Agoraphobie

toxicité cardiaque - Des syndromes de sevrage ont été décrits pour cette classe, d’où l’intérêt d’un arrêt progressif. Indications : * Épisodes dépressives majeurs, * Trouble obsessionnel compulsif (TOC), * Trouble panique avec ou sans agoraphobie, boulimie * Trouble anxieux généralisé chez l’adulte, phobie sociale Contre indications : * Hypersensibilité au produit * Enfants moins de 15ans * Grossesse- Allaitement Effets indésirables : Les IRS sont dépourvus d’effets anticholinergiques

uniquement en présence d'un objet ou d'une situation particulière ; elle s'accompagne alors d'angoisse et on parle de phobie (phobie des araignées, phobie d'être dans un espace clos : claustrophobie, ou au contraire dans un espace très large (agoraphobie). Crainte, appréhension, inquiétude, anxiété, semblent correspondre plus à des sentiments avant coureurs d'un danger possible, d'une incertitude, d'une mise en alerte. La terreur est un sentiment violent de crainte et peut confiner à la panique

lesquelles il évolue pour pouvoir se sentir bien. - Les claustrophobies influent sur la perception des petits espaces qui paraîtront dangereux, oppressants. Les lieux sombres et clos amplifient le ressentiment d’emprisonnement. - A contrario, les agoraphobies se manifestent par une crainte des grands espaces. Evoluer dans un milieu large et étendu sera vécu comme une perte de soi. Le sujet aura tendance à raser les murs. Les lieux étroits seront par contre considérés comme rassurants. - Les névroses

Ethiopathogénie V. Prise en charge thérapeutique VI. Rôle infirmier Généralité Les troubles anxieux dans le DSM IV regroupent plusieurs pathologies. Parmi elle quelque névrose (selon la classification française classique) - Attaque de panique - Agoraphobie - Phobie spécifique - Phobie sociale - Trouble obsessionnel compulsif - Stress post traumatique - Etat de stress aigue - Anxiété du a une substance - Anxiété due à des substances I. Définition L’anxiété est une angoisse et peur sans objet

absurde, mais elle demeure incontrôlable -> Elle décline des formes les plus banales à des formes très grave -> elle est spécifique à chaque sujet On peut donc repéré dans la clinique des phobies de différents types:- liées au thème spatial : agoraphobie*, claustrophobie*, phobie des transports*, de l’obscurité, des hauteurs par ex -> l’AGORAPHOBIE*: assez fréquente ( peur de la foule et des grands espaces) qui peut aller d’une réduction du périmètre d’action du sujet à l’impossibilité de sortir

rend-il compte de la gravité de ce qui lui arrive, les deux n’étant pas antinomiques ? Michel s’habille seul. Parfois il demande à l’équipe de lui acheter des vêtements et des produits d’hygiène car il ne souhaite pas y aller prétextant une agoraphobie. D’autres fois il accepte d’être accompagné. C’est imprévisible. Parfois aussi c’est l’équipe qui lui suggère de jeter certaines affaires trop usées et fait le tri avec lui. Michel sort seul du foyer pour faire de petites courses à proximité

l’agressivité et la sexualité sont liées. Il y a refoulement de la dimension agressive, résultats de la formation réactionnelle. Déplacement. Névrose phobique : Sémiologie : phobie : peur intense et incontournable sans raison réelle avec anticipation : agoraphobie, phobie sociale et phobie spécifique (ne porte que sur un seul objet). Attaques de panique qui sont des crises d’angoisses classiques avec des signes physiques. Conduites d’évitements, on, évite des situations où est mal à l’aise. Conduites contra

états de panphobie où le sujet a peur de tout mais le plus souvent on constate des phobies spécifiques dont le catalogue riche de nominations pittoresque cache parfois un vécu invalidant, couteaux, poussière, excréments, microbes, espaces publics (agoraphobie), lieux clos (claustrophobie), l’eau, le feu, les hommes, les animaux (zoophobie), les araignées (arachnophobie), les chiens, rougir en public (éreutophobie), les maladies (nosophobie)… Noter cependant la phobie sociale : peur de parler en public

dans la plupart des cas secondaire à l'intoxication alcoolique elle-même et notamment à la répétition des sevrages. - Le comportement d'automédication consistant pour l'individu à ingérer de l'alcool pour calmer une anxiété primaire (notamment agoraphobie et phobie sociale) a été établi. Mais l'effet anxiogène à terme de l'alcool aboutit rapidement à un cercle vicieux, à savoir l'aggravation et la pérennisation des troubles anxieux qui entraîneront à leur tour une augmentation de la consommation

mon livre Ton corps dit : Aime-toi !: Cette phobie est une peur maladive des espaces libres et des endroits publics. Elle est la plus répandue des phobies. Les femmes y sont deux fois plus sensibles que les hommes. Beau-coup d'hommes cachent leur agoraphobie sous l'alcool. Ils ai-ment mieux devenir alcooliques plutôt que d'avouer leur grande peur incontrôlable. L'agoraphobe se plaint souvent de vivre de l'anxiété et surtout de l'angoisse, au point de paniquer. Une situation angoissante entraîne chez