Affreux

bien. Il me tarde de pleurer avec toi et avec mes trois pauvres enfants bien-aimés. Ma Dédé chérie, aie du courage, et vous trois. Je vais arriver. Nous allons pleurer ensemble, mes pauvres bien-aimés. A tout à l'heure, mon Adèle chérie. Que ces affreux coups, du moins, resserrent et rapprochent nos coeurs qui s'aiment".

succession de termes de même construction : et l’enfant rit et le vieillard gémit zeugme : deux termes de plan différent ds une même expression : blessé à la fesse droite et à Verdun paronomase : rapprocher deux mots paronomiques (parenté de son) : affreux Alfred

« noir » ; V6 : « chauve-souris » ; V11 : « araignées » ; V17 : « corbillards ». b) Tristesse et sentiment de mal-être, état critique de l’auteur Champ lexical de la tristesse : V2 : « gémissant » « longs ennuis » ; V4 : « triste » ; V14 : « affreux » ; V16 : « geindre » ; V19 : « pleure ». 2. L’oppression a) Oppression Métaphore filée de la prison : V5 : « cachot humide » ; V8 : « plafonds pourris » ; V10 : « vaste prison » « barreaux ». b) Pesanteur Comparaison  V1 :

interpelle Oenone par son nom, Oenone lui répond : « Madame ». Oenone use tour à tour de l’exhortation : « Vous haïssez le jour que vous veniez chercher ! » de l’interrogation : « Quoi ! vous ne perdrez point cette cruelle envie ? », « A quel affreux dessein vous laissez-vous tenter ? », « De quel droit sur vous-même osez-vous attenter ? », et enfin des reproches : « Vous offensez les dieux », « Vous trahissez l’époux à qui la foi vous lie », « Vous trahissez enfin vos enfants malheureux… » (v

et ne pas agir à cause de ma peur de nager et de prendre le risque de paniquer et me noyer ou de lui sauver la vie , je me dit que si je fessait rien j’étais un lâche et mon ami Mustapha ne savais pas nager aussi j’étais la seul face a se dilemme affreux de choisir la mort ou de vaincre ma peur , alors je bondit de toute mes force dans l’eau pour lui porter secours mais il s’agripper a moi le pauvre que on a failli couler à pic tous les deux heureusement Mustapha me voyant a deux doigt de me noyer

celui-ci part ensuite, tout fier de son triomphe sur l’honneur d’une femme. Lucrèce, succombant sous le poids de son malheur, envoie un messager à Rome et à Ardée, avertir son père et son mari qu’ils se hâtent de venir chacun avec un ami sûr ; qu’un affreux événement exige leur présence. Tite-Live, Histoire romaine, Livre I, LVIII, § 1 à 5, trad. M. Nisard (1864). Questions (4 points) a) Qu’est-ce qui fait le caractère horrible de ce crime ? b) Énumérez tous les éléments qui opposent Lucrèce et son

l’origine d’une émotion qui est trop forte pour notre organisme et qui se traduit donc en image terrifiante lors de notre sommeil. Pour conclure, il faut retenir que les auteurs veulent montrer à quel point un mauvais rêve peut se terminé en un affreux réveil, qui nous marquera à jamais, et qui a une influence sur notre santé.

plafonds Quand la pluielaétalant pourris ; traînées D'une vaste prison imite les barreaux, Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux, Des cloches tout à coup sautent avec furie Et lancent vers le ciel un affreux hurlement, Ainsi que des esprits errants et sans patrie Qui se mettent à geindre opiniâtrement. - Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir, Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique, Sur

yeux s'avouant infidèle, M'ordonnât elle-même une absence éternelle. Moi-même j'ai voulu vous entendre en ce lieu. Je n'écoute plus rien, et pour jamais: adieu... Pour jamais ! Ah, Seigneur! Songez-vous en vous-même Combien ce mot cruel est affreux quand on aime ? Dans un mois, dans un an, comment souffrirons-nous, Seigneur, que tant de mers me séparent de vous ? Que le jour recommence et que le jour finisse, Sans que jamais Titus puisse voir Bérénice, Sans que de tout le jour je puisse

raconter » (l.1) ; « un témoin oculaire » (l.5). -> Multiplication pronom impersonnel : « on » = Pensée commune, hypothèse, scène imbriqué : raconté plusieurs fois. 2) Le point de vue de Mme de Volange * «  ignominieuse » (l.24) ; « Il est affreux de se trouver parente de cette femme » (l.26) ; «  en vérité, se serait, je crois, un bonheur pour elle d’en mourir » (l.38) -> elle donne son opinion. * Récit ou domine la subjectivité car l’épistolaire n’a pas été témoin de la scène.