Adieu Mystères

enfin prête à enquêter sur mes origines, sur les fantômes de mon passe. Au fur et à mesure que j’approche de l’ancienne ville ou à vécu ma mère et mon père, Yonville, une angoisse m’envahit comme si j’avais peur de découvrir la vérité. Après des adieux déchirants avec mon mari, je me suis mise enfin en route dans ce train bien décidée à enquêter sur l’histoire de ma mère dont j’ai à vrai dire peu de souvenirs tant j’étais jeune quand elle nous a quittée. Arrivée sur les lieux de mon enfance,

gardait-il encore Un retour de bonheur dont l’espoir est perdu ! Peut-être dans la foule une âme que j’ignore Aurait compris mon âme, et m’aurait répondu !… La fleur tombe en livrant ses parfums au zéphyre ; À la vie, au soleil, ce sont là ses adieux ; Moi, je meurs ; et mon âme, au moment qu’elle expire, S’exhale comme un son triste et mélodieux. ————————————— « Les Djinns » – V. Hugo (1802 – 1885) —————————————————————— Poète, romancier, dramaturge, homme politique, académicien et intellectuel

Ne me sauraient guérir, leur métier m'a trompé,  Adieu, plaisant Soleil, mon œil est étoupé,  Mon corps s en va descendre où tout se désassemble.  Mon corps s'en va descendre où tout se désassemble. Quel ami me voyant en ce point dépouillé  Ne remporte au logis un œil triste et mouillé,  Me consolant au lit et me baisant la face,  Me consolant au lit et me baisant la face En essuyant mes yeux par la mort endormis ?  Adieu, chers compagnons, adieu, mes chers amis,  Je m'en vais le premier vous préparer la place

conçoivent Victor Hugo ou Alfred Vigny, le poète maudit est visionnaire et scrute de "son œil de lumière" les mystères du monde, mais personne ne partage plus cette vision et la solitude et la détresse le condamnent lui-aussi à s'en aller "sous sa pierre" vers le silence et la mort prématurée qui attendaient Tristan Corbière à l'age de trente ans. Son "Bonsoir" sonne donc comme adieu à la fois amer et ironique, une sorte de pied de nez au monde, au lecteur et peut-être aussi à cette femme aimée

de lettre…10 ARNOLPHE Je le souffre aisément de qui n’est pas instruit, Mais vous… CHRYSALDE Soit ; là-dessus nous n’aurons point de bruit ; Et je prendrai le soin d’accoutumer ma bouche À ne plus vous nommer que monsieur de la Souche. ARNOLPHE Adieu. Je frappe ici pour donner le bonjour, Et dire seulement que je suis de retour. CHRYSALDE, à part, en s’en allant. Ma foi, je le tiens fou de toutes les manières. ARNOLPHE, seul. Il est un peu blessé sur certaines matières. Chose étrange, de voir comme

représentant des scènes d'amour. Charles s'émerveille de trouver en Emma une épouse accomplie, sachant aussi bien conduire convenablement son ménage, que dessiner, jouer du piano, recevoir avec élégance Mais il est, pour son compte, totalement dépourvu de mystère et de raffinement. À la fin de septembre, un événement vient rompre la monotonie de l’existence d’Emma : les deux époux sont invités à un bal à la Vaubyessard, chez le Marquis d'Andervilliers. Emma, émerveillée, découvre un autre monde. Le retour

A Juana Ciel brouillé Veni, vidi, vixi Paroles sur la dune Première soirée La promenade d'automne Te souvient-il, ô mon âme, ô ma vie,D’un jour d’automne et pâle et languissant ?Il semblait dire un adieu gémissantAux bois qu’il attristait de sa mélancolie.Les oiseaux dans les airs ne chantaient plus l’espoir ;Une froide rosée enveloppait leurs ailes,Et, rappelant au nid leurs compagnes fidèles,Sur des rameaux sans fleurs ils attendaient le soir. […]

aperçoivent enfin le fameux château du sorcier et firent tous deux stupéfiés en découvrant la demeure du sorcier qui s’avéra être la copie conforme de la commanderie. Liaïl leur ayant montrée l’entrée de l’orifice souterrain, Nina et William firent leurs adieux à la Vieille dame et s’engouffrèrent dans l’étroite grotte. Sur leur chemin, ils découvrirent que le maléfique sorcier transformait en statue de pierre les personnes qui l’avaient déplus. A la fin du chapitre, les deux jeunes gens doivent une fois

lieu du cuir, ils trouvèrent sur la table les jolis petits vêtements. Ils témoignèrent d'abord un étonnement qui bientôt fit place à une grande joie. Ils passèrent vivement les habits et se mirent à chanter : Ne sommes-nous pas de jolis garçons ? Adieu cuir, souliers et chaussons ! Puis ils commencèrent à danser et à sauter par dessus les chaises et les bancs, enfin, tout en dansant ils gagnèrent la porte. À partir de ce moment, on ne les revit plus ; mais le cordonnier continua d'être heureux

assoupis, des montagnes honorables et des gamins qui jouent aux osselets dans la rue des Arabes… » . Simon découvre l’amour éprouvé par sa femme envers son ami d’enfance, cette nouvelle met fin à leur amitié «...Alors sois gentil, mon Simon, dis moi adieu et laisse-moi écrire à Ourida. » . Cependant, Khaled ne reçoit aucune lettre de sa femme, et les lettres envoyées par ses parents ne lui parlent plus d’Ourida ni de ses enfants, seulement dans une envoyée par sa sœur où elle l’informe que les gosses