Affichiste

les Français, une manière de leur faire comprendre que la France résistera à l’ennemi allemand jusqu’au bout et qu’elle a les moyens de remporter cette guerre. image de propagande de 14-18: Le créateur de cette affiche est Abel Faivre, célèbre affichiste du 20eme siècle. Ici, une demande de l’état au peuple français pour un emprunt national afin de financer la guerre. Le message de cette affiche est : « Pour la France versez votre or- L'or combat pour la victoire ! » La France est metaphorisé par

au soutien de guerre : ce sont Nénette et Rintintin (4). On prête à Nénette et Rintintin, parfois représentés avec leur bébé, le pouvoir de protéger des obus. Ces poupées reprennent les noms de celles créées par Francisque Poulbot (5) (1879-1946, affichiste, dessinateur et illustrateur français) en 1913 pour la SFBJ. Ce sont de simples poupées en laine, fabriquées par les enfants, qui se diffusent : d’innombrables correspondances rapportent les demandes d’envoi de ces poupées. Ces croyances dépassent

De 1880 à 1900, on assiste à un phénomène appelé affichomanie, c’est-à-dire que les affiches sont de plus en plus collectionnées, ce qui en améliore la qualité. Toulouse-Lautrec (Artiste peintre, dessinateur,illustrateur ) et Leonetto Cappiello (affichiste) y contribuent grandement en simplifiant, chacun à leur manière, les formes et les couleurs afin de rendre les affiches plus attirantes. L’affichomanie apporte alors une nouvelle facette à ce moyen de publicité, elles sont sans cesse améliorées

machine, donc cela reste pareil. Tinguely Machine crée l’œuvre, la main ne sert plus pour créer, la machine peut la remplacer, industriel pour créer pensé en premier par le Bauhaus, machine : ensembles des éléments qui font l’industrie. Les affichistes : Travail sur gestes sur éléments concret, fragilité, déchirures, matériaux, sens du choix, de la couleur… Cela ouvre la porte sur l’art biotechnologique. 6)- supports/surfaces Dans la réflexion sur les matériaux dans les années 70-80, arrive

Léon Beton s’inspira de la boisson d’un pharmacien espagnol en y ajoutant de l’eau gazéifié. Il nomma alors sa boisson Naranjina (orange en espagnol) avant que le nom devienne Orangina. En 1953, Orangina connaît sa première publicité grâce à un affichiste français de renom à l’époque, Bernard Villemot. L’affiche représente une table et un parasol formés d’un zeste d’orange. Cette image (du parasol formé par une orange) est depuis lors devenue le logo de la marque. C’est en 1972 qu’Orangina lance

pouvoirs publics. D’un côté les actes de vandalisme sont condamnés tandis que de l’autre, la pratique artistique est encouragée dans l’objectif d’enrichissement culturel et esthétique de la ville Shepard Fairey, « Obey », affiches 7 Graphiste puis affichiste et peintre, Shepard Fairey est aujourd’hui une des grandes figures du Street Art. Il atteint la renommée grâce à ses affiches représentant Andre the Giant qui interpellent le public en ces mots : « Obey. Ses mésaventures avec les forces de l’ordre

plus tard. Il y est engagé par Ernst Lubitsch à l'Europäische Film Allianz (Alliance européenne du Film) comme peintre et décorateur de studio. En 1923, il émigre à Paris, s'installe à Montparnasse, fréquente de nombreux artistes, travaille comme affichiste à la Paramount Pictures et enseigne à l'académie de la « Grande Chaumière. » Il est Naturalisé français en 1937. Il est mobilisé en 1939 au 134e régiment d'infanterie. Après sa démobilisation il perd son emploi, la Paramount fermant ses portes,

DOLETIANA 2  TRADUIRE LA VILLE  9  QUESTIONS D’ICONICITÉ DANS LA REPRÉSENTATION DE LA VILLE EN PEINTURE  Autre  développement  si  ce  n’est  sa  continuation  ou  son  épigone  est l’appropriation de l’espace réalisée par certains muralistes ou par les  peintres affichistes tels que Raymond Hains ou Jacques Villeglé. Quelle  transformation de la perception s’est avérée dans la pratique artistique  pour  en  parvenir  à  montrer  des  pans  entiers  de  murs  comme  espaces  de représentation de la ville?  Le  mouvement 

En 1929 et en 1930, Léon Bel consacre à la publicité respectivement 1,5 et 2,5 millions de francs (environ 229000 et 381000 euros) afin de vanter le goût du produit, son emballage et ses capacités de conservation. De nombreux illustrateurs et affichistes connus ont contribué à la publicité de la Vache qui rit, en concevant plusieurs albums dans les années 50. En 1968, la marque est une des premières à faire de la publicité à la télévision. En 1971, la Vache qui rit est représentée, pour la première

En 1929 et en 1930, Léon Bel consacre à la publicité respectivement 1,5 et 2,5 millions de francs (environ 229000 et 381000 euros) afin de vanter le goût du produit, son emballage et ses capacités de conservation. De nombreux illustrateurs et affichistes connus ont contribué à la publicité de la Vache qui rit, en concevant plusieurs albums dans les années 50. En 1968, la marque est une des premières à faire de la publicité à la télévision. En 1971, la Vache qui rit est représentée, pour la première