Acte

[modifier] Cette distinction n'est pas absolue, ainsi certains actes peuvent être les deux. De plus, certains actes sont soumis à un régime juridique qui emprunte aux deux catégories. Si la validité (c'est-à-dire sa régularité juridique) d'un acte administratif s'apprécie dès sa signature, son opposabilité (c'est-à-dire sa capacité à produire des effets juridiques à l'égard de personne) ne s'apprécie qu'une fois ces destinataires informés par une publicité adéquate. Pour les actes réglementaire

de la loi écran c'est qu'un acte administratif ne peut être contrôlé par rapport à la constitution puisqu'il y a la loi qui est au milieu schéma. Le juge administratif ne peut pas contrôler la conformité d'une loi à la constitution (arrêt du Conseil d'État section 6 novembre 1936 « Arrighi »). Dans cet arrêt le Conseil d'État refuse d'apprécier la constitutionnalité des lois votées par le parlement. Mais ce que peut faire le juge administratif c'est censurer un acte administratif prit en méconnaissance

Section 1 : Notion de contrat Le contrat est une convention par laquelle une ou plusieurs personnes s’obligent, envers une ou plusieurs autres, à donner à faire ou à ne pas faire quelque chose (1101 du Code civil). L’acte unilatéral est un acte juridique qui résulte de la volonté d’un seul, tel le testament. L’engagement d’honneur est un accord passé entre deux personnes qui subordonnent l’exécution de leurs obligations à leur loyauté respective. Section 2 : Classification des contrats

la loi écran ; le JA ne contrôle pas la constitutionnalité des lois, étant juge du pouvoir exécutif, il ne peut, au nom de la séparation des pouvoirs, contrôler le travail du législateur. C.E arrêt Quintin 1991 : lorsqu’une loi s’insère entre un acte et la constitution, mais que cette loi est transparente (pas assez précise sur le fond) le juge administratif peut opérer un contrôle (puisque la loi ne fait pas vraiment écran). C.E arrêt Commune d’Annecy 2008 : le C.C consacre la valeur juridique

avoir subi un traitement medico-chirurgical, et cela dans le but de prendre l’apparence physique du sexe auquel elle veut ressembler. Le succès de la demande passe aussi par cette étape puisque si une personne demande le changement de son sexe sur son acte de naissance mais ne présente pas les caractéristiques physiques du sexe qu’elle veut, la demande ne sera pas acceptée car la personne n’aura pas entreprit les démarches nécessaires pour faire reconnaitre son changement de sexe. Le fait qu’une personne

de Seine-Maritime. Par cette solution, le Conseil d’Etat a consacré un principe général du droit (PGD) qui s’inspire d’un acte législatif, le décret du 3 janvier 1980. Ce dernier, plus particulièrement son article 6, a déjà fait l’objet d’un contentieux soumis au Tribunal Administratif de Lyon le 5 août 1985 (Driai) au sujet d’une incompétence de refus d’inscription. Cet acte législatif pose des conditions et confère à l’inspecteur d’académie des prérogatives d’une certaine importance. De plus, cet

alors nulle mais par contre si la procédure n'aboutit pas, celui qui l'a intentée risque le versement de dommages-intérêts et d'une amende. ------------------------------------------------- Les actes sous seing privé [modifier] Article détaillé : acte sous seing privé. Ce sont les écrits remplissant un certain nombre de conditions de formes mais qui ne sont revêtus que de la signature des parties au contrat, et non de celle d'un officier public. Ainsi dans le cas des contrats synallagmatiques,

indique que la loi est la norme supérieure essentielle à respecter pour l’administration. Mais elle est loin d’être la seule. • La norme constitutionnelle doit être respectée par l’administration, lorsqu’un acte administratif fait directement application de la Constitution. En revanche, lorsqu’un acte administratif est conforme à une loi dont il fait application, le juge administratif ne le sanctionne pas s’il viole une disposition constitutionnelle. En effet, il sanctionnerait alors l’inconstitutionnalité

arrêtés * doctrine + jurisprudence * usages internationaux * les usages de faits (national) Chapitre 1 : Les actes de commerce I) La notion d’acte de commerce Le code de commerce dresse une liste des actes que la loi répute « acte de commerce ». Dans l’article L110-1 et L110-2. Par contre la jurisprudence va apporter des compléments et va elle même définir des actes de commerce A) Les actes de commerce par la forme Ces actes sont prévus par le code de commerce.

Selon l’article 9 du code de commerce ses actes sont deux : • La lettre de change : appelé aussi prête ;(Tireurs) donne un débiteur (le tiers ) l’ordre de paye a une date de déterminer une somme d’argent a une 3éme personne appelé le bénéficière .Cet acte est également semis au DC • Le billet a ordre : c’est un document écrit par lequel une personne appelé souscripteur s’engage a payer un bénéficiaire une somme déterminer a une date déterminer (il comporte la mesure a l’ordre de deux )il se distingue