Adrian Morales

actes criminels, exécutions capitales, faits de guerre, ou contre soi-même (agressions auto-infligées, conduites à risque), la violence s’étend également aux dommages corporels dus à un accident. Elle s’applique aussi aux atteintes à l’intégrité morale (humiliations, harcèlements, contraintes et tortures physiologiques), mais encore, aux atteintes matérielles. « Sachant qu’il n’y a jamais de violences réellement sans objet ou de provocations sans que leurs acteurs n’aient le sentiment, à tort ou

Introduction : L’homme est un personnage très complexe dans la mesure où il ressent de nombreux sentiments I. La conscience. 1) la conscience morale et psychologique. On distingue deux sortes de consciences psychologiques : la conscience de soi et la conscience spontanée. Cette dernière est première mais pas innée. On l’acquiert à l’âge d’environ un an à la seule condition que l’on soit élevé parmi les siens dans une société. Sans celle-ci, nous n’avons pas conscience des choses qui nous entoure

notre travail parler des sanctions du droit ou de la règle de droit. I. La sanction pénale et civile la sanction de la règle de droit étatique n’est pas la même que celle de la violation des autres règles de conduites sociales telles que la règle morale religieuse coutumière ou les usages etc.la sanction du droit lorsqu’il est viole par un individu se fait par la répression de ce dernier .On parlera de sanction pénale lorsqu’une règle de droit pénale est violée ou d’une sanction civile lorsqu’une

ex : « Peut-on condamner un homme à mort ? » La possibilité de savoir si oui ou non il est possible de mettre physiquement un homme à mort n’est pas intéréssante. La subtilité de cette question est la portée morale de la mise à mort d’un homme. ex : Peut-on se mentir à soi même ? La portée moral du mensonge à soi même n’est pas intéréssant ici. L’intérêt de cette question porte sur la capacité d’un être humain à se mentir à soi même. - sujet question « faut-il ? » : Il y a souvent un problème de

Celle-ci se définit par le savoir que nous avons de nous même et du monde qui nous entoure, en nous et en dehors. Elle est donc naturellement opposée à l’instinct bien qu’une partie de la nature humaine en est habitée. L’Homme aurait donc des aptitudes morales, celles de penser, juger, connaître, retenir, interagir, anticiper et même celle de douter… Descartes se résume selon cette expression : « Cogito Ergo sum » (=je pense donc je suis), traduisant le fait qu’un être capable de penser, doit forcément

aspects qui est, comme le souligne G. P. Flechter1 un moyen d’entrer dans ce qui différencie “ morale partiale ”, de “ morale impartiale ”. La loyauté est en effet partiale par nature et indique la justification d’un traitement différencié des proches et des étrangers. Elle légitime ce traitement différencié entre des êtres humains. 1 Article “ loyauté ”, Dictionnaire d’éthique et de philosophie morale, P.U.F. Paris, 1996, pp. 874-878 Yvon PESQUEUX 1 Que la loyauté vise les proches ou bien

recourir à la contrainte. L’obligation morale n’est pas sanctionnée par le droit. Le principe de la sanction n’est pas absolu car certaines obligations ne sont pas sanctionnées par le droit. 1) Principe de la sanction Tout créancier peut recourir à la contrainte. Pour forcer le débiteur à exécuter ses obligations par la force publique. Certaines obligations sont insusceptibles de sanctions. Ce sont les obligations naturelles. Il s’agit de devoirs moraux qui existent au sein du groupe familial

tout de suite, bulldozer, il rentre dedans. (Rires) Et ça c’est dommage parce que ça veut dire que même pour nous, on n’a pas une vision positive du message de l’Eglise. Et trop souvent, trop souvent, je vois chez les jeunes cathos une vision de la morale chrétienne, ou de ce que peut dire l’Eglise là-dessus, uniquement comme une suite, une série, une liste d’interdictions : « ça c’est péché, ça c’est péché, ça c’est péché, ça c’est péché, ça c’est pas péché, ça c’est péché…etc. ». Quand je fais un

sortie d’une école, sur une plage, hier, aujourd’hui…). Pour Gérard Cornu (v. notice in Vocabulaire juridique, P.U.F. collection Quadrige) qui cite l’article 6 du Code civil, les bonnes mœurs désignent l’ensemble des « règles imposées par une certaine morale sociale, reçue en un temps et en un lieu donnés, qui, en parallèle avec l’ordre public (au sein duquel les bonnes mœurs sont parfois englobées), constituent une norme par référence à laquelle les comportements sont appréciés ». Les bonnes mœurs résultant

de la Belle époque. o le public, l’unité d’atmosphère : univers factice ou se mêlent les travailleurs du désir et les fêtards du travail où s’embrouillent le plaisir du jeu, de l’amour et de l’argent, où passent avant les autres solutions la morale bourgeoise jusqu’en sa complaisance hypocrite pour le concubinage devenue ordinaire. o Composé dans la hâte le + souvent, ces pièces usent et abusent des conventions dramatiques=> psychologie stéréotypées, ficelles de l’intrigue et effets comiques