Adolphe Thiers Monarchie Parlementaire

chute du Second Empire, la IIIe République s’impose progressivement dans le pays. Entre 1870 et 1914, les républicains réalisent un projet dont les racines remontent à la Révolution française. Celui‑ci s’appuie sur les libertés, la démocratie parlementaire, l’égalité ou encore la laïcité. Sa mise en œuvre s’effectue toutefois sans plan préétabli, au fil des événements politiques. En outre, de nombreuses contestations existent, que ce soit dans le domaine politique, social ou religieux. Si elles font

politiques qui incarnent chaque régime ? A) Pendant plus de trente ans la France est sous une monarchie constitutionnelle (un roi et une assemblée qui vote les lois) : - 1814/15-1830 : la Restauration (Louis XVIII, Charles X) - 1830-1848 : la Monarchie de juillet (Louis-Philippe) Principaux aspects : - octroi de la Charte (texte constitutionnel) par le roi pour organiser le retour de la monarchie en tenant compte des transformations révolutionnaires - rétablissement du suffrage censitaire

La monarchie de Juillet (1830-1840) Régime qui est né d’une Révolution et en particulier d’un très mauvais mécontentement de la Restauration. → revient à une monarchie parlementaire I. La Révolution de 1830. Evénement pol qui dure 3 jours à Paris A. La montée des tensions. Point de vue éco : milieu 1820, les diff se sentent, elles s’accentuent en 1827 avc la crise agri→ diff ds l’industrialisation (↘emplois) Point de vue social : ds les quartiers populaires, les conditions de vie sont

l’empereur Napoléon III. Adolphe Thiers, politicien/historien est choisi comme chef du pouvoir exécutif de la république. Une partie de l’armée refuse la capitulation de Napoléon et s’allie avec les ouvriers, ils deviennent des communards. Ils se révoltent avec une telle ampleur qu’un pouvoir révolutionnaire s’installe à Paris. Thiers n’est pas de leur côté et va réprimer dans le sang cet élan des communards, qui disparaissent. Il continue de militer pour la monarchie constitutionnelle mais ne parvient

de la manière qui sera déterminée par sa législature, un nombre d’électeurs égal au nombre total des sénateurs et représentants que cet État est autorisé à nommer au Congrès ». Le nombre des grands électeurs par État est donc égal à celui des parlementaires élus dans cet État5, soit un total de 538 grands électeurs (100 sénateurs + 435 membres de la Chambre des représentants + 3 délégués pour le district de Columbia). Nb. : Les « grands » États sont largement représentés dans ce collège (ex. : 55

l’impératrice à fuir le Palais des Tuileries pour aller en Angleterre tandis que l’Empereur reste captif en Allemagne. Face au manque de loyalisme envers le Second Empire, et les fortes oppositions à la fois de politiques et de libéraux envers Napoléon III, (Thiers le nommant « Crétin », ou encore Victor Hugo lui attribuant le sobriquet de « Napoléon le petit »), le régime trop récent et contesté chuta rapidement jusqu’à ce que la République soit proclamée par Léon Gambetta, formant avec les députés, un « Gouvernement

institutions futures par le Pacte de bordeaux et élit d'autre part l'orléaniste Adolphe Thiers chef du pouvoir exécutif de la République française . Ce dernier devra exercer ses fonctions sous l'autorité de l'Assemblée avec l'aide des ministres qu'il aura choisi . Le gouvernement Thiers va alors conclure la paix, réprimer la Commune de Paris de manière sanglante et réorganiser le pays . Conservateur mais néanmoins républicain , Thiers va voir ses relations avec l'Assemblée se dégrader et les monarchistes

Légitimistes : Nostalgique absolue de l’ancien régime, la révolution FR est l’œuvre de Satan, seule la monarchie absolue peut sauver la FR. - Orléanistes : Sont favorables à une monarchie parlementaire (à l’anglaise) équilibrée. Il n’y pas de point commun entre les deux, mais il va y avoir une coalition entre les républicains modérés et les monarchistes modérés (Orléanistes). L’AN désigne THIERS Adolphe en février 1871 (chef du pouvoir exécutif), il y a des relations conflictuelles au sein de l’ANC

ultras de Charles X et qui a abouti à la monarchie de Juillet. I. Les origines de la Révolution 1. Le régime coercitif de Charles X Durant la Restauration, deux mouvements dominent la vie politique : les ultraroyalistes et les libéraux. Les premiers, dits aussi « ultras », prônent le retour à l’Ancien Régime et refusent les acquis de la Charte octroyée en 1815. Face à eux, les libéraux militent pour l’institution d’un régime parlementaire légataire des idéaux de la Révolution et

l'activité et du contrôle des personnes chargées d'une mission de l'intérêt général (service public). Droit des rapports entre les administrations et administrés.` L'Etat : Mode d'organisation politique de la société. Il peut prendre la forme de monarchie, d'empire ou République. JJ Rousseau : "chaque individu abandonne par un contrat social une part de ses droits contre la protection de l'Etat." T. Hobbes : Le léviatan, "L'Etat est oppresseur, l'homme est un loup pour l'homme." Trois éléments constitutifs