Aedes

héros mythologique, les romains l’invoquaient dans leurs cultes, les artistes de la Renaissance le prenait pour modèle, et les poètes et les musiciens de tout temps pour sujet d’inspiration… Présentation du personnage d'Orphée Orphée était un des aèdes mythiques de Thrace, fils du roi Œagre et de la muse Calliope. Il savait charmer les animaux sauvages et parvenait à émouvoir les êtres inanimés grâce à sa lyre qu'Apollon lui avait donnée avec quelques-uns de ses dons. Il changea cette lyre en y mettant

une sorte de perte ? 1. L’introduction : 1. Phrase générale qui introduit le propos = DOXA = Opinion commune. On a coutume de penser, depuis Platon dans République, qui considérait le poète comme indigne de vivre dans la cité, que les aèdes et leur art, la poésie, menant les citoyens à l’erreur, devaient non pas recevoir des louanges mais être purement et simplement condamnés. 2. Phrase plus précise qui met en évidence la pensée de l’auteur. Or, il est aussi admis que, pour un

épiques sont constitués de discours et de dialogues. II. Un roman d’aventures. A) un récit merveilleux. B) unité de temps et de lieu. En conclusion, L’Odyssée se présente comme un poème épique car les poèmes épiques étaient rédigés par des aèdes et chantés par eux-mêmes ou de rhapsodes et dès Ulysse se fait aède auprès d‘Alcinoos, néanmoins, on peut aussi parlé d’un roman quand on parle de L’Odyssée car il s’agit d’un récit d’aventures : L’Odyssée « raconte » l’histoire du héros troyen Ulysse

étroits qui l’unissent à la destinée de la créature humaine. La notion de lyrisme unit traditionnellement la poésie au chant. Ce terme doit en effet son nom à la lyre dont les accords harmonieux accompagnaient dans l'Antiquité les compositions des aèdes. Associé à la figure d'Apollon ou d'Orphée, cet instrument pacificateur devint le symbole de l'inspiration poétique et des pouvoirs du poète: suspendre le temps, calmer les souffrances, apprivoiser la mort... Issu de la langue grecque, l'adjectif «

beaucoup d’encre entre la remise en cause de l’existence même d’Homère et les débats controversés sur l’origine des deux épopées les plus connues. Les plus anciens textes littéraires grecs relèvent en effet d’une longue tradition orale, transmise par les aèdes, au moyen d’une mémoire orale commune. Alors au-delà des débats sur l’auteur unique ou la pluralité des écrivants, la question de la réalité historique, géographique et politique se pose. Des fouilles ont été réalisées sur le site de Troie pour déterminer

d’Homère. Chants V à XIII L’œuvre et son contexte I) Récit et temps homériques 1) Entre mythe et histoire 2) Temps homériques : le monde mycénien 3) Les siècles obscurs II) Le poème homérique : La parole de l’aède 1) Aèdes et rhapsodes 2) Homère : Qui était-il ? 3) Le texte : écriture et oralité III) Aux sources du genre épique Intro : Homère a crée une influence très importante grâce à cet Odyssée (Aventure remplie de péripéties). L’Odyssée est composée

d’un patrimoine de la culture grecque, on estime que l’Odyssée ainsi que l’Iliade ont été fixes au 8émé siècle avant J-C. Beaucoup d’œuvre littéraires, des peintres s’inspirant de ses œuvres mythique. Homère: aveugle de sagesse, méditation. Aèdes: ce sont des gens qui appartient a une cour de Roi. Ils composent au fur à mesure de leur récitation et s‘accompagne d’une lyre. Homère pourrait être un aède. L’Odyssée est divisée en 24 chants à cause des 24 lettres de l’alphabet grecque.

monstres, magie, etc.). Elle porte sur un sujet noble et exalte de belles actions (surtout guerrières) et des hommes de mérite (héros, rois, guerriers). Sur le mythe : -Oralité première : Avant d’être fixés par écrit, les mythes étaient chantés par les aèdes pour plaire à un auditoire. -Personnages : Le mythe raconte l’histoire des dieux, des demi-dieux et des héros. -Scénario : Les mythes ont tous un scénario semblable, précis et réglé. Ils abordent des thèmes récurrents qui leur permettent d’être intelligibles

iconographique. Par le biais de documents iconographiques (en liaison avec le programme d’histoire), on peut faire observer des éléments de la civilisation mycénienne : le plan des palais mycéniens avec leur mégaron (pièce de réception où on écoutait les aèdes), les instruments de musique évoqués dans le poème (cithare, flûte), les objets précieux (gobelets en or, vases à boire, ...) qu’on trouvait dans les banquets. On reconstitue ainsi le cadre réel du récit. A l’inverse, les vases grecs fournissent

au royaume d’Hadès. Même si cette enfer n’as pas l’image chrétien, il inspire les regrets de la vie terrestre. Nous voyons ici la description des damnées et des supplices qu’ils endurent. Cette description, est une interpellation tardive que les aèdes ont ajoutée par la suite. Elle a eu de grande influence sur les représentations ultérieures des enfers sur les réflexions des enfers sur les réflexions concernant le mal et son éventuelle punition. Cette descente aux enfers avait un caractère magique