Action des chrétiens pour l'abolition de la torture

la conception linéaire du temps et réfuta la perception cyclique de l’Histoire mais surtout affirma la stricte séparation des deux cités, spirituelle et temporelle. Les deux pouvoirs ne sont pas confondus mais vivent en harmonie puisque le bon chrétien est à la fois membre de sa communauté religieuse et citoyen. Pourtant, en effet, l’augustinisme politique subordonnera le pouvoir temporel au pouvoir spirituel. 5. Saint Thomas est connu pour sa théorie du bien commun ; Saint Thomas d’Aquin

Hermann Müller - le futur chancelier de la République de Weimar - lors des dernières tentatives du Bureau de l'Internationale en faveur du maintien de la paix. Bouleversé par la violation de la neutralité belge, il se porta volontaire le 3 août 1914. Torturé par le doute quant au bienfondé de son attitude, en raison surtout des positions prises par les internationalistes à Zimmerwald et à Kienthal, Henri de Man n'en fut pas moins un jusqu'au-boutiste de la guerre, tant par son refus de toute paix de compromis

fait qu’il n’a pu en conséquence se concilier les classes populaires entraîne son échec. En effet, partout en Grèce, ce sont les classes populaires qui permettent l’instauration de la tyrannie et son maintien car elles y apportent leur soutien. Son action est écrasée par l’archonte Mégaclès. Cylon s’enfuit, ses compagnons sont massacrés jusque dans les temples où ils ont cherché asile. En conséquence Mégaclès est accusé de sacrilège et condamné à l’exil avec tout son clan. Cependant, il permit à la

la chrétienté. « Quand Dieu fonda cent royaumes, le meilleur fut douce France. » La France abonde en rivières, en forêts (chasse, bois, nourriture), en belles dames et chevaliers redoutés. La France est dirigée au XIIIème siècle par un roi très chrétien. II- Le sentiment national « Bataille de Bouvines » en 1215 (Philippe Auguste), naissance du sentiment de nation. L’expression de « nation française » est extrêmement rare avant le XVème siècle. On va remarquer que le sentiment national

adopta la conception linéaire du temps et réfuta la perception cyclique de l’Histoire mais surtout affirma la stricte séparation des deux cités, spirituelle et temporelle. Les deux pouvoirs ne sont pas confondus mais vivent en harmonie puisque le bon chrétien est à la fois membre de sa communauté religieuse et citoyen. Pourtant, en effet, l’augustinisme politique subordonnera le pouvoir temporel au pouvoir spirituel. 5. Saint Thomas est connu pour sa théorie du bien commun ; Saint Thomas d’Aquin (1225-1274)

Dieu, le roi ne doit rendre de compte qu’a celui-ci. Le pouvoir de ce monarque n’est pas tyrannique. Au contraire, il gouverne à grands conseils (il prend conseil avant de décider) et respecte un certain nombre de principe: è Règles de la morale chrétienne è Les lois fondamentales du royaume. En droit, sur le plan théorique, le roi décide en dernier ressort, il n’est soumis à aucun contrôle institutionnelle. Aucune autorité supérieure ne peut s’opposer aux décisions royales. Les parlements d’anciens

(pas les Dieux car pas société religieuse). L’écriture est remplacée par des technologies, notamment par l’oralité (chants, …). Sur l’axe historique. Elles ont des systèmes juridiques, fondés sur la coutume, l’initiation. Ils connaissent la torture (pour punir, marquer le code, initier, pas comme nous, pour récolter des infos). Il y a tjrs un chef (chefferie) dont le but est le prestige et non la domination, coercition, injonction. Quand il donne un ordre, c’est son prestige, son charisme qui

« Il faut dire que là aussi, il y a un rituel dont le temps fort peut être un sacrifice humain de l’esclave. Voyez-vous, Jésus a été baptisé dans l’eau, l’esprit saint est venu sur lui, pour lui donner cette intelligence de conduire la religion chrétienne. Que signifie tout cela ? Les Noirs qui sont maintenant là-bas, aux Amériques se posent-ils ces questions ? Il y a certainement des Nalous, des Soussous parmi ces gens des Amériques. Traditions orales, traitement occulte et domptage de l’esclave

privée notamment (enfant, famille, alimentation,…) ce qui là aussi encourage l’intérêt porté aux femmes. Il y a donc une grande distinction à faire entre la « première » histoire des femmes, plutôt réformatrice, recourant au passé pour atteindre l’abolition d’inégalités, et la seconde, plus révolutionnaire puisqu’elle bouleverse les thèmes et méthodes classiques d’histoire. Du « positivisme de l’urgence » à la théorisation On souhaite prioritairement rendre les femmes visibles et leur rendre

déployer un discours égalitaire en matière de genre, intégré dans une rhétorique éthique plus large qui inclut la prise en compte des divisions de classe et de race. Cette position a pour conséquence directe de refouler un véritable engagement pour l’abolition du patriarcat1, ce qui se traduit chaque jour dans les faits. L’effort politique des organisations de femmes n’est donc jamais récompensé ni reconnu, y compris pendant et après les luttes de libération nationale. Par ailleurs, les organisations