Aigues-Mortes

INTRODUCTION 0.1. Enoncé du Problème L’histoire de l’existence humaine sur terre passe très souvent à travers les trois moments importants que sont la naissance, la vie et la mort. Si la conception de l’enfant à naître est une œuvre commune de l’homme et la femme, sa naissance, au contraire, est dans le meilleur des cas, essentiellement assurée par la femme. C’est aussi elle qui, par son lait naturel, nourrit le nouveau-né dès sa naissance en attendant l’ingestion d’autres nutriments. D’une façon

et l'inhalation de matériaux radioactifs (deuxième effet). L’une des conséquences de l’utilisation d’une telle arme et de subir le syndrome dit d’irradiation aigu. Aux très fortes doses (> 20–50 Gy) le système nerveux est touché ; désorientation, ataxie (incoordination des mouvements volontaires), délire, coma, convulsions, puis mort surviennent quelques minutes à quelques heures après l'exposition. Une période de récupération partielle des capacités de quelques heures peut être observée.

tardive de la grossesse, échappe souvent au contrôle médical. Au troisième trimestre, des prises irrégulières d'héroïne, liées aux aléas du "deal", ou des essais de sevrage autogérés par la patiente exposent à des souffrances fœtales aiguës pouvant aboutir à la mort fœtale in utero. Ces épisodes de manque répétés du fœtus peuvent se traduire par une augmentation de mouvements fœtaux, qui doivent alerter. Aussi, on observe chez les femmes toxicomanes enceintes qui continuent de consommer

aspect de supplique à la fois réaliste et fantastique ? Introduction : François Villon, poète lyrique du XVème siècle, a souvent eu affaire à la justice : il est accusé du meurtre d’un prêtre et de nombreux vols. Banni, poursuivi puis condamné à mort, Villon écrit la Ballade des pendus intitulée également Epitaphe, avant d’être gracié. Cette grande ballade en décasyllabes constitue une véritable réflexion sur la misère des pendus ; Villon y demande le pardon. Pourquoi peut-on dire que ce

affectifs sont nécessaires à la survie des personnages mais aussi à leur consistance. - Nous pouvons dire que face à la situation des personnages, la force divine est présentée comme impardonnable : les personnages sont placés dans des lieux proches de la mort et du néant : un anti purgatoire dans En attendant Godot, un bunker dans Fin de Partie et une terre retournée proche du néant dans Oh les beaux jours ! Dans les deux pièces, Oh les beaux jours ! et Fin de partie, Dans les deux pièces, nous observons

également un réseau lexical de la santé : « vigoureux » (v.5), « Veille » (v.8) et « Bien portante » (v.6). Le mot « vigoureux » représente ici la virilité masculine. L’assonance en « e » et en « i », l’absence de « e » muet et les voyelles les plus aiguës évoque l’explosion de santé et l’appel du soldat. Les voyelles sont souvent accentuées : « bienheureuse » ; « gosier » ; « qui » ; « vieillesse » ; « religieux » ; « vieille » ;. C’est une strophe complexe, il y a un écho sonore qui peut suggérer

par définition pathétique. Le début de la scène est un véritable tableau pathétique : le père est agonisant, entouré de sa famille, notamment de sa femme « en pleurs » (on pourra montrer aux élèves une scène de genre de Greuze, en particulier « La mort d’un père, regretté par ses enfants »). b. Certains éléments renforcent cette dimension pathétique. Faites-en le relevé dans l’ensemble de l’extrait. Tout concourt à renforcer le pathétique : fils aîné « suppliant », mourant « sous perfusion »,

Texte 1 : Victor HUGO, Les Contemplations, IV, 1856. [Dans la seconde partie du recueil Les Contemplations, Victor Hugo évoque sa douleur de père après la mort de sa fille] Oh ! je fus comme fou dans le premier moment, Hélas ! et je pleurai trois jours amèrement. Vous tous à qui Dieu prit votre chère espérance, Pères, mères, dont l'âme a souffert ma souffrance, Tout ce que j'éprouvais, l'avez-vous éprouvé ? Je voulais me briser le front sur le pavé; Puis je me révoltais, et, par moments,

ne prennent aucun risque d’innovation. Pour conclure, l’art est quelque chose qui n’est pas ressenti de la même façon pour tous. C’est pour ça que les artistes sont des personnes différentes du commun des mortels. Ils possèdent une sensibilité plus aigu que la nôtre à ce sujet, car comme le pensait Baudelaire, ils sont dévorés par une passion frénétique de l’art et décerne une beauté artistique dans des choses qui nous paraisse banal. Ils ont acquis cette capacité en plaçant l’art au centre de leur

cousine. Cependant, contrairement à ses prévisions, celle-ci se révèle avertie de la simulation. Après la mort du père puis celle de l'épouse, la narration bifurque. Plusieurs versions sont avancées par les conteurs qui prétendent tous être témoins de l'histoire. Quel que soit le narrateur, le devenir de l'homme-femme débouche toujours sur un parcours chaotique. Le drame est d'autant plus aigu qu'Ahmed arrive à un stade où il semble redécouvrir son corps qui parle à l'insu et contre le masque. Le