Agence centrale des organismes de sécurité sociale

la professionnalisation des intervenants salariés, la confiance qu’ils inspirent. La qualité des services, c’est aussi l’amélioration des conditions de travail, de rémunération et de formation de salariés des services à la personne. Les partenaires sociaux, les acteurs de la formation, les institutions publiques sont maintenant mobilisés autour d’une idée simple : le service à la personne est un vrai métier, qui implique des savoir-faire mais surtout un savoir-être. Car au-delà des technicités réelles

LES ORGANISMES INTERNATIONAUX DE REGULATION Objectif : Comprendre le rôle de plus en plus important de ces institutions dans un contexte de mondialisation et envisager la frontière difficile entre ingérence et souveraineté. Régulation politique : ONU ( histoire, principe, action, vers une réforme du Conseil de Sécurité Régulation économique : histoire de Bretton Woods, FMI, Banque Mondiale, OMC, G8, G20 Régulation juridique : CPI (Cour Pénale Internationale)

puisque ces établissements étaient déjà organisés et sous tutelle de l’état. Une situation disparate de cloisonnement se mis en place dans laquelle étaient différenciés d’une part les banques directement contrôlées par la banque centrale, et d’autre part les organismes financiers spécialisés faisant l’objet d’une réglementation particulière échappant à la législation bancaire. Au lendemain de l’indépendance, l’Etat créa les principales institutions financières marocaines ou les transforma en

dans le monde occidentales, ainsi que les innovations de certains domaines tel que l’industrie et le commerce a fin de former sa propre identité et d’adapter ses structures aux exigences et aux changements perpétuels de l’environnement économique et social. Le secteur bancaire marocain est donc considéré comme l'un des moteurs du développement de l'économie du pays et de sa prospérité, ce dernier est devenu dans une courte période un secteur moderne et efficace. II-Historique du groupe Banque Populaire

gouvernement, dirigé par le Premier ministre : l'administration publique centrale française (le pouvoir exécutif entier, à l'exception évidente de la présidence de la République, qui contrôle le gouvernement) et, sous la réserve de quelques menues garanties d'indépendance pour les juges du siège, le pouvoir judiciaire. Les administrations sont, elle-même, divisés en ministères, qui eux-mêmes sont divisés en services centraux, en services déconcentrés (services d'exécution dont la compétence est fixée

sein de : La Banque Populaire Agence Les Almohades Fès [pic] Période : du 1er AU 31 juillet 2008 Préparé par : Mlle Drissi Kaïtouni Miriam Année universitaire 2007/2008 SOMMAIRE Remerciement 4 Introduction 5 PARTIE I : Présentation du Groupe Banque Populaire 1- Crédit populaire du Maroc « CPM »………………..…………………… 7 Les organismes du CPM…………………………………………...……… Valeurs du CPM…………………………………………………………… 2- La banque central populaire « BCP »……………………………………

s PLAN Introduction Axe I-Présentation des agences de coopération : 1- Définition 2- Objectifs et missions des agences   3- Cas d’une agence marocaine  Axe II- Les agences de coopération internationales au Maroc : 1- L’agence allemande d’assistance technique (GTZ)  2- L’agence américaine pour le développement international (USAID)

 RAPPORT DE STAGE DE FIN D’ETUDES THEME : La mise en place du Balanced ScoreCard au sein de la BCP Stage effectué à : La Banque Centrale Populaire Réalisé par: Encadré par : BEN MAMA Siham Dr. LAHFIDI Abdelhaq, Professeur à l’ENCG Agadir Supervisé par : M. Ahmed MAHROUS, Directeur Planification et contrôle

matière, notre pays est à la veille de procéder à une refonte du dispositif juridique régissant la titrisation des créances visant notamment, l’extension du champ d’utilisation de cette technique à de nouvelles natures de créances et à de nouveaux organismes habilités à titriser leurs créances[3]. Ainsi et tout en rappelant les concepts de base de la titrisation des créances et ses mécanismes de fonctionnement, le présent article a pour objet de présenter une réflexion d’ensemble sur l’opportunité

puisque ces établissements étaient déjà organisés et sous tutelle de l’état. Une situation disparate de cloisonnement se mis en place dans laquelle étaient différenciés d’une part les banques directement contrôlées par la banque centrale, et d’autre part les organismes financiers spécialisés faisant l’objet d’une réglementation particulière échappant à la législation bancaire. Au lendemain de l’indépendance, l’Etat créa les principales institutions financières marocaines ou les transforma en vue