Affaire du conseiller Prince

VOLTAIRE, Dictionnaire philosophique, article « guerre » (1764) Un généalogiste prouve à un prince qu'il descend en droite ligne d'un comte dont les parents avaient fait un pacte de famille, il y a trois ou quatre cents ans avec une maison dont la mémoire même ne subsiste plus. Cette maison avait des prétentions éloignées sur une province dont le dernier possesseur est mort d'apoplexie : le prince et son conseil concluent sans difficulté que cette province lui appartient de droit divin. Cette province

doute du mieux. On ne regarde les parties que pour juger du tout ensemble; on examine toutes les causes pour voir tous les résultats. Si je pouvais faire en sorte que tout le monde eût de nouvelles raisons pour aimer ses devoirs, son prince, sa patrie, ses lois; qu'on pût mieux sentir son bonheur dans chaque pays, dans chaque gouvernement, dans chaque poste où l'on se trouve; je me croirais le plus heureux des mortels. Si je pouvais faire en sorte que ceux qui

mais les gardes bourgeois prennent la direction des affaires. Ils créent un conseil et envoient au roi une députation, pour lui demander d’apporter des solutions aux demandes des Belges. Le 28 août, au Château royal de La Haye, le roi décide d’envoyer des troupes pour établir un rapport. C’est son fils, le prince Guillaume d’Orange, qui sera à la tête du régiment. Son rôle est de faire un rapport sur la situation en Belgique. Le 31 août, le prince arrive à Bruxelles. Il y rencontre des personnalités

trois catégories : des hommes proches du Palais ou du premier cercle gravitant autour du roi, capables d’en décrire les mœurs, le fonctionnement et les intrigues ; des experts, dont les compétences précieuses permettent de déchiffrer l’opacité des affaires royales dans des secteurs tels que l’agriculture, la finance, etc. ; et, enfin, des politiques, qui connaissent certains domaines sensibles que nous souhaitions aborder. Ils ont accepté de nous parler mais, à l’exception de cinq d’entre eux

demander aux astres la bénignité toute pure de leurs influences, et la recevoir, auparavant qu’elles aient rien perdu de leur innocence, au lit des éléments. Texte D : Extrait de Voltaire, Candide (1759) Cacambo, qui donnait toujours d’aussi bons conseils que la vieille, dit à Candide : « Nous n’en pouvons plus, nous avons assez marché. J’aperçois un canot vide sur le rivage, remplissons-le de cocos, jetons-nous dans cette petite barque, laissons-nous aller au courant : une rivière mène toujours à

et de voguer contre le vent : ce sont les caravelles. Les marins ne pensent plus que la Terre est un disque plat grâce à Copernic et aux voyages en mer. De plus, les progrès dans la technologie navale se développent en partie grâce au prince portugais Henri le Navigateur. Il organise à Sagres, au Portugal, un important centre de cartographie, de navigation et de construction navale où se rencontrent marins, voyageurs, savants, techniciens, cartographes et constructeurs de toutes nationalités

ont fait fortune grâce à leurs affaires. Les rois Etrusques vont être chassés de la Rome Antique en -509 avant J.C. Ils fondent la première République Romaine, elle ressemble à une oligarchie car seules les grandes familles romaines participent à la gestion des affaires publiques. Cette liberté diminue en raison de l’opposition de la Plèbe (les plébéiens). La ville offre beaucoup d’emploi & de travail, un petit peuple se développe et veut être associé aux affaires publiques : révoltes des plébéiens

L’empereur a le droit d’adopter : L’édit  textes de porter générale, qui ont une valeur contraignante. L’édit peut s’appliquer sur tout l’empire, ou une partie (une province), ou sur une certaine catégorie d’individu. Le décret  jugement rendu par le conseil impérial. Comme tout jugement, il ne possède que l’autorité relative de la chose jugée. On verra apparaitre des compilations de décrets, des recueils. Le rescrit  réponse à une requête, une demande. Le mandat  instruction administrative par lequel

garderaient le pouvoir plus longtemps, autant qu’il lui paraîtrait bon, qu’ils porteraient l’habit militaire et le glaive, puisqu’ils avaient le droit de juger les soldats. Il ne fut en effet jamais permis à aucun proconsul, propréteur ou procurateur du prince de porter le glaive, sauf à ceux qui avaient le pouvoir de faire exécuter des soldats (…). Dion Cassius, Histoire romaine, 53, 12-13 Selon Auguste lui-même  (Res Gestae, 34) : Pendant mon 6ème consulat, après avoir éteint la guerre

l'impératrice douairière Maria Feodorovna, se croisent Pierre (revenu récemment d'un séjour de dix ans d'Europe, influencé par les idées révolutionnaires et peu au fait des convenances de la vie mondaine russe), le prince Basile Kouraguine et ses enfants, Hélène et Hippolyte, le prince André Bolkonsky et Lise, sa jeune épouse enceinte, « la femme la plus séduisante de Pétersbourg ». Pierre, grand et massif jeune homme portant lunettes est le fils naturel du vieux comte Bézoukhov : son état civil lui