une cause (Lamartine, le chantre de la nature, le peintre Millet, le chantre des scènes champêtres). Mais passons le cap de l'épitaphe in memoriam...  B. Un vers qui entre seul sur scène...   [phrase de transition vers la seconde sous-partie,             Suit un vers qui, ironie du sort, est loin d'être gras comme un chantre ! On penserait plutôt  à quelques reliefs d'un festin poétique qui tourne court et qui révèle, somme toute,

soucis de ses fonctions, que le duc s'applique à satisfaire ses appétits. Tous les actes qu'il pose sont les marques d'un désir d'assouvissement et non les pratiques d'un prince responsable. C'est ce dont témoigne la scène 1 de l'acte I : Maffio voit sa sœur déshonorée par un gentilhomme et menace d'en appeler à la justice du prince, ignorant que le séducteur de sa sœur et le duc de Florence ne font qu'un. Le credo du tyran est la débauche, credo qu'il récite souvent avec ses amis et surtout avec Lorenzo

convaincre Cloris de son innocence, on annonce que Tircis s'est tué, et Mélite s'effondre. À la nouvelle de sa mort, Éraste devient fou de douleur, se croit transporté aux enfers à la recherche des deux amants. Il ne retrouve la raison qu'au dernier acte, à la nouvelle que la mort de Tircis était une feinte pour éprouver les sentiments de Mélite, que celle-ci n'était qu'évanouie, et que les deux jeunes gens vont se marier. Il est donc pardonné à la fin, et, pour réparer la trahison de Philandre qu'il

culotte ». La polysémie de « pied » dans le dernier vers lie intimement les deux registres. Par ailleurs, certains poèmes des Cahiers de Douai, témoignent d’un projet plus vaste : dépouillé de toute parole et de toute pensée vaine (« Sensation », v. 5), le poète rejoint l’« amour infini » et la « nature ». C Parcours : « Émancipations créatrices » • L’intitulé du parcours. La formule associe deux perspectives qu’il vous appartiendra de distinguer et d’associer à la fois. Tout d’abord, le poète se

convaincre Cloris de son innocence, on annonce que Tircis s'est tué, et Mélite s'effondre. À la nouvelle de sa mort, Éraste devient fou de douleur, se croit transporté aux enfers à la recherche des deux amants. Il ne retrouve la raison qu'au dernier acte, à la nouvelle que la mort de Tircis était une feinte pour éprouver les sentiments de Mélite, que celle-ci n'était qu'évanouie, et que les deux jeunes gens vont se marier. Il est donc pardonné à la fin, et, pour réparer la trahison de Philandre qu'il

l’égard des changements de lieu ou de la chronologie floue, défauts que l’on a cru longtemps devoir attribuer à la hâte de Molière pour bâcler une œuvre dont sa compagnie avait le plus grand besoin lors de la querelle du Tartuffe. Or, on se bat sur scène, on échappe à un naufrage, il y a mort d’homme et présence d’un revenant : autant de caractéristiques du drame ou, si l’on préfère une terminologie propre au XVIIe s. français, de la tragi-comédie. Au contraire, ne serait-il pas possible de voir dans

Sommaire • Dossier artistique p.3 ( L’inconstance et l’aveu, François Regnault. ( Mettre en scène Marivaux aujourd’hui, Christian Colin. ( Note sur la scénographie ( Biographies • Marivaux et son théâtre p.11 ( Texte de Marivaux, Le spectateur français. ( Marivaux 1682 – 1763 quelques repères, Jean Goldzinck. ( Marivaux, un homme secret et un « honnête homme »,Claude Eterstein. ( Marivaux, A.Rykner. ( Regards

relations « avec le Comité de Salut Public ». Les circonstances du mariage des filles Goriot sont pour la duchesse de Langeais, une occasion de décrire l’évolution de la noblesse et de la bourgeoisie, sous l’empire et la Restauration. Goriot, petit bourgeois malhonnêtement enrichi et fasciné par l'aristocratie, eut pour seul ambition de marier ses filles à des nobles qui ne craignaient pas de se déclasser pourvu que leurs finances soient renflouées. L’Empire fut une période où commença à se réaliser

...................................................... p. 5 Séquence 2 La critique sociale, du XVIIe siècle au XVIIIe siècle .................................................................................................................... p. 29 Séquence 3 Le Colonel Chabert : les hommes et l’argent Séquence 4 Tragédie et comédie au XVIIe siècle Séquence 5 L’École des femmes : une comédie classique Séquence 6 La poésie, du romantisme au surréalisme ...........