Agence de notation

3.4. Les investisseurs particuliers et institutionnels 3.5. Les agences de notation spécialisées 3.6. Les organismes de tutelle 3.7. Les pouvoirs publics 4. Freins et accélérateurs au développement des fonds éthiques 4.1. Freins 4.1.1. Le manque de transparence du marché 4.1.2. Le problème de définition de ce qu’est un fond éthique 4.1.3. La méthode de notation 4.2. Accélérateurs 4.2.1 Le développement de l’épargne

risques bancaires. Ainsi les accords dits « Bâle II » (2005) ont exigé des banques qu’elles détiennent un minimum de fonds propres (8% de leurs actifs pondérés de risques), qu’elles estiment les risques liés aux entreprises en fonction de modèle de notations internes, qu’elles élaborent et suivent les meilleures techniques de surveillance et de gestion des risques, qu’elles communiquent au marché les informations liées à leurs fonds propres et à leur mode de surveillance. La crise de 2008 fait

2) L’irresponsabilité des agences de notation Les investisseurs se sont laissé aveugler par les agences de notation. En effet, ils leurs ont fait confiance car leur rôle est d’évaluer la qualité d’un titre ou la solidité d’un émetteur et de donner par la suite une note. (3 sociétés américaines : Moody’s, Fitch et Standard and Poor’s s’en chargent). Comme les prêts regroupés dans des pools de crédits puis titrisés paraissaient diversifiés, les agences de notations ont estimé le risque global peu

subprimes. 3ème manquement éthique : l’aveuglement des agences de notation. Sur les marchés financiers, il existe des agences de notations qui notent les produits financiers à la vente. Cela permet aux investisseurs d’avoir l’avis d’experts et de savoir s’ils investissent sur des titres sûrs ou risqués. Il y a trois agences de notation financière globales : Moody's, Standard & Poor's et Fitch Ratings et d’autres agences de notations spécialisées sur certains marchés. Or, les placements qui

3ème Partie : Le rôle des agences de notation dans la crise et l’action des banques centrales afin de l’endiguer. Les agences de notation ont pour but de noter les paquets de crédits titrisés, les obligations et les titres émis en contrepartie. Avec le recul, il a été montré que les agences ont accordé trop généreusement des notes AAA, qui correspond à la meilleure note, sur les paquets titrisés. Cela a contribué à la formation de la bulle spéculative. Sans cette notation, le risque réel aurait sans

États-Unis o 1.4 Les banques d'affaires américaines obligées de se restructurer après la faillite de Lehman Brothers o 1.5 De gigantesques plans de sauvetage dans de nombreux pays o 1.6 Le rôle des rehausseurs de crédit o 1.7 Le rôle des agences de notation o 1.8 Le rôle des règles comptables o 1.9 Le rôle des produits financiers complexes • 2 Causes évoquées • 3 Aux États-Unis o 3.1 Croissance du marché des subprimes o 3.2 Déclenchement de la crise du subprime o 3.3 Effet de contagion

Mlle. Ouni Sameh Mr. Romdhane Mohamed Année universitaire : 2003 - 2004 Résumé L’objectif de ce mémoire est d’étudier l’impact des notations de crédit sur les décisions de la structure du capital. Il s’agit de faire l’incorporation des facteurs de la notation de crédit dans les deux théories rivales de décisions de financement ; à savoir : la théorie statique de Trade off, selon laquelle chaque firme converge graduellement vers le niveau cible

OPERATIONS DE TITRISATION .................................................................... 13 2.6 TYPES DE CASH FLOWS DANS UNE STRUCTURE DE TITRISATION ............................................. 13 2.7 VALORISATION DES ACTIFS ET LEURS NOTATIONS ................................................................... 14 III-TITRISATION DANS LE MONDE : ......................................................................................................... 17 3.1 EVOLUTION REGLEMENTAIRE ...

| |1.6 Le rôle des rehausseurs de crédit | |1.7 Le rôle des agences de notation | |1.8 Le rôle des règles comptables

actuel entre plusieurs économistes et financiers. Pour certains, elle est à l’origine de tous les maux après la crise : beaucoup on remis en cause la mauvaise qualité des créances titrisées, la mauvaise liquidité de ces titres, le travail des agences de notation ainsi que le principe même de la titrisation. D’autres estiment qu’elle n’est qu’une conséquence directe d’un ensemble de dérives financières. Faut-il en conclure que la titrisation doit être interdite sur les marchés ? L’objet de notre étude