Ah ! ça ira

Voici un texte écrit par un vrai metteur en scène qui a respecté la consigne… Bon écoutez, les cocos, on va reprendre toute la scène d’Antigone et Ismène, parce que ça ne va pas du tout, du tout, d’un bout à l’autre… C’est lent, c’est lourd, c’est schématique, c’est braillard, et surtout pas vivant pour deux sous. Si on ne veut pas que les spectateurs s’endorment, il faut absolument tout refaire. D’abord, il faudrait tout de même éviter de vouloir marquer l’opposition entre les deux sœurs d’une manière

C'est ridicule!  (Elle pose sur le comptoir une pile de sacs en papier.)  RAGUENEAU: Des sacs?. . .Bon. Merci. (Il les regarde): Ciel! Mes livres vénérés! Les vers de mes amis! déchirés! démembrés! Pour en faire des sacs à mettre des croquantes. . . Ah! vous renouvelez Orphée et les bacchantes!  LISE (sèchement): Et n'ai-je pas le droit d'utiliser vraiment Ce que laissent ici, pour unique paiement, Vos méchants écriveurs de lignes inégales!  RAGUENEAU: Fourmi!. . .n'insulte pas ces divines cigales

quatre filles et un garçon, remémorent leur week-end à Disney Land. ELISABETH, heureuse. Trop bien ce week-end ! J’ai adoré l’attraction de l’ascenseur qui monte et qui descend ! OMBELINE Ouais, c’était tellement cool cette attraction, même si ça m’a vraiment fait flipper ! GUILLEMETTE, gênée. Arrêtez de parler de ce truc ! Je me suis vomi sur mon tee-shirt "Bérénice" pendant une chute de l’ascenseur vers le bas ! ALEXIS, sérieux. N’empêche, l’inconvénient de Disney’ c’est qu’on passe

vers la boîte aux lettres et, avec une clef, il l’ouvre. Il y prend le Petit Provençal. A ce moment-là, un paysan s’approche de lui et le salue. LE PAYSAN Bonjour, monsieur l’instituteur. L’INSTITUTEUR Il brise la bande du journal. Bonjour, Pétugue. Ça va? PÉTUGUE, timide. Très bien, monsieur l’instituteur. Très bien. Je voulais vous demander un petit service. L’INSTITUTEUR Vas-y. PÉTUGUE Vous connaissez Casimir, le gérant du cercle, qui a le bureau de tabac? L'INSTITUTEUR Oui. Et puis? PÉTUGUE

9 Géraldine: Il parait que c’est beau, Welkenraedt. On ira visiter? 12 Anne: Pourquoi tu parles de Welkenraedt? 1 Laure: On n’est pas à Welkenraedt. 9 Géraldine: Ah bon? 2 Anne: On est à Laval. 3 Pascal: Mais non, on est à... (l’acteur nomme ici la ville dans laquelle la pièce est representée) 2 Anne: Ah bon. 4 Laure: Evidemment qu’on est à ... (idem) 2 Anne: Hier, on était bien a Laval? 5 Pascal: Hier! 6 Géraldine: On ira visiter quand même. 7 Pascal: J’ai mal au ventre. 8 Géraldine:

(Médecin sans frontières) sur a bande de Gaza ainsi que son fils Louis et sa fille cadette Alice. Il vivra de façon très simpliste sa vie en Israël à travers des conflits entre l'armée et le peuple ainsi qu'entre les palestiniens et israéliens. Il ira à la découverte des sites historiques environnants en vivant une vie de «femme au foyer» consistant à aller faire les courses et s'occuper des déplacements des enfants à l'école. Pendant ses temps libre, il dessine sous forme de BD ce qu'il voit au

Théâtre: Confidences à Allah. Adaptation de Billal. Partie 1: Monologue de Jbara. Jbara: Tafafilt c'est la mort et pourtant j'y suis née. Je m'appelle Jbara. Il paraît que je suis très belle mais que je ne le sais pas. Ca me fait une belle jambe à moi d'être belle. Je suis pauvre et j'habite dans le trou du cul du monde. Avec mon père, ma mère, mes quatre frère et mes trois sœurs. Mon père serait incapable de vous dire, si je suis belle, ma mère aussi. Ils diraient tout au plus: « C'est une

indiscrète, elle est chaleureuse et joyeuse elle n’est pas froide comparé a haru , mais peu etre très indifférente a ce que haru peut ressentir quand elle l’a blesse des fois yuuna dit des chose qui fait que haru est blesse ou meme triste (elle est comme ça que avec haru, elle a beau adoré haru elle peut etre très méchante avec haru car elle ne s’est jamais sentit très bien dans sa famille adoptive) Aime : haru, le piano et elle aime s’occuper des autres, ces parents adoptifs Déteste : Satsuki, quand

Anna Gavalda Ensemble, c’est tout Аннотация "Et puis, qu'est-ce que ca veut dire, differents ? C'est de la foutaise, ton histoire de torchons et de serviettes... Ce qui empeche les gens de vivre ensemble, c'est leur connerie, pas leurs differences..." Camille dessine. Dessinais plutot, maintenant elle fait des menages, la nuit. Philibert, aristo pur jus, heberge Franck, cuisinier de son etat, dont l'existence tourne autour des filles, de la moto et de Paulette, sa grand-mere. Paulette

dois parfois lui tenir le bras pour sa sécurité car elle manque un peu d’équilibre après s’être relevée. « - Tu as allumé le radiateur ? Je vais attraper froid ! - Oui, je l’ai allumé pendant le petit déjeuner pour qu’il est le temps de chauffer. - Ah merci. » avec un sourire. Après m’être lavé les mains je l’aide à enlever son pantalon pour lui éviter de se baisser, l’invite à s’assoir sur la chaise puis l’aide à enlever ses chaussons et les manches de son haut de pyjama. Je me positionne alors