Addiction Et Anorexie

toute la subtilité de cette technique : permettre à la personne d'entrer en relation avec son inconscient pour mobiliser ses ressources et trouver ses solutions. (alcool, sucre, tabac, drogues, jeux, sexe, shopping...) Thème : Gestion des addictions Applications Ce module accompagné de deux stages pratiques est ouvert aux professionnels (médecins, paramédicaux, psychologues et psychothérapeutes, responsables d'entreprise, consultants, coachs, pédagogues, etc.) et aux particuliers qui ont

moi rudimentaire » de Spitz. À suivre de Ajuriaguerra et Marcelli [157] , on pourrait ainsi dresser un « calendrier » des manifestations somatiques en fonction de l’âge : colique idiopathique entre 3 et 6 mois, vomissements du premier trimestre, anorexie du deuxième trimestre, eczéma infantile entre 8 et 24 mois, asthme du jeune enfant de 5 ans, céphalées de l’enfant de 6-7 ans. Sur un plan plus général il faut rappeler : • que Spitz [78] rangeait les désordres psychosomatiques selon deux types d’attitude

|Dépression atypique | |Maladie chronique sévère |Syndrome de Cushing | |Anorexie nerveuse |Dépression saisonnière | |Dépression mélancolique |Syndrome de fatigue chronique

idéale du partenaire. Aller à la découverte de l’autre, c’est faire l’apprentissage de la déception. Le deuil des rêves d’enfance et négociation avec la réalité. Les risques majeurs de l’adolescent sont : Se réfugier dans le monde des rêves : addictions, Contester, voire rejeter la société qui ne permet pas ses rêves, Rentrer dans les cases prévues par l’adulte. L’adolescent vivra un état de dépression parce qu’il ressent d’abord un abandon et non pas une libération de l’autorité parentale

métaboliques sévères. e) Le Syndrome de glissement Le syndrome de glissement est la conséquence de maladies somatiques graves, d'institutionnalisation non acceptée, ou de syndrome de transfert. Ce syndrome crée une véritable catastrophe vitale impliquent anorexie, état confuso-dépressif, refus de soins, agitation et/ou agressivité. Après une période de latence brève, un tableau de confusion et de dépression grave s'installe. Les grandes fonctions vitales peuvent se décompenser et précipiter une évolution

de dégoût de soi-même et de profond sentiment de solitude. En cela, le déroulement de la crise boulimique peut évoquer le shoot d'un toxicomane, de nombreuses boulimiques signalant l'état de « manque ». D'ailleurs le rapport entre boulimie et addiction est de plus en plus admis. Le syndrome boulimique envahit les pensées et les activités des malades, toute leur vie se structure autour des crises. Mais son impact central sur la vie des personnes touchées cohabite paradoxalement avec sa très faible

sur l’équilibre psychologique et physique AUGMENTATION D’ACTIVITE DU SYSTEME STRESS - Maladie chronique sévère - Anorexie nerveuse - Dépression mélancolique - Trouble panique - Trouble obsessionnel - compulsif - Alcoolisme chronique - Syndrome de sevrage - Exercice chronique excessif - Malnutrition - Hyperthyroïdie - Syndrome de tension prémenstruelle - Vulnérabilité aux addictions DIMINUTION D’ACTIVITE DU SYSTEME STRESS - dépression atypique - syndrome de cushing - dépression saisonnière - syndrome

des soins et un suivi psychiatrique, une minorité seulement souffre des troubles mentaux les plus graves. En effet, les syndromes dépressifs provoqués par le choc carcéral, l’anxiété liée aux conditions de détention ou encore les différentes addictions repérées au début de l’incarcération peuvent s’atténuer ou disparaître à la condition qu’une attention particulière leur soit apportée. Ils ne sauraient être confondus avec les états plus durables et plus handicapants pour les personnes ; -

la forme de leur corps). En effet, les restrictions alimentaires infligées à leur corps peuvent parfois les faire devenir totalement indépendantes de la nourriture et les en dégoûter. S'installent alors ces troubles alimentaires que l'on appelle anorexie, boulimie et hyperphagie. Ces maladies sont beaucoup plus fréquentes chez les filles que chez les garçons (1garçon pour 9 filles) et l'anorexie est plus fréquente que la boulimie (la boulimie n'est présente que chez 2% de la population). Il convient

conscience confuse qu'il avait d'un objet extérieur. A ce stade, il existe une équation symbolique pour l'enfant entre la nourriture et la mère, et les difficultés relationnelles avec celle-ci peuvent se traduire directement au niveau de l'alimentation (anorexie, vomissements). ILLUSTRATION CLINIQUE Ou pourquoi S. Freud a décrit ce premier stade sous le registre de l'oralité ? Le nourrisson qui a faim ressent une tension, il crie pleure et dans le meilleur des cas, la mère répond et le nourrit. La tension