Acte Ii Scène 5 Le Jeu De L

« de la lecture ou de la représentation » : le sujet allie bien les deux pôles de l'objet d'étude : « texte et représentation » il faut penser aux situations mais aussi à leur exploitation scénique, à la matérialisation du conflit dans la mise en scène (le spectacle). Analysez précisément le mot clé : « conflit » : rencontre de sentiments ou d'intérêts contraires, qui s'opposent. Il se traduit souvent par un affrontement ; l'affrontement, c'est la traduction concrète

comédie » : deux plans détaillés d’explications linéaires Texte 1 : explication de texte linéaire : Marivaux, Le Jeu de l'amour et du hasard , 1730, acte III, scène 6, manuel page 179. Introduction :Marivaux  : grand dramaturge du XVIIIème siècle (il a aussi écrit des romans). Sa manière de mettre en scène le jeu de la séduction a donné un mot à la langue française : le marivaudage ( c'est une manière d''écrire ou de parler

travers ce huis clos où règne la manipulation, Racine invite à s’interroger sur les effets destructeurs de la passion et sur les dérives du pouvoir Britannicus Arrêt sur lecture 1 Un acte d’exposition les préfaces. Racine revient sur l’identité des personnages et montre ce qu’il doit à Tacite. Dans la scène 1, il insiste davantage sur la généalogie de Néron. On notera tout d’abord l’évocation de Claudius, lors de la deuxième réplique d’Albine, qui rappelle que Néron a accédé à la fonction impériale

 récité par l'auteur ; le  prologue d'​ Antigone​  de Jean Anouilh.    Un acte :  Partie d'une pièce correspondant à une étape importante dans le déroulement de l'action. Les  tragédies classiques​  sont divisées en ​ cinq actes​ , l'action culminant généralement au quatrième  (Mots­clés).     Exemple : La composition des ​ Femmes savantes​  (1672), de Molière, résumée par rapport aux  actions des personnages, est la suivante : I. Armande contre Henriette ; II. Philaminte contre  Chrysale ; III. Trissotin contre Vadius ; IV

de renouveau. La censure pesait aussi lourdement sur le répertoire. Marion de Lorme, nouvelle pièce de Hugo, reçue très favorablement par le comité de lecture du Français, dont la distribution était déjà faite, fut interdite car elle mettait en scène la décadence de la royauté. L'obstination des romantiques ne leur ouvrit finalement la porte de la Comédie-Française qu'en 1829 avec Henri III et sa cour d'Alexandre Dumas et Othello ou le More de Venise d'Alfred de Vigny. Pour Victor Hugo qui se

Tartuffe, Molière Lundi 2 Mars Acte 2 Scène 2 a) Dans cette scène il ya trois types de comique : Le comique de situation. Le comique de geste à la fin de la scène. Le comique de caractère. b) Cette scène est construite en quatre temps 1) L'assurance de Dorine au début : Le champ lexical de l'incrédulité : bagatelle, incroyable, histoire Les nombreuses négations sur le verbe croire. Le rythme rapide de la stichomythie 2) Dorine se calme Un ton et un rythme plus posés jusqu'à la tirade des vers

pouvons l’observer au travers de cette citation « Encore un coup, mon frère est-il possible qu’il n’y ait pas moyen de vous guérir de la maladie de vos médecins et que vous vouliez être, toute votre vie, enseveli dans leur remèdes ? (Béralde, acte III, scène 5). Molière montre aussi que tous les remèdes donnés par les médecins ne sont pas si efficaces que cela « la nature peut bien mieux nous guérir que les médecins le font ». Nous pouvons aussi remarquer que Molière critique à nouveau les médecins

transformation (trompe-l'œil, miroirs...). L'écriture baroque recourt aux métaphores, aux images, aux figures d'amplification, hyperboles et antithèses,…. Littérature : Calderon (La Vie est un songe), Cyrano de Bergerac, Corneille (L’Illusion comique). II - Le classicisme (1660 à 1680) -En latin, classicus signifie "premier ordre", "citoyen de première classe", et le terme connote l’idée d’excellence. Les termes « Classique et classicisme » surviennent au XIXe siècle et désignent les auteurs de la seconde

alguazils, pages, dames, seigneurs, conseillers privés, duègnes, gardes, huissiers de chambre et de cour. Acte 1 : Un grand d'Espagne, don Salluste de Bazan, disgracié par la reine pour avoir séduit et refusé d'épouser une de ses filles d'honneur, veut se venger. Comme son cousin, don César de Bazan, noble dévoyé sous le nom de Zafari mais resté chevaleresque, refuse de l'aider (scène 2), il le fait enlever et lui substitue Ruy Blas, son valet, qui vient de se révéler à ses yeux ancien compagnon

attendant Godot Illustration de En attendant Godot Auteur Samuel Beckett Genre Pièce de théâtre Pays d'origine  France Lieu de parution Paris Éditeur Éditions de Minuit Date de parution 1952 Date de la 1re représentation 5 janvier 1953 Metteur en scène Roger Blin Lieu de la 1re représentation Théâtre de Babylone - Paris modifier  En attendant Godot est une pièce de théâtre en deux actes, en français, écrite en 1948 par Samuel Beckett et publiée en 1952 à Paris aux Éditions de Minuit