Aie Le Courage De Te Servir De Ton Propre Entendement

que le discours a très vite été renommé « le Contr’Un, le « Un » étant le tyran. Il a notamment été renommé Contr’un par la propagande protestante durant les guerres de religion qui ont eu lieu quelques années plus tard. Les protestants s’en sont servi pour justifier le droit de révolte mais en allant à l’encontre de la pensée de La Boétie qui prône une révolte passive contre le tyran alors qu’eux prônaient une révolte violente allant jusqu’à justifier le meurtre du tyran, c’est ce qu’on appelle

règle des trois unités et celle de la bienséance. C’est avec Marivaux (1688-1763) puis Beaumarchais (1732-1799) que la comédie se transforme. A la différence de Molière les obstacles à l’amour ne sont pas extérieurs mais intérieurs (pudeur, amour propre). Avec Marivaux il s’agit toujours d’un amour en train de naître. L’auteur analyse minutieusement les sentiments et les comportements de ses personnages (le marivaudage : qui consiste à échanger des propos galants et d’une grande finesse, afin

nous aborderons dans un premier temps l'Homme, de son enfance à son entrée dans la politique. Puis au contexte économique et social de l'Allemagne, de 1920 à 1933 et à l’adhésion massive à l’idéologie nazie. Et finalement au processus d'héroïsation, servi par l’art, la glorification mystique du chef et les mouvements de foule. Nuremberg, 1934 I- Adolf Hitler : L'Homme Un Homme brisé Adolf Hitler naît en 1889 dans un village autrichien près de la frontière bavaroise du nom de Braunau. Il

qu’il n’en fallait autrefois pour traiter avec tout un peuple. II L’esprit et le génie. Ce sont les deux points où consiste la réputation de l’homme. Avoir l’un sans l’autre, ce n’est être heureux qu’à demi. Ce n’est pas assez que d’avoir bon entendement, il faut encore du génie. C’est le malheur ordinaire des malhabiles gens de se tromper dans le choix de leur profession, de leurs amis, et de leur 5demeure. III Ne se point ouvrir, ni déclarer. L’admiration que l’on a pour la nouveauté est ce qui

que les Lumières ? « C’est la sortie de l’Homme hors de sa minorité, dont il est lui-même responsable. »  Minorité, c’est-à-dire incapacité de se servir de son entendement sans la direction d’autrui, minorité dont il est responsable, puisque la cause en réside non dans un défaut d’entendement, mais dans un manque de décision et de courage de s’en servir sans la direction d’autrui. « Sapere Aude (Ose penser). » Maxime toujours utile aujourd’hui. Minorité = idée que jusqu’alors les hommes n’ont osé

I- LE CONTEXTE HISTORIQUEI- LE CONTEXTE HISTORIQUE XVIII me : un siècle marqué par les difficultés économiques et la philosophie des Lumières qui s’achève par la révolution française · Crise économique (guerre, famine, banqueroute de Law) · Affaiblissement de l’autorité de l’état, montée en puissance de la bourgeoisie, contestation des privilèges de la noblesse, importance de l’argent (les discriminations sociales et et les clivages de la société deviennent de plus en plus insupportables

qu’il n’en fallait autrefois pour traiter avec tout un peuple. II L’esprit et le génie. Ce sont les deux points où consiste la réputation de l’homme. Avoir l’un sans l’autre, ce n’est être heureux qu’à demi. Ce n’est pas assez que d’avoir bon entendement, il faut encore du génie. C’est le malheur ordinaire des malhabiles gens de se tromper dans le choix de leur profession, de leurs amis, et de leur 5 demeure. III Ne se point ouvrir, ni déclarer. L’admiration que l’on a pour la nouveauté

culture se rattache à l’histoire en tant qu’héritage commun, mais se caractérise comme l’institution d’un ordre articulé selon des normes et des règles symboliques. L’unité du genre humain n’exclut pas mais inclut la diversité comme son identité la plus propre. Si l’on définit avec Lévi-Strauss (ethnologue, anthropologue) la culture « comme l’ensemble de coutumes, de croyances, des institutions telles que l’art, le droit, la religion, les techniques de la vie matérielle, en un mot toutes les habitudes ou

éclat ? Le goût du faste ne s'associe guère dans les mêmes âmes avec celui de l'honnête. Non, il n'est pas possible que des esprits dégradés par une multitude de soins futiles s'élèvent jamais à rien de grand ; et quand ils en auraient la force, le courage leur manquerait. Tout artiste veut être applaudi. Les éloges de ses contemporains sont la partie la plus précieuse de sa récompense. Que fera-t-il donc pour les obtenir, s'il a le malheur d'être né chez un peuple et dans des temps où les savants

A qui s'attaque-t-il ?  Question 1 La thèse que soutient Kant dans ce texte est qu'un préjugé ne consiste pas dans le fait de laisser autrui juger à notre place mais dans celui de s'en remettre à l'autre sur une question qui relève de notre propre raison. S'aider du jugement d'autrui ne revient donc pas forcément à renoncer à penser par soi-même. Le texte procède en trois temps. La première partie (jusqu'à « soit le fondement de nos jugements ») fixe le domaine où la raison peut légitimement