Acte Iii Bérenger Dudard

le 22 janvier 1960 dans une mise en scène de Jean-Louis Barraultet des décors de Jacques Noël. resumer de l'oeuvre Acte I Une petite ville tranquille, un dimanche matin. Deux hommes, Bérenger, un employé de bureau timide et velléitaire, et son ami Jean, personnage imbu de sa personne, sont à la terrasse d'un café. Jean reproche à Bérenger son manque de personnalité. Bérenger se défend à peine. Soudain un rhinocéros traverse bruyamment la grand-place. Les habitants du quartier ( une ménagère

qui le rejettent dans un premier temps ; comme dans cet acte I. Le rhinocéros peut être interprété comme un nouveau mouvement politique que personne ne comprend. Au fur et à mesure de cet acte, les personnages ne le comprennent pas et finissent même par s’énerver sur cette cause. Les dialogues s’entremêlent afin de se retrouver sur un seul et unique sujet : le chat ensanglanté de la Ménagère. Les gens furieux ne conçoivent pas qu’un tel acte peut être commis par une quelconque personne ou pire,

pays, la Roumanie. Dans Rhinocéros, il souhaite aussi dénoncer ce qui se passe dans son pays. Résumé : ACTE 1__ Décor : une place dans une ville de Province avec une épicerie au fond et au devant une terrasse de café. Jean attend Bérenger sur la terrasse et lui reproche d'arriver jamais à l'heure. Jean lui reproche aussi son allure négligée et son comportement. Daisy apparaît, Bérengr est muet. Le logicien et le vieux monsieur parlent ensembles lorsque la ménagère passe. Soudain, un rhinocéros

l’insolite fait éclater le cadre quotidien. L’absence d’intrigue, la dégradation du langage, le non-sens, considérés d’abord comme des provocations, assurent peu à peu à Ionesco la notoriété d’un auteur d’avant-garde. Ionesco crée le personnage de Bérenger, auquel il s’identifie, dans Tueur sans gages (1959) ; on le retrouvera dans Rhinocéros (1958), et Le roi se meurt (1962). * Le théâtre de l’absurde : ¤ Refus du réalisme, des personnages et de l’intrigue. Les personnages du théâtre de l'absurde

1956). Dans Rhinocéros (1958), il stigmatise tous les totalitarismes. Sa réflexion critique et théâtrale est réunie dans Notes et contre-notes (1962). I. Au début, l'espace est ouvert puis se rétrécit. (Place publique, acte 1 ; acte 2 bureau d'administration ; chambre de Jean en acte 3.) De moins en moins de dialogue. Tout se réduit puis se referme. Jean se considère supérieur, ce qui trahit l'image d'un pédant (qui fait son intéressant) satisfait par l'utilisation du mot libation, ce qui impose

sait de quoi il s’agit, on ne détermine pas le sujet et ne savons pas vers quoi on voit on ne sait pas qui il faut cibler dans les personnages. On va devoir attendre l’acte 2 Acte 2 pour voir le tandem Bérenger/Jean et l’acte 3 pour avoir Bérenger qui parle car Jean est devenu rhinocéros. Discours croisés : entre Bérenger et Jean (1) et le logicien et le vieux monsieur (2). Le deuxième discours est intéressant car il n’a aucun sens. Le logicien dit des choses qui n’ont aucuns intérêts. Sa connaissance

dans sa course écrase le chat d’une ménagère, on pressent qu’un danger menaçant plane sur la petite ville. Jean fait la morale à Bérenger qui avoue être mal dans sa peau. Il perd tous ses moyens lorsque Daisy, dont il est amoureux, passe. Acte II : Tableau I : Le lendemain matin dans le bureau d’une administration, les employés se disputent au sujet des rhinocéros. Bérenger arrive en retard. Contrairement à son habitude, M. Bœuf n’est pas encore là. On apprend par sa femme que M. Bœuf vient à son tour

totalitarisme à l’aube de la seconde Guerre mondiale. Les thèmes abordés sont le conformisme et la résistance. Résumé : (Merci Wikipédia) Cette pièce se divise en trois actes, chacun montrant un stade de l'évolution de la « rhinocérite ». Acte I Dans l'acte I, les rhinocéros en liberté provoquent tout d'abord l'étonnement et choquent les personnages. Jean ne parvient pas à croire que ce qu'il a vu était réel, il énonce même clairement « cela ne devrait pas exister ». Le patron de l'épicerie

aussi ce que fait le père de Sigismond, qui, au lieu d’affronter la réalité, s’est réfugié dans des préjugés. Il condamne ainsi son fils à devenir le monstre qu’on avait prédit qu’il serait. Exercice 3.6  Acte IPistes de réponsesLes personnages   1. a) Bérenger : « je ne m’y fais pas à la vie » (p. 14), « C’est comme si j’avais peur. […] Je me sens mal à l’aise dans l’existence, parmi les gens […] J’ai du mal à porter le poids de mon propre corps… […] Je

deux personnages discutent. Jean, tiré à quatre épingles, fait la morale à Bérenger, alcoolique, irrationnel, débraillé, sceptique. Des conversations parallèles apparaissent entre le Logicien et le Vieux Monsieur (le célèbre syllogisme : « tous les chats sont mortels. Socrate est mortel. Donc Socrate est un chat »), la Serveuse et le Patron, l’Epicier et la Ménagère. Au fur et à mesure, les dialogues de Jean et Bérenger et du Logicien et du Vieux Monsieur se mêlent, se confondent et finalement se