Adraste

l'intrigue comique: un couple d'amoureux rencontre des obstacles, le plus souvent un père tyrannique qui oppose au jeune homme un rival plus riche, ou plus à son goût. Ex: Dans L'Illusion comique, Clindor a deux rivaux, le ridicule Matamore, et Adraste à qui Géronte veut marier Isabelle. •Une comédie comporte des péripéties où l'on voit des valets rusés apporter leur aide à leur jeune maître en difficulté. Ex: Dans Le Malade imaginaire, Toinette vole au secours d'Angélique. ~ Une fin

______________________ 12 Bel (celte) ____________________________ 12 page 1/37 Abandinus (romano-celte)________________ 7 Abarta (irlande) ________________________ 7 Abelio (gaule)__________________________ 7 Abnoba (romano-celte) __________________ 7 Adraste (breto-celte)_____________________ 7 Adsullata (celte) ________________________ 8 Aed (irlande) __________________________ 8 Aenghus (irlande) ______________________ 8 Aengus (irlande) _______________________ 8 Aericura (romano-celte) _________________

les misères de la guerre. Les Suppliantes (représentées probablement en 423) Les mères des guerriers argiens morts à Thèbes aux côtés de Polynice, à qui les Thébains refusent de donner une sépulture, viennent en suppliantes, à Eleusis, avec Adraste, demander l'aide de Thésée. Le roi mène une expédition contre Thèbes et l'emporte. On ramène les corps des sept chefs. Evadné se jette dans le bûcher de Capanée, son époux. Les urnes sont apportées aux mères ; Athéna annonce l'avenir et scelle l'alliance

répondrait-il pas à son homme : Tu possèdes les éléments de l’art tragique, mais l’art lui-même t’est inconnu ; et Acumènos, Tu connais les éléments de la médecine, mais non pas la médecine elle-même ? PHÈDRE. Assurément. SOCRATE. Mais que dirait Adraste[49] au doux langage, ou Périclès, s’ils entendaient parler de ces beaux artifices qui nous occupaient tout à l’heure, tels que celui de la concision ou des images, enfin toutes ces ressources du même genre que nous nous sommes promis d’examiner au

nu este concludentă căci ar putea fi vorba despre unul dintre numeroasele falsuri atribuite unor personaje din antichitate : acesta este cazul numeroaselor scrieri adunate sub numele lui Orfeu sau al lui Pitagora. Totuşi povestirea „pătimirii" lui Adrast în sec. VI î.e.n. despre care vom vorbi în capitolul dedicat originii tragediei, ritul numit diasl-paragmos, sfîşierea victimei în cultul dionisiac, al cărui erou îl găsim în Bacantele lui Euripide, ne permit să conchidem că a existat un mit al pătimirii

sanctuaire consacré à Poséidon Hippios (« Cavalier ») traits d'un chien anthropomorphe tenant une lance et por- et à Athéna Hippia (« Cavalière »), deux hérôon (tombes tant une épée au côté[37] . de héros), dont l'un est consacré à Œdipe et à Adraste, Dans l'art romain, l'épisode est traité moins souvent, mais toujours régulièrement, sur différents supports : peintures et reliefs, mosaïques, sarcophages, céramiques sigillées et lampes, généralement avec une signification moins directe, plus

Ménécée se jeta alors du haut des remparts. * Au cours de la Guerre des sept chefs, Polynice attaqua la ville avec ses alliés pour récupérer le trône détenu par son frère Étéocle. L’attaque s’acheva par la mort de tous les attaquants, hormis Adraste qui réussit à fuir grâce à la rapidité de son cheval, Arion. * Les Épigones, fils des sept chefs, attaquèrent la ville des années plus tard pour venger leurs pères. Ils prirent la ville, tuèrent Laodamas, fils d’Étéocle, et mirent Thersandre

institution était de rappeler le souvenir des guerriers qui étaient mort pour le salut de la patrie. Celui qui présidé ces jeux portait une tenu de deuil et les guerriers étaient récompensés par des couronnes d’ache mortuaire. Ils furent institués par Adraste, étaient dédiés à Archomore et se tenaient tous les deux ans en Argolide. Les épreuves comprenaient des courses de cheveux, des exercices gymniques et des concours musicaux et plus particulièrement de la cithare. Les Panathénées, à Athènes, avaient

avaient été dévorés, lorsque Rhéa, voulant sauver son enfant, se réfugia en Crète, dans l'antre de Dicté, où elle donna le jour, en même temps, à Jupiter et à Junon. Celle-ci fut dévorée par Saturne. Quant au jeune Jupiter, Rhéa le fit nourrir par Adrasté et Ida, deux nymphes de Crète, qu'on appelait les Mélisses, et recommanda son enfance aux Curètes, anciens habitants du pays. Cependant, pour tromper son mari, Rhéa lui fit avaler une pierre emmaillotée. Les Mélisses nourrirent Jupiter avec le lait

avaient été dévorés, lorsque Rhéa, voulant sauver son enfant, se réfugia en Crète, dans l'antre de Dicté, où elle donna le jour, en même temps, à Jupiter et à Junon. Celle-ci fut dévorée par Saturne. Quant au jeune Jupiter, Rhéa le fit nourrir par Adrasté et Ida, deux nymphes de Crète, qu'on appelait les Mélisses, et recommanda son enfance aux Curètes, anciens habitants du pays. Cependant, pour tromper son mari, Rhéa lui fit avaler une pierre emmaillotée. Les Mélisses nourrirent Jupiter avec le lait