Addition Et Soustraction De Deux Nombres Décimaux

Numérations en base b . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Deux bases particulièrement utiles en informatique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Conversions, changements de bases . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Conversion de la base b à la base décimale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Conversion de la base décimale à la base b . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Conversion directe entre binaire

d'informations : du texte (string), des nombres entiers (int), des nombres décimaux (float), des booléens pour stocker vrai ou faux (bool), etc. En PHP, un nom de variable commence par le symbole dollar  $nom_variable = valeur_variable La valeur d'une variable peut être affichée avec l'instruction echo. Il est possible de faire des calculs mathématiques entre plusieurs variables : addition, soustraction, multiplication… Symbole Signification + Addition - Soustraction * Multiplication / Division

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 C Deux bases particulièrement utiles en informatique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 Conversions, changements de bases . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 A Conversion de la base b à la base décimale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 B Conversion de la base décimale à la base b . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 C

La numération chinoise au fil du temps. Le premier système de numération chinois est décimal et de type hybride. Il fait appel à 13 symboles fondamentaux : les 9 unités et les 4 premières puissances de 10. Celui-ci a peu évolué au cours de l’histoire. On trouve ces symboles sur les os et les écailles divinatoires de l’époque Yin (XIVème/XIème siècles avant J.C.). Comparaison entre les symboles actuels (1ère ligne) et les symboles archaïques (2ème ligne) Les chinois du IIème siècle avant

Voici deux fiches concernant l'utilisation d'un tableur. Grosso modo, vous avez actuellement deux tableurs sur le marché : Excel® de Microsoft®, et Calc® d'OpenOffice®. Le premier est commercial, payant, le second est libre, gratuitement téléchargeable sur http://fr.openoffice.org/. Bon, vous pouvez choisir d'acheter le premier (si vous le piratez, vous êtes dans l'illégalité...), mais je vous recommande particulièrement d'utiliser le second, pour des arguments technico-philosophiques que je n'exposerai

D’INFORMATIONS Blaise Pascal l’a inventé pour aider son père dans sa comptabilité pour la collecte d’impôts. La Pascaline est une machine capable d'effectuer des additions et soustractions mais aussi les La Pascaline par multiplications et divisions de façon plus Blaise Pascal en complexe. 1640 Avantage : permet d'effectuer additions et soustractions avec report automatique des dizaines. Inconvénient : manipulation relativement complexe pour les divisions et multiplications et risque d’interprétation des

le résultat s’écrit x=(mesure + ou – Dx) Mesure-Dx < x < mesure+Dx + chiffres significatif +précis Chiffres significatifs : dns l’écriture d’un nombre sous la forme ax10^, les chiffres utilisés pr écrire le décimal « a » sont les chiffres significatifs. Après addition/soustraction, résultat = nbr de chiffre décimal de la donnée qui en comporte le moins. Après multiplication/division, résultat=nbr de chiffre significatif de la donnée qui en comporte le moins   SOLUTION

base 1.1 Le binaire, pourquoi ? Vers la fin des années 30, Claude Shannon démontra qu'à l'aide de « contacteurs » (interrupteurs) fermés pour « vrai » et ouverts pour « faux », il était possible d'effectuer des opérations logiques en associant le nombre 1 pour « vrai » et 0 pour « faux ». Or, c'est la combinaison de ces opérations qui permet de concevoir tous les logiciels. D'autre part, pour le transport de l'information à distance, ce type de codage présente un autre avantage : « l'insensibilité

Cours 3 / Master EEA STRUCTURE ADDITIVE DE N 1. Généralités 1.1. Les deux grandes structures opératoires de N L'ensemble N est doté de deux grandes structures essentielles : la structure additive et la structure multiplicative. A la première, se rattachent non seulement les opérations d'addition et de soustraction, mais encore la relation d'ordre notée . A la seconde, se rattachent la multiplication, le quotient, la divisibilité et pour ainsi dire tout ce qu'on appelle l'arithmétique. La division

.................................................................................... 10 ADDITION BINAIRE ........................................................................................................................................ 12 OPERATIONS DE BASE SUR ENTIERS NATURELS ..................................................................................................... 12 3.1. Addition de deux entiers naturels .......................................................................