Agriculture durable

anthropologique 381-244-EM, groupe1010 21 mars 2014 TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION………………………………………………………………………………………………………….…..3 BAMBARAS………………………………………………………………………………………………………………….3-7 Animisme……………………………………………………………………………………………………………….…..4 Agriculture………………………………………………………………………………………………………………4-5 Chasse……………………………………………………………………………………………………………………..5-6 Artisanat………………………………………………………………………………………………………………….6-7 TOUAREGS…………………………………………………………………………………………………………………7-11 Habillement…………………………………………………………………………………………………………

raisonnée est encore un autre système de production agricole qui consiste à optimiser les quantités d’intrants et plus particulièrement les substances chimiques comme les pesticides ou engrais. Dans un souci de respect de l’environnement. Cette agriculture est représentée par le label terra Vitis, suivant un cahier des charges précis. L’Agriculture biologique, écocert, sont des labels qui garantissent des pratiques viticoles respectueuses de l’environnement. En effet un grand nombre de chimiques

faiblement progressé de 2,2 %. Le chômage a diminué de 11,8% à 10,9%, même si le chômage urbain (17,5%) est beaucoup plus important que le chômage rural (4,1%). Le secteur informel joue un rôle déterminant au Maroc. 46,8 % de l'ensemble des actifs hors agriculture s'adonnent à une activité informelle. Selon des études marocaines, ce secteur réalise 17 % du PIB. Plus de la moitié (53 %) des emplois du secteur informel opère dans le commerce. Les revenus générés par le tourisme sont demeurés assez stables

• Le jus d’orange concentré : ¾ de la production mondiale est aujourd’hui brésilienne, • Les fleurs : la Colombie est le 2ème producteur mondial, l’Equateur le 3ème, l’essentiel de leur production étant destiné aux Etats-Unis C’est une agriculture efficace et rentable mais on déplore cependant une vraie crise sociale dans les campagnes. L’exode rural fait affluer une population pauvre dans les favelas des grandes villes et les revendications des « sans terre » au Brésil s’intensifient. Au

Impacts socio-économiques et environnementaux d’une gestion raisonnée de l’eau en agriculture et agro-alimentaire Étude réalisée par la FRSEA AQUITAINE avec le concours du Conseil Régional d’AQUITAINE (Fonds Commun de Coopération Aquitaine –Navarre) et de la Chambre Régionale d’Agriculture. AQUITAINE Octobre 2008 FRSEA Aquitaine - Cité mondiale – 6, parvis des Chartrons 33075 Bordeaux cedex – 05 57 85 40 30 - 05 57 85 40 31 - frsea.aq@wanadoo.fr Résumé de l’étude Au centre de toutes

consommateurs) et « bottom-up » (rétroactions des ressources sur leurs consommateurs). Mieux comprendre ces interactions est un des enjeux de l'écologie, car elles sont fortement affectées par les impacts en cascade des activités humaines (chasse, pêche, agriculture), qui diminuent fortement le nombre et la biomasse des espèces de haut niveau trophique, tout en augmentant ou perturbant les apports et les cycles de nutriments6, conduisant notamment à des phénomènes d'appauvrissement en amont et de dystrophisation

milieu marin trop pauvre. La production est quand même estimée à 10 000 tonnes par an. Cependant, ces prises ne satisfont que 60 % à 70 % des besoins locaux. Le secteur industriel et artisanal regroupe 9,5 % des entreprises du département (hors agriculture et services non marchands). L'agro-alimentaire reste prédominant dans le secteur puisqu'il représente 37,3 % du total des emplois. L'artisanat tient également sa place dans l'économie guadeloupéenne, puisqu'il emploie 16 % de la population

les débouchés dont ils peuvent tirer parti, mais il ne vise pas à fournir l’analyse approfondie dont un exportateur pourrait avoir besoin. Bien que tous les efforts nécessaires aient été déployés pour s’assurer de l’exactitude de l’information, Agriculture et Agroalimentaire Canada n’assume aucune responsabilité concernant l’exactitude et la fiabilité de l’information ou les conséquences des décisions prises sur la base de ces renseignements. Veuillez faire parvenir tout commentaire ou toute suggestion

généralement peu nombreux. À l’inverse, certains pays comme le Vietnam ont maintenu une agriculture plus traditionnelle où les ressources humaines sont presque l’unique facteur de production. Le temps semble s’être figé et les paysages agricoles paraissent n’avoir jamais été modifiés. Une autre époque, une autre culture. Et pourtant … Bien que différents, ces systèmes reposent tous les deux sur une agriculture intensive. Au Vietnam comme en France, la production agricole doit en effet répondre aux

nombre d’exploitations de 60 %. Dans le même temps, l’AEV s’est fixée l’objectif d’assurer le maintien et la fonctionnalité des espaces agricoles en luttant contre l’urbanisation, la spéculation foncière et en favorisant le développement d’une agriculture durable et diversifiée. • Préserver la biodiversité L’Île-de-France héberge des milieux naturels très diversifiés ainsi qu’une faune et une flore qui doit être préservée. Pourtant, l’AEV souhaite ouvrir plus largement les domaines régionaux au public