Adam Smith Et Mercantilistes

monétaire 36 1.Le mercantilisme espagnol 36 2.Les mercantilistes italiens 37 3.Le mercantilisme monétaire français 38 SECTION TROIS : L'apogée du mercantilisme français 40 1.Le mercantilisme commercial français 40 2.Le mercantilisme industriel français 40 SECTION QUATRE : Le mercantilisme anglais 41 1.Le mercantilisme commercial anglais 41 2.Les théoriciens anglais 42 SECTION CINQ : Les formes tardives de mercantilisme 43 1.Les postes mercantilistes anglais 43 A)William Petty (1623-1687) 43

physiocrates français et critiques par Adam Smith. Adam Smith : il trouve le système mercantile ‘absurde’ car confondant richesse et monnaie. Pour lui mercantilisme et bullionisme sont équivalents. (Bullionisme = un pays doit empêcher toute sortie de sa monnaie, et donc les importations, s’il veut être riche). (Bullionisme en France et en Espagne : barrières aux importations, compagnies exclusives de commerce). Pour Smith, le système bullioniste/mercantiliste est mauvais car : * Il entrave le

tirer parti du commerce avec d'autres nations? * Peut-on se contenter d'une politique protectionniste ou entièrement libre échangiste ? doit-on allier les deux pour s'épanouir économiquement ? PLAN * Protectionnisme: * Mercantilistes du 17eme siècle * Protectionnisme éducateur F.List * Autres arguments favorables * Néoprotectionnisme * Instruments du Protectionnisme * Libre échange: * Fondements théoriques du libre échange *

(différentiation verticale) ou par leurs caractéristiques réelles ou perçues par les consommateurs (différentiation horizontale). Le commerce intrabranche a atteint, dans les années 1980, environ 50% du CI des pays développés. Avantage absolu : d’après Adam Smith, chaque pays doit valoriser son avantage absolu, c’est-à-dire la production pour laquelle il est le plus efficace. Les coûts de production étant par hypothèse mesurés en heures de travail, un pays A dispose d’un avantage absolu sur le pays B dans

qui du XVIe au XVIIIe siècle guidera les activités économiques dans beaucoup de pays de l’Europe. Cette appellation « Mercantilisme » de la période ne verra le jour que plus tard en 1763, employé par le marquis de Mirabeau et mise en évidence par Adam Smith dans ses critiques. Comme le disent bon nombre d’analystes le Mercantilisme n’est pas une doctrine mais de préférence un ensemble d’hypothèses ayant un objet commun celui de présenter les meilleures initiatives dans l’accumulation de la richesse

Les économistes classiques D’Adam Smith à Ricardo, de Stuart Mill à Karl Marx. Si pour les économistes classiques de la fin du XVIIIème et du XIXème, l’économie relève bien d’une discipline scientifique, ils ne la séparent généralement pas totalement des autres aspects de la réalité sociale, se distinguant ainsi des économistes néo-classiques. Les questions posées à l’époque restent très modernes. Ø Quels sont les facteurs favorables à la croissance ? Ø La misère ouvrière peut-elle être réduite

misérable.» ADAM SMITH Sous cette citation d’ADAM SMITH on peut extraire implicitement plusieurs concepts et problèmes de l’époque. Ces concepts, tels que la répartition des richesses entre les classes sociales, la croissance économique des nations et du commerce internationale sont d’autant plus importants puisqu’ils sont fondateurs de l’économie. Effectivement Smith est considéré comme étant le père fondateur de l’économie ce qui rompt le lien avec le courant Mercantilistes. Dans le même

inversement sont nés d’un contexte particulier. A.Les Classiques Pensée mercantiliste : Richesse=quantité d’or. « Enrichissement du prince passe par l’appauvrissement de ses sujets » Machiavel. Economie stagnante post take-off : Economie à somme nulle : ne dégageant pas de surplus. Pensée libérale : Fin du XVIII-mi XIX. En rupture avec la pensée mercantiliste. Passage à une économie à somme positive : économie de croissance. Adam Smith parle de « la richesse des nations » : la source de l’enrichissement

Disciple d’Hutcheson, admirateur de Voltaire, Adam Smith est le père fondateur de la science économique moderne. L’Enquête sur la Nature et les Causes de la Richesse des Nations, parue en 1776, est un des textes fondateurs du libéralisme économique. A une époque où l’expansion du travail salarié et de l’échange marchant est entravé par des règlements multiples, Smith va alors théoriser dans cet ouvrage les conditions de la régulation par le marché du capitalisme naissant, et expose son analyse sur

définitions de l’économie 1. Définition par la science des richesses « L’économie étudie l’organisation sociale de la production matérielle de l’existence » Adam Smith : La Richesse des Nations (1776) Ici on voit une tentative de sortir l’économie de la science morale, de « la théorie des sentiments nouveau » (autre ouvrage d’Adam Smith) « Ce n’est pas de la bienveillance du bouchée, du brasseur ou du boulanger que nous attendons nos diners, mais plutôt a la recherche de leur propre intérêt (…)