Agnès Troublé

nerveux et immunitaire. Les enfants maltraités, une fois devenus adultes sont d’avantage exposés a des troubles comportementaux, physique ou psychique tels que : Dépression Tabagisme Obésité Comportement sexuels à risque Alcoolisme et toxicomanie Suicide Et au-delà de ses répercussions sur la santé et la société, la maltraitance des enfants a un cout économique, hospitalisations, traitement des troubles psychiques, à la protection des enfants et aux dépenses de santé à long terme. Les Facteurs à risque :

âgées ou frappés de troubles psychiatrique, peuvent recevoir aucune libéralité de la personne. Situation particulière : personne qui n’est pas incapable (pas entré dans un régime de protection) mais qui présente un trouble mental. Angle mort : personne émet un consentement qui n’est pas parfait mais en meme temps qui ne bénéficie pas un régime de protection. Est-ce que la JP a pu solutionner à ca ? Oui, réponse JP par la loi at 414-1 Cciv : ‘quelqu’un qui souffre d’un trouble mental au moment de

ralentissement psychomoteur profond. Il est convaincu qu’il a un cancer, et que sa maladie est incurable. ATCD : Deux TS, notion de dépendance/abus d’alcool. Le risque suicidaire est il élevé ?    Patient âgé de 45 ans, amené par sa famille pour un trouble dépressif sans idéations suicidaires. Le médecin lui a prescrit Paroxétine 20 mg, 1 cp/J Après 10 jours de traitement, aucune amélioration n’est constatée  Quelle attitude doit adopter le médecin ?  Augmenter la dose de la Paroxetine  Changer

PC infirmier afin de travailler sur les dossiers de mes patients en vue de la réunion du Staff médical qui aura lieu à 9H30 lorsque je croise dans le couloir Mme M. Mme M. est une patiente de 51 ans d'origine musulmane, entrée dans le service pour trouble du comportement sur la voix publique. Mme M. compte plusieurs hospitalisations en psychiatrie depuis une dizaine d'années. Mme M est atteinte de schizophrénie affective et fait preuve d'une familiarité permanente envers le personnel soignant ainsi

réassurance. écoute neutre. non culpabilisante ou moralisatrice ; d’aborder une anamnèse avec la famille pour avoir une idée sur l’existence de facteurs précipitant ; de distinguer entre ce qui est une crise psychosocial et une crise en rapport avec un trouble mental. afin d’orienter la prise en charge et les interventions proposées ; d’analyser les circonstances qui ont conduit la personne à vouloir mourir de chercher l'existence de symptômes dépressifs, anxieux, psychotiques ou impulsifs ; et d’apprécier

ANALYSE DE STAGE : LE REFUS DE SOINS. J’ai effectué mon stage dans une EPHAD de la métropole lilloise, d’une durée de 5 semaines. Durant ce stage il m’a été permis de suivre les infirmières tout au long du stage, j’ai donc appris en autre à faire des pansements, des glycémies, des injections d’insuline, et aussi plus particulièrement à distribuer des médicaments. Cette EPHAD ce constitue d’un réez de chaussée et de trois étage ou sont situé les chambres des résidents. J’ai tout particulièrement

Maladie d’alcool I. Définition - Perte de liberté de s’abstenir de l’alcool - Alccolique = buveur excessif dont la dépendance à l’égard de l’alcool conduit à une consomation responsable d’un trouble mental ou physique affectant le comportement, les relations sociales et familiales et le statut économique du sujet -> Souffrance individuelle, familiale, sociale Dépendancce : - impossibilité de s’abstenir de consommer (incoercible) perte du libre arbitre perte de liberté alcoolisation en dehors

psychologie). Alors, le  travail du psychologue est de traiter des personnes souffrant de troubles psychologiques. Un psychologue a pour objectif de rendre compréhensible un problème qui proposera par la suite une aide adapté à la personne. Ensuite, le psychiatre est similaire mais est un médecin ayant reçu une formation en psychiatrie. Le psychiatre intervient plus souvent pour des personnes ayant des troubles mentaux nécessitant l’administration de médicaments. Le psychiatre, contrairement au psychologue

Brant, La nef des fous (1494). Prologue, v.41 – 42 Éditions José Corti, p.40   « N’est pas pénalement responsable la personne qui était atteinte, au moment des faits, d’un trouble psychique ou neuropsychique ayant aboli son discernement ou le contrôle de ses actes. La personne qui était atteinte, au moment des faits, d’un trouble psychique ou neuropsychique ayant altéré son discernement ou entravé le contrôle de ses actes demeure punissable ; toutefois, la juridiction tient compte de cette circonstance

dans une grande métropole au bord de la mer. Il est venu rendre visite à Agnès, son premier grand amour. Il s’en est séparé parce qu’il n’a pas su reconnaître à temps que c’était une fille vraiment bien. Agnès est venue le chercher à l’aéroport, car ils sont quand même restés de très bons amis. Agnès s’est mariée avec un garçon du pays des superlatifs et a trois enfants assez jeunes. Hector lui raconte l’histoire de Djamila. Agnès lui répond qu’il a pris un très grand risque en la soignant, car dans