Adraste

majorité, il leur rend le pouvoir. Etéode et Polynice conviennent de régner un an chacun à tour de rôle. Mais Etiope va refuser de rendre le pouvoir à Polynice à la fin de la 1ère année. Polynice part et va se réfugier. Argos épouse la fille du roi Adraste. Polynice veux reprendre la ville de Thèbes par force et va demander de l’aide à Argos et va choisir 7 chefs / princes étrangers (car 7 portes). À la mort de son père, Antigone regagne le palais de Thèbes, où elle vit avec sa sœur Ismène. Polynice

Isabelle alors qu'il n'en n'a aucunement envie, et qu'il redoute par-dessus tout la mort. On le voit au polypote, vers 1288 : "mort" et "mourir". On remarque aussi qu'il a des regrets d'avoir échappé une première fois à la mort, il regrette d'avoir tué Adraste, il échappe d'un problème pour retomber dans un autre problème (tomber de Charybde en Scylla). Clindor fait ainsi preuve de lâcheté. Conclusion : Dans le monologue Clindor se place en héros tragique au service de l'amour ; mais la proximité de

majeurs et incontournables de l’éloge théâtrale ? AUTRE ETUDE Introduction On rencontre deux nouveaux personnages : Matamore, vantard et peureux qui surenchérit ses exploits, Clindor, ironique. Matamore se refuse à l’affrontement avec Adraste ce qui met en doute sa valeur guerrière et son amour. Il se présente comme un héros mais l’invraisemblance des exploits qu’il s’attribue le tourne en ridicule/comique. C’est un personnage héroi-comique issu de la comedia dell’arte. Tout en contant

schématisme qui renvoi à une conception imaginaire du monde. Rare sont les histoires ou le héros ne parvient pas à surmonter les épreuves auxquelles il est confrontés. Dans « l’illusion comique », Clindor, emprisonné par Géronte après avoir blaisé Adraste, réussi à s’échapper. Nicomède est délivrait des mains des romains, grâce au soutien de son frère Attale. Dans « un miracle ordinaire », l’ours transformé en homme le restera grâce à l’amour qui l’éprouve pour la princesse. Ainsi le théâtre étant

une femme. Cela intensifie le rapport avec Clindor. Mère/fils plus fort que père/fils tragique. Mère : plus expansive dans l’expression de ses sentiments. Dorante : acteur (niveau 1) polyvalent  plusieurs rôles : Dorante (niveau 2) Adraste (niveau 3) Princesse Rosine (niveau 4) Acteur : Géronte + Geôlier (niveau 3) + Eraste (niveau 4) Début de la pièce : Arrivée premier acteur sur la scène mais caméra dès la coulisse  lien vie réelle / illusion théâtrale. Il est

autre hypothèse, quelqu’un allait voir Sophocle et Euripide (…)Phèdre : Absolument. » 268c-269a, p.289-291) 4) La dialectique ne peut se contenter des préliminaires auxquels se tient la rhétorique traditionnelle (Adraste – Périclès). (« Socrate : Et que diraient, imaginons-le Adraste aux paroles de miel ou Périclès(…) Phèdre : (…) tu as raison. » 269a-c, p.291-292) 4. La véritable rhétorique. (« Phèdre : (…) Mais alors, comment et par quel moyen (…) ce n’est manifestement pas un petit travail

celle d'un homme seul, quel qu'il soit. (même source, plus loin) – Aristote Pierre AUBENQUE, professeur à l'université de Paris-IV-Sorbonne Hérodote (cf article pdf sur Encyclo) Pisistrate (à Athènes) Théagénès (à Mégare) Clisthène Argos / Argiens ? Adraste, fils de Talaos Mélanippos, fils d’Âstacos Adrasie Mékistéus Tydeus Polybos Dionysos Doriens Pittacos Mytiléniens Antiménidès et Alcée Agaristè Périclès Zeus libérateur - Eleuthérios Maiandros (Samos) – Télésarchos Kypsélos Périandre Mélissa Thrasybule

asseoir leur pouvoir et à garantir leur vie même, et ne s'adressait qu'aux divinités panhelléniques et poliades, aux dieux populaires et aux héros agrestes, à l'exclusion des divinités à caractère aristocratique. Ainsi Clisthène expulsa-t-il de Sicyone Adraste, cher à la noblesse dorienne, et Pisistrate installa Artémis Brauronia sur l'Acropole15. La vogue que connut le culte de Dionysos, dieu de la vigne et de la joie, date des tyrans.

« épouvantable », et également celui de l’ennui, « stupide silence », « épuise », « Traine en longueur », « baille », ce qui montre qu’on souffre quand on l’écoute tant elle est sotte, ce qui appuie le fait que Bélise soit l’allégorie de la sotte. Adraste : Lui est à l’image de l’orgueilleux, du vaniteux. Encore une fois, le type décrit dans la description est annoncé dès les premiers vers « Quel orgueil extrême ! C’est un homme gonflé de l’amour de soi-même ». Ensuite, on retrouve une expression qui

ils représentent un type humain. Cléonte : l’original, l’extravagant Damon : le raisonneur, celui qui parle pour ne rien dire Timante : le mystérieux, qui croit faire des révélations Géralde : le snob Bélise : la sotte qui n’a aucune conversation Adraste : l’orgueilleux, celui qui est imbu de lui-même Cléon : le gastronome, qui se fait valoir par la nourriture Damis : l’homme d’esprit, qui se croit supérieur et critique tout le monde On peut les comparer aux portraits que fait La Bruyère dans Les