Adieu Tristesse

d’appeler Teresa suivons : MARTINO : bonjour(avec un cœur qui bat) TERESA : allo c’est qui ? (fait le semblant) MARTINO : c’est moi ton Martin (un peu de sourire) TERESA : pourquoi tu m’appelle, il y’a quoi ? MARTINO : que dis-tu ? (animé d’une grande tristesse) TERESA : fais vite que veux tu me dire ? qu’est-ce que tu as de si important à me dire qui puisse changer ma mauvaise humeur aujourd’hui ? MARTINO : au revoir merci (très énerve et fâché) TERESA : pourquoi tu veux couper, mais, mais (il coupa

images du passé. Seul le présent existait encore pour Robert Neville, un présent qui consistait seulement à survivre, au jour le jour, sans connaître ni joie ni peine. Il était rentré dans une routine incontournable, son monde était envahi par la tristesse, par la peur de l'inconnu, il était dépourvu d'émotions

l’amplification, l’insistance et donnent de la force à l’accusation et relèvent de l’Art de l’éloquence (Art de bien parler). Ils rendent l’éloge enthousiasme. But visé : montrer les valeurs extraordinaires de ce qui a été perdu pour susciter le regret, la tristesse, la douleur, le chagrin = recherche du pathétique, de la persuasion.

dans leurs sièges, et petit à petit la pièce se remplit , tous les spelectateurs discuttent en attendant le début de la pièce de théâtre. Ce soir, la pièce jouée et une tragi-comédie, c'est ma forme théâtrale préfèrée car on ressent la joie et la tristesse à travers. Il est huit heures, la lumière s'éteint , on entend les trois coup de bâton , la salle devient soudainement calme. Les acteurs commencent la pièce, j'aime bien observer le regard des acteurs attentifs, réagissant aux paroles et aux mouvements

thèmes principaux L’amour au temps du choléra De Gabriel Garcia Marquez roman Colombie 1870-1930 3 personnages principaux admiration, amour, passion, dépit, espoir, patience, ambition, ennui, rancune, colère, sagesse, tristesse, désespoir, solitude, apaisement, curiosité, liberté, amour, bonheur. Amour, Vieillesse, Fidélité, Mort, Vie. La femme coquelicot De Noëlle Chatelet roman Paris 2ème partie du XXème siècle 4 personnages

montré de tendresse. Dans ce passage, c’est la première fois qu’il pleure, cela nous montre bien que ce n’est pas un grand sentimental. Il nous est désigné comme un être méchant. C’est donc une explosion de sentiment qui se crée en lui, un mélange de tristesse, de joie et de reconnaissance. Il est à la fois heureux qu’on s’occupe de lui, mais triste de se retrouver ainsi soumis à quelqu’un. Il est faible dans cette scène car incapable de se déplacer ou de se défendre, à la merci de la moquerie des autres

mais aussi des idées , des opinions.I/ 1-La poésie sert à exprimer les sentiments personnels, certes mais qu’est ce un sentiment? Un sentiment est tout d’abord un état dû à des émotions. Alors l’auteur peut ressentir de la colère, de la joie, de la tristesse ou de la peur. Un sentiment, c’est une sensation ressentie, cette sensation peut être positive, on dira alors qu’il s’agit d’une sensation de bien-être, mais peut-être négative, sensation de mal-être. Baudelaire, dans son recueil

Tout au long du film on s’attache à ces deux personnages tragiques. Le rire de Setsuko est un soulagement quand on sait qu’au fond ils se battent jour après jour pour pouvoir survivre et manger un peu de riz blanc. On ressent la peine, la joie, la tristesse, la peur mais aussi l’émerveillement de Setsuko devant toutes les lucioles de la nuit. Si je devais revoir ce film, je le ferais sans hésiter ! Mais seule cette fois-ci et avec une boîte de kleenex pour pouvoir pleurer tranquillement devant le sort

les animaux de compagnies, ça m’intéressait énormément depuis que je voulais adopter un chat. J’avais enfin trouvé lequel je voulais, j’étais déterminée à adopter un bébé siamois, je ne pouvais pas résister à leurs yeux attendrissants, remplis de tristesse et qui n’attendaient que l’on prennent soins d’eux. J’y arriverais j’en suis sûr! Soudain la voix de maman retentit, «  Jess, viens mettre tes chaussures, et pas dans deux heure s’il te plait, on va être coincé dans les bouchons ! ». J’attrapai mon

Frères, Parmi les dons de Dieu, Vous chercherez à obtenir ce qu’il y a de meilleur. Eh bien, je vais vous indiquer une voie supérieur à toutes les autres. J’aurais beau parler toutes les langues de la terre et du ciel, Si je n’ai pas la charité, s’il me manque l’amour, je ne suis qu’un cuivre qui résonne, une cymbale retentissante . J’aurais beau être prophète, avoir toute la science des mystères, et toute la connaissance de Dieu, et toute la foi jusqu’à transporter les montagnes, s’il