Affaire Dreyfus Division

représentants d'une époque et d'une génération particulière fait l'objet d'un roman. Mais aussi avec son roman : Germinal qui connut un franc succès auprès du peuple. Les dernières années de sa vie sont marquées par son engagement dans l'affaire Dreyfus avec la publication en janvier 1898, dans le quotidien L'Aurore, de l'article intitulé « J’Accuse…! » qui lui a valu un procès pour diffamation et un exil à Londres dans la même année.

PARTIE I Au moment des faits la presse de l'époque est divisée en deux camp, les « Anti-Dreyfusards » qui attaquent le lieutenant Dreyfus et les « Dreyfusards » qui tentent de prouver son innocense. En effet la presse de l'époque ne tarde pas à s'occuper de ce sujet qui va au final avoir une répercution national. Le 1er novembre 1894 le Figaro publie : « Des présomptions serieuses ont motivé l'arrestation provisoire d'un officier français soupçonné d'avoir communiqué à des étrangers quelques

l’intermédiaire du Front National (FN). Comment et à partir de quoi l’extrême droite a-t-elle réussit-elle à séduire ses électeurs à travers l’histoire de France ? I. Généralités sur l’extrême droite a) Définition b) Historique c) L’affaire Dreyfus II. Le discours de l’extrême droite a) Les idées communes b) L’extrême droite et les étrangers c) Les principales idées d) Un antisémitisme ? e) La montée de l’extrême droite ailleurs en Europe I. Généralités sur l’extrême droite

les deux enfants que lui donne Jeanne Rozerot, sa maîtresse depuis 1888. L’Affaire Dreyfus Installé dans une confortable notoriété (il transforme régulièrement la maison de Médan avec ses droits d'auteur), il n'hésite pas à entrer dans la lutte politique lorsqu'il est convaincu de l'innocence du capitaine Dreyfus accusé d'espionnage à la solde de la Prusse. Il ne se manifeste pas lors de l'arrestation de Dreyfus en 1894. Pourtant, dès 1895, Zola est indigné par les campagnes antisémites, en particulier

L’affaire Dreyfus. Comme beaucoup d’affaires judiciaires, elle n’était pas si limpide que ça au départ. Elle est à la fois judiciaire et politique. Elle reste le triomphe de la justice militaire. La conclusion de l’arrêt du 12 juillet 1906 de la Cour de cassation est remarquable : « Attendu, en cette dernière analyse, que de l’accusation portée contre Dreyfus rien ne reste debout. » Chronologie : L’affaire se situe dans un contexte très particulier à la fin du 19ème siècle

pour garder sa place // justice propose même poste à Denizet. * «sa grande ambition, son rêve d’un siège à Paris. » (l. 116 – 117) * « Il se passionnait, lui aussi, d’autant plus qu’il avait de l’ambition et qu’il attendait ardemment une affaire de cette importance, pour mettre en lumière les hautes qualités de perspicacité et d’énergie qu’il s’accordait. » (p.130) * « (….) il avait un si cuisant désir d’être décoré et de passer à Paris, qu’après s’être laissé emporter, au premier jour

modèle du médecin, le romancier doit fonder sa vision réaliste sur l'expérimentation objective ». En 1870, il imagine le plan d’une vaste fresque naturaliste « Les Rougon-Macquart ». A la fin de sa vie, il s’engage dans l’Affaire Dreyfus, en défendant le Capitaine Dreyfus, juif accusé d’espionnage pour le compte de la Prusse. Il publie le 13 janvier 1898, l’article « J’accuse » dans le journal « L’aurore ». Il part en exil à Londres pendant un an pour éviter l’emprisonnement. c/ Les « Rougon-Macquart

L’affaire DREYFUS Une erreur judiciaire qui débouche sur une crise politique majeure Alfred Dreyfus est un capitaine alsacien juif condamné sans preuves tangibles en 1894 pour espionnage au profit de l’Allemagne. Au terme d’une enquête bâclée, il est dégradé publiquement puis déporté à perpétuité sur l’île du diable en Guyane. Pendant de nombreuses années, seul son frère Matthieu et une poignée d’hommes comme Auguste Scheurer-Kestner (industriel et homme politique mulhousien, patron aux idées

L'affaire Dreyfus Accusé d'espionnage au profit de l'Allemagne, un officier d'origine juive, Alfred Dreyfus, est condamné au bagne en 1894. La découverte de son innocence provoque « l'affaire » . Le débat sur le sort réservé au capitaine Dreyfus favorise les engagements militants et les interventions médiatiques : la France est profondément divisée entre dreyfusards et antidreyfusards. Au-delà de la personne d'Alfred Dreyfus, le débat révèle une remise en cause des principes républicains par

1885, pendant la Troisième République. Au départ, c’est un républicain, et il suit notamment le député Jules Ferry. Puis il adhère progressivement au socialisme. En prenant la défense des grévistes (les mineurs de Carmaux) ou encore avec l’affaire Dreyfus, Jaurès s’impose alors comme un leader socialiste français. En 1902, il crée un Parti Socialiste, et devient son porte-parole à l’Assemblée. Il est également vice-président de la Chambre, et s’engage pour le « bloc des gauches ». Le Bloc des gauches