Affreux

rien ne peut s’échapper (« couvercle », Des cloches tout à coup sautent avec furie « cachot », « murs », «plafonds », « barreaux », « prison », « filets », Et lancent vers le ciel un affreux hurlement, tous ces mots désignent notre Terre). Même l’horizon n’ouvre à Ainsi que des esprits errants et sans patrie rien. On est dans une sorte de huis-clos

Cupidon est le serviteur dévoué de sa mère.  Légende : Il est surtout célèbre pour la passion amoureuse qui le lie à Psyché. Jalouse de l’éclatante beauté de la jeune fille, Vénus charge son fils de lui faire concevoir de l’amour pour le plus affreux des hommes. Mais, au moment d’accomplir sa mission, Cupidon s’éprend irrémédiablement de Psyché. Soucieux de ne pas lui révéler son identité, il ne la rejoint chaque soir qu’après la tombée de la nuit. Cependant, la jeune fille, dans l’esprit de laquelle

mari lui dit : « - Alors ta ballade c’est bien passé ? - Oui j’ai rencontré Mme Forestier. - Et alors, a-t-elle parlé de sa parure? - Ho oui, a part que la rivière de diamant que j’ai perdu n’était pas une vraie, répondit Mathilde d’un air affreux.  - Je n’arrive pas à y croire, toutes ces années de labeur pour un simple bijou, s’exclama le mari furieux. » Mathilde était une femme rêveuse, elle aimait s’inventer des histoires. Elle était sûre qu’un jour elle deviendrait riche. Une nuit

les crimes Flagellés par un vent qui ne vient pas du ciel Jamais un rayon frais n'éclaira vos cavernes ; Par les fentes des murs des miasmes fiévreux Filtrent en s'enflammant ainsi que des lanternes Et pénètrent vos corps de leurs parfums affreux "Hippolyte, cher coeur, que dis-tu de ces choses ? Comprends-tu maintenant qu'il ne faut pas offrir L'holocauste sacré de tes premières roses Aux souffles violents qui pourraient les flétrir ? Hippolyte, Ô ma soeur! Tourne donc ton visage

Hélas ! je ne t'ai pu parler que de toi−même ! Venge−toi, punis−moi d'un odieux amour ; Digne fils du héros qui t'a donné le jour, Délivre l'univers d'un monstre qui t'irrite. La veuve de Thésée ose aimer Hippolyte ! Crois−moi, ce monstre affreux ne doit point t'échapper. Voilà mon coeur : c'est là que ta main doit frapper. Impatient déjà d'expier son offense, Au−devant de ton bras je le sens qui s'avance. Frappe. Ou si tu le crois indigne de tes coups, Si ta haine m'envie un supplice

dans le monde meure de lapidation ou sont éxécutées par ce qu’elles ont trompées leurs maris. Les hommes profitent de leur pouvoir, se pensent supérieurs aux femmes encore aujourd’hui, ne connaisse pas la notion d’égalité et commettent des crimes affreux qui restent impunis. Aujourd’hui je dis non a tout ca et je vous invite a me suivre dans mon projet de créer une fondation pour réussir a faire parler ses femmes et récolter des dons pour pouvoir entamer des procédures judiciaires contre ces criminels

tous les crimes Flagellés par un vent qui ne vient pas du ciel Jamais un rayon frêle n'éclaira vos cavernes Par les fentes des murs, des miasmes fiévreux Filtrent en s'enflammant ainsi que des lanternes Et pénètrent vos corps de leurs parfums affreux C'est votre destin, à vous désormais De trier l'infini que vous portez en manteau "Hippolyte, cher cœur, que dis tu de ces choses ? Comprends-tu maintenant qu'il ne faut pas offrir L'holocauste sacré de tes premières roses Aux souffles violents

été jeté violemment en l'air à plusieurs reprises par un individu surnommé "Farid de la Morlette" qui ayant filmé la scène, l'a mise sur son compte Facebook. Oscar survit heureusement et s'en tire avec quelques hématomes et une patte cassée. L'acte affreux du criminel ne lui aura apporté qu'un an de prison ferme. Autre cas important, Yohan un handicapé mental, s'est fait brutalement agressé par trois mineurs âgés entre 14 et 16 ans. Ils l’auraient bousculé puis poussé dans un ruisseau lui immergeant

par la passion de ceux derrière lui. Elle compare  la passion avec les jeux du cirque qui sont un besoin pour les hommes non passionné, (« infortunés » ) ( je ne suis pas très sur d’avoir compris ce passage du texte ) , ces jeux sont cruels , « affreux » et ils « enflamment ».La passion, par ailleurs, détruit « tout ce qu’il faut de mouvement  à la vie sociale et tout élan nécessaire à la vertu » II) ...et avec lesquelles ont ne peut pas faire de compromis Elle retranscrit par cette phrase

partout un rival que j'abhorre ? Percé de tant de coups, comment t'es-tu sauvé ? Tiens, tiens, voilà le coup que je t'ai réservé. Mais que vois-je ? A mes yeux Hermione l'embrasse ? Elle vient l'arracher au coup qui le menace ? Dieux ! Quels affreux regards elle jette sur moi ! Quels démons, quels serpents traîne-t-elle après soi ? Hé bien ! Filles d'enfer, vos mains sont-elles prêtes ? Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? A qui destinez-vous l'appareil qui vous suit ?