Affaire Calas

L'affaire Calas La famille Calas habitait au 16, rue des Filatiers (aujourd'hui n° 50) à Toulouse. Le 13 octobre 1761, le fils aîné, Marc-Antoine, est retrouvé pendu dans la boutique familiale, à une porte. Meurtre ou suicide ? Toujours est-il que les Calas (le père et le frère cadet en particulier) sont accusés du meurtre alors que ceux-ci prétendent avoir détaché Marc-Antoine pour que ce dernier ne subisse pas le traitement alors infligé aux suicidés. Mais les Calas, de confession protestante

Commentaire, Volaitre, traité sur la tolérance. Voltaire, de son vrai nom François Marie Arouet, nait en 1694 à Paris, se faisant entre 1762 et 1765, un ardent partisant de la réhabilitation de Jean Calas, protestant condamné à tort pour l’assassinat de son fils qui voulait se convertir au catholicisme. Il dénonce cette condamnation dans le Traité sur la Tolérance, chapritre 23, écrit en 1763. Dans cet extrait Voltaire s’adresse à Dieu pour obtenir le respect de la tolérance.  Tout d’abord

mort, puisque Hugo, révolté, décrit les angoisses, les souffrances physiques et morales, et les états d'âmes du condamné. De la même manière, Voltaire, avec son roman Traité sur la tolérance de 1763, qui s'appuie sur la condamnation à mort de Jean Calas, un protestant, accusé d'homicide volontaire sans preuves. A travers ce roman, Voltaire propose la tolérance et le respect entre les religions. Il invite le lecteur à une réflexion personnelle sur les religions.

lecteurs de l’innocence de Jean Calas ? Dans un premier temps, son discours décrit un « vieillard », « faible », tenant à peine sur ses jambes, il utilise des adjectifs forts, afin de déjouer les accusations du tribunal, d’autre part il parvient à attendrir en parlant du lien charnel entre une mère et son enfant « une mère tendre aurait-elle mis les mains sur son fils ? ». Voltaire démonte pièce par pièce chaque accusation portée par les juges pour accuser Calas. Voltaire décrit une justice qui

cessé de proscrire ces abominables décisions d’abominables | | |théologiens. | En 1762, Jean Calas, négociant toulousain de confession protestante, est condamné et exécuté sous la fausse accusation d’avoir pendu son fils parce qu’il voulait se convertir au catholicisme. Indigné par cette injustice, Voltaire publie en 1763 le Traité sur la tolérance

Voltaire OBJET D'ETUDE 1re La question de l'Homme dans les genres de l'argumentation 1763 Traité sur la tolérance A la fin du Traité sur la tolérance, écrit pour appuyer le combat en vue de la réhabilitation de Jean Calas victime des préjugés religieux, voltaire s'adresse à Dieu. Il en appel à un dieu de justice et d'humanité qui, au-delà de la diversité des peuples et des religions, rassemble les hommes dans un sentiment universel de fraternité.

Il vulgarisait ses ouvrages afin de les mettre à la portée de tous. Il écrit Les lettres philosophiques en 1734, Le fanatisme ou Mahomet le prophète en 1741, Zadig en 1748, Candide en 1759, Traité sur la tolérance à l’occasion de la mort de Jean Calas en 1763. Il contribue à l’écriture du dictionnaire philosophique. Il dit « Dans une République digne de ce nom, la liberté de publier ses pensées est le droit naturel du citoyen ». Il meurt en 1778.François-Marie Arouet dit Voltaire nait en 1694. Il

Jean Calas, riche marchand d'étoffe et sa famille habitent au no 16 de la rue des Filatiers (aujourd'hui no 50), à Toulouse. Le 13 octobre 1761, son fils aîné, Marc-Antoine, est retrouvé pendu dans sa maison, à la poignée d'une porte de la boutique. Le corps est découvert à 22 h après le souper, qui réunissait à l'étage le père et la mère Calas, les deux fils Marc-Antoine et Pierre et un invité de passage, Gaubert Lavaisse. Ses parents déclarent l'avoir trouvé « étranglé », évoquant le crime d'un

Traité sur la tolérance, 1763. [Le 12 octobre 1761, on découvre Marc-Antoine Calas pendu dans le magasin de son père Jean Calas, un négociant protestant. Ce dernier est accusé d'avoir tué son fils pour l'empêcher de se convertir au catholicisme, seule religion autorisée alors. Jean Calas est condamné à mort et roué. Voltaire entreprend de réhabiliter sa mémoire.]   Il paraissait impossible que Jean Calas, vieillard de soixante-huit ans, qui avait depuis longtemps les jambes enflées et faibles

L’affaire Calas     Le  Mardi  27  Janvier,  plusieurs  classes  de  lycée  ont  assisté  à  la  représentation  théâtrale  de   l'affaire  Calas,  jouée  par  la  Compagnie  du  Grand  Théâtre.  ​ Ceci  était  une  opportunité  pour les élèves, qui étudient en ce moment,  le  siècle  des  Lumières  et  Voltaire. Étant une  journaliste, je  me  suis  rendu à la  représentation,  et  j’ai  pu interroger  certains élèves, sur ce qu’ils  ont  pensé  de  cette pièce.    La  question  à  laquelle  les