Acte Iii Scène 10 Illusion Comique

mort occupe une place très importante dans L'Illusion Comique, qu'elle soit représentée, ou évoquée. Nous répondrons ici à la problématique suivante: comment la mort est-elle représentée dans L'Illusion Comique? Nous allons pour cela travailler à partir de trois documents: Une gravure datant de 1664 montrant une mise en scène de la pièce du temps de Corneille, quelques extraits d'un Téléfilm de Robert Maurice (1970) ainsi que d'une mise en scène de Brigitte Jaques-Wajeman au théâtre de Genevillier

Commentaire rédigé Marivaux, Fausses Confidences, Acte II, scène 13 (1737) Un amour contrarié entre deux jeunes gens, les figures du père autoritaire et du valet rusé, des quiproquos et des stratagèmes en tous genres, tels sont les ingrédients traditionnels de la comédie et les ressorts d’une intrigue qui finit toujours bien. Au XVIIIème siècle, Marivaux ne déroge pas à cette tradition mais il lui donne un charme particulier et une profondeur psychologique en intériorisant les

plus tard, à Paris, le 1er octobre 1684. Qu’est-ce qu’une illusion ? Une illusion est une interprétation erronée d’une donnée sensorielle. On peut aussi parler d’illusion d’optique, il s’agit d’une erreur relative à la forme, la couleur et la dimension des objets. Une illusion est aussi une erreur de l’esprit, une croyance fausse, «  se nourrir d’espérances chimériques. » RESUME DE L’ILLUSION COMIQUE Acte Ier Le premier acte commence à l’entrée d’une caverne où se présentent deux personnages :

accompagnent la pièce et au foisonnement d’ indications scéniques . Car à l’ époque c’ est Beaumarchais qui prend la mise en scène en main et la rigeur du dramaturge qui apparait ainsi. I] L’ importance des unités de lieu et de temps. A) L’ unité de lieu 1. Des lieux symboliques : • La scène a lieu hors de france dans un chateau imaginaire : « La scène est au chateau d" Aguas Frescas, à trois lieux de Séville ». • La chambre de Figaro et Suzanne est entre celle du

autorité tyrannique – ce que souligne Toinette I,5 « Mon Dieu ! Je vous connais, vous êtes bon naturellement ». Son obsession pour la maladie, son narcissisme et sa naïveté peuvent lui faire oublier son naturel mais cette scène jouée par Louison lui rappelle. ➢ Toinette en médecin III, 8-10 : révèle les abus de la médecine dans une farce grotesque. Il s'agit d'une parodie des deux « vraies » consultations qu'Argan a reçues des Diafoirus

prouvent-les propos de Marceline dans la scène 4 de l’acte premier : « Eh ! qui pourrait-ce être, docteur, sinon le beau, le gai, l’aimable figaro ? » « Jamais fâché ; toujours en belle humeur ; donnant le présent à la joie, et s’inquiétant de l’avenir tout aussi peu que du passé ; sémillant, généreux! généreux… » Cependant, il est considéré du côté masculin en tant que moins que rien en prenant par exemple les dires du docteur Bartholo dans la scène 3 et 4 de l’acte premier : « Bavard enragé 

en sentant justement la valeur réelle des propos. (Il faut donc des acteurs très naturels, laissant comme filer malgré eux les propos). Pour le critique Jean Rousset, « Toute pièce de Marivaux est une marche vers l’aveu » et chaque acte s’organise autour d’une scène d’aveu finale qui marque une progression par rapport à l’acte précédent. Le rôle des acteurs témoins, à la fois spectateurs et auteurs, est de faciliter ou de provoquer sans en avoir l’air un aveu qui tarde, parce que les cœurs marivaudiens

ennui = Mal absolu (néant, mort ) Muse blasphématrice : caractère profane de la Muse « chanter des Te Deum auxquels tu ne crois guère » « rire » satanie de la Muse + dernier tercet « rire » « « épanouir la rate du vulgaire «  = rire de bon cœur III. la muse marchande A. Une muse mortelle Froid cadavérique : verbe « ranimer » = figure pathétique de la déchéance B. La valeur marchande du poème « muse vénale » = cupidité But : « récolter de l’or »  nécéssité de gagner de l’argent Figure du saltimbanque

aucune réelle instruction. Naïve et ignorante elle n’aura pas l’idée de tromper son mari. Dans la scène 2 de l’acte III, où Agnès n’intervient que pour répéter les consignes du maître, Arnolphe va longuement exposer un tableau de la vie conjugale qui peut devenir terrifiant si la femme manque à la règle. [...] [...] On y retrouve toutes les idées qu’il a exprimées d’une façon directe au début de la scène. Toutes les recommandations d’Arnolphe, toutes les précautions qu’il prend face au mariage montrent

Recommander       Partager 36 personnes recommandent ça. Soyez le premier parmi vos amis. Corpus : Molière, Beaumarchais, Musset, Tardieu ÉNONCÉ Texte 1 George  Dandin,  riche  paysan  qui  a  épousé  la  noble  Angélique,  paraît  seul sur scène. George Dandin Ah ! qu'une femme demoiselle(1) est une étrange affaire ! et que mon mariage est une leçon bien parlante à tous les paysans qui veulent s'élever au­dessus de leur condition, et s'allier, comme j'ai fait, à la maison d'un gentilhomme