Affreux

l'apparence des deux corps sans vie. Maupassant nous dit que les cadavres étaient «meurtris, broyés, saignants». On nous apprend que le cadavre de Julien avait «le front ouvert et toute la face écrasée». Quant à Gilberte, son sort n'en est pas moins affreux. On nous dit que «la mâchoire de la femme pendait, détachée dans un choc». Ils avaient également «les membres cassés», «mous comme s'il n'y avait plus d'os sous la chair.»

double d'un effet de surprise lorsque le lecteur découvre ce qui est décrit. De là naissent un sentiment de curiosité et l'envie de lire la suite du poème.EXERCICE 4naufrage : nom commun, masc. sing., complément du nom « temps » affreux : adjectif qualificatif, masc. pl., attribut du nom « temps » chacun: pronom indéfini, sujet du verbe « court » lui: pronom personnel, complément de l'adjectif « cher » cher

Helas ! je ne t’ai pu parler que de toi-meme ! Venge-toi, punis-moi d’un odieux amour : Digne fils du heros qui t’a donne le jour, Delivre l’univers d’un monstre qui t’irrite. La veuve de Thesee ose aimer Hippolyte ! Crois-moi, ce monstre affreux ne doit point t’echapper ; Voila mon coeur : c’est la que ta main doit frapper. Impatient deja d’expier son offense, Au-devant de ton bras je le sens qui s’avance. Frappe : ou si tu le crois indigne de tes coups, Si ta haine m’envie un supplice

hotel-dieu,..) II- La portée critique du texte 1) Superposition - Paris 2240/paris 1770 2) Aspect politique - Critique du pouvoir arbitraire (bastille et lettres cachet) - Bastille= régime arbitraire -> disparition= fin du régime arbitraire (débris affreux château,palais de la vengeance) - Critique du roi - roi =sultan dc despotique. 3) Critique sociale - Evocation de paris= mauvais modèle - Q° santé publique ->sécu du citoyen non respectée ->Hygiène (jardin, fontaine

est plus avec lucca c est vraiment la saison des ruptures 20:05Charlotte Ouai.. c'est lhiver quoi! sinn samedi tu fais quoi? 20:06Charlotte samedi je mange chez ma grand mere pour aller faire des courses de soutif.. ils sont tous tro petit affreux.. et le soir je me vois pas trop sortir je suis explosée et j'ai peur jai mal au poumon je crois que c la clope je vais arreter 20:07Mariana tu sais que moi aussi je sens des vertiges et tt mais pk? 20:10Charlotte je sais pas c chelou

de fumée. La frayeur les emporte ; et, sourds à cette fois, Ils ne connaissent plus ni le frein ni la voix ; En efforts impuissants leur maître se consume ; Ils rougissent le mors d’une sanglante écume. On dit qu’on a vu même, en ce désordre affreux, Un dieu qui d’aiguillons pressait leur flanc poudreux. À travers les rochers la peur les précipite ; L’essieu crie et se rompt : l’intrépide Hippolyte Voit voler en éclats tout son char fracassé ; Dans les rênes lui-même il tombe embarrassé

terrifiant de l'acte et connotent la fatalité. Vers 2 : « C'est qui l'as voulu » : Si Hernani n'avait pas eut l'intention de se donner la mort, Doña Sol n'aurait jamais bu la fiole. : Acte désespéré. Vers 3 : « Mort affreuse ! » : Aspect terrifiant et affreux de l'acte. Vers 1 et 3 : « Malheureuse » et « Affreuse » : Rime riche qui accentue la fatalité déjà présente. Vers 12 à 14 : « Ce poison est vivant ! Ce poison dans le cœur fait éclore une hydre à mille dents qui ronge et qui dévore » : Métaphore

publie son premier roman « J'irai cracher sur vos tombes » sous le pseudonyme Venon Sullivan qui eut un franc succès. Se succède alors les autres romans tous aussi noirs et sarcastiques, « les Morts ont tous la même peau », « Et on tuera tous les affreux »,... mais aussi des romans publiés sous son vrai identité comme « l'écume des jours », «  l'Arrache coeur »,  et pleins d'autres encore... Au total, Vian aura publié 12 romans dont 4 sous son pseudonyme. C'est à 39 ans, le 23 juin 1959 à Paris

PERSONNAGES IL A SES DEUX MAIN MAIS L’UNE DES DEUX EST ARTICULÉE COMME UN ROBOT . SUR SON VESTON IL PORTE LA CROIX GERMANIQUE : SIGNE DES RELLIEMENT DES ALLEMANDS . CES TROIS CARICATURE SONT DONC VRAIMENT EXAGÉRÉES . ILS SONT DOFFORMES , ESTROPIÉES , AFFREUX . PEUT ETRE QU’OTTO DIX LES A PEINTS DE TELLE SORTE QU’ILS FASSE PEUR AUX GENS .

lorsqu'une fumée se précipita avec violence par la petite fenêtre de ma porte. Cette fumée brûlait tellement que pendant un quart d'heure, je sautais à droite, à gauche, en l'air, tout partout pour l'éviter ! Après un quart d'heure, c'était un silence affreux. J'écoutais, criant de venir me sauver. Personne me répondait. Alors tout Saint-Pierre doit être écrasé sous le tremblement de terre, dans du feu". Le pauvre homme a vecu un enfer pendant 4 jours et 3 nuits dans son cachot sans manger et pour seule